Monday, May 5, 2025 14:30:00

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Imaginée en 2023, la maquette de Beau Plan voit le jour fin 2024. Élaborée avec les artisans et designers de XWorx, en collaboration avec l’architecte et l’équipe de développement de Beau Plan, elle offre une toute perspective de l’expérience « Beau Plan».

C’est au début de l’année 2024 que commence la création de la maquette de Beau Plan. Mesurant 3m20 de long, il s’agissait d’un projet d’envergure ! « C’est pour cela que nous nous sommes tournés vers XWorx, un studio spécialisé dans la visualisation architecturale et la création de maquette, l’un des seuls acteurs capables, selon nous, de travailler sur une telle maquette ! », dit Emeric. En effet, cette dernière a été réalisée à une échelle de 1/1000 – un travail minutieux et précis !

Quel est le but de cette création ? « Sept ans après l’obtention de notre Smart City Certificate et six ans après le lancement de la ville de Beau Plan, il était important, pour nous, de pouvoir matérialiser le travail déjà effectué et les projets à venir », continue-t-il. De quoi donner, aux potentiels acheteurs, aux investisseurs et à toutes les parties prenantes de Novaterra, un bel aperçu du Beau Plan de demain !

« Nos présentations, notre site web et nos différents plans ne permettent pas d’avoir cette notion de perspective, cette vue d’ensemble. Avoir une composante physique représente un grand atout qui permet de comprendre comment les projets s’organisent les uns par rapport aux autres et à quoi ressemblera la région dans une quinzaine d’années », explique Emeric. Si elle est basée sur le Master Plan final de Beau Plan, la maquette est, à l’image de la ville qu’elle représente, elle aussi en constante évolution.

En effet, de nombreux projets ont entre-temps été complétés, des plans ont été validés et des idées ont continué de germer. « Nous voulions vraiment créer une maquette évolutive, qui ne cesserait de grandir au fil des projets », dit-il. L’objectif : poursuivre le travail avec les artisans de XWorx, qui continueront à modeler la ville en taille réduite selon les différents développements prévus. « Pour que la maquette garde son réalisme, nous communiquerons les plans des projets aux artisans, qui se déplaceront sur les différents sites à représenter », précise Emeric.

Exposée à la réception de Novaterra, dans le Sales Office, cette nouvelle création est un bel exemple de collaboration humaine qui permet non seulement aux clients de se projeter, mais aussi aux collaborateurs de Novaterra de voir ainsi le fruit de leurs efforts matérialisé sur un support physique.

Voilà déjà une nouvelle année qui promet d’être haute en couleur ! Fidèle à elle-même, l’équipe de communication s’est, une nouvelle fois, démenée pour offrir à ses collaborateurs des agendas et calendriers qui reflètent parfaitement l’esprit de Terra.

En 2025, c’est la créativité qui est mise à l’honneur chez Terra. « Soutenir les artistes locaux fait partie de notre ADN. À terme, nous aimerions d’ailleurs faire de Beau Plan un pôle artistique et culturel, un projet qui prend de plus en plus forme », dit Emeric Vigier de Latour, Communications Manager du groupe. En effet, de nombreux événements culturels sont organisés tout au long de l’année avec des artistes locaux pour promouvoir l’importance de l’art de la créativité.

Pour célébrer cette prise de position, l’équipe de communication a, cette fois, collaboré avec de nombreux artistes pour développer ses agendas et calendriers. Baba Gaïa, Joshila Dhaby, Brian Lamoureux, Ems Mural, Tania Naigum, Sébastien Tahucatte… Ces noms ne sont pas inconnus au groupe puisqu’ils ont, à travers des ateliers ou encore des créations, tous apposé leur patte dans de nombreux recoins de Beau Plan.

« Comme ils connaissent bien Terra et ce que le groupe représente, nous leur avons laissé carte blanche pour qu’ils nous livrent leur propre interprétation de nos différentes entités et de nos activités », continue Vaneeda Chenchooliah, Communications Lead. Chaque mois du calendrier est ainsi adorné d’une conception originale faite par l’un de ces artistes. « Le résultat est superbe. C’est émouvant de voir nos valeurs et notre identité représentées, mais aussi ressenties par ces créateurs », ajoute-t-elle.

Quant à l’agenda, c’est à Baba Gaïa qu’est revenu l’honneur de concevoir la couverture. Ancienne collaboratrice de Terra, cette dernière a quitté le groupe pour se lancer à temps plein dans sa carrière d’artiste. « Après quelques sessions de travail ensemble, Baba Gaïa a su cristalliser l’âme de notre groupe en rassemblant entre elles toutes ses composantes et en montrant comment toutes nos activités sont étroitement connectées », termine Vaneeda.

À l’image d’un petit « Où est Charlie », cette représentation fait d’ailleurs le bonheur des collaborateurs qui, à chaque coup d’œil, découvre une nouvelle surprise !

En décembre 2024, Henri Harel a fait valoir ses droits à la retraite après 28 ans de présence au sein de Terra. Après avoir travaillé dans de grands groupes tels que Toyota ou encore Coca-Cola en Afrique du Sud, c’est en janvier 1997 qu’il pose ses valises à Terra – un groupe qui l’enchante et qu’il ne quittera plus jusqu’à sa retraite en décembre 2024. Retour sur ces belles années.

Arrivé, en 1997, en tant que contrôleur financier chez Harel Frères – aujourd’hui Terra –, Henri Harel cumule vite les responsabilités au sein du groupe. Présent sur le Conseil d’Administration, il devient aussi, en juillet 1998, membre du Comité exécutif de Terra. Ce comité travaille sur l’aspect stratégique et la gestion de l’entreprise, en portant notamment de nombreux projets.

En 2004, il devient directeur financier de Terra – un poste qu’il occupera jusqu’à son départ à la retraite. L’une de ses plus grandes fiertés est d’avoir contribué au développement d’un groupe robuste, moderne et en constante évolution. « Mon rôle principal a été de travailler sur les aspects de gestion financière et administrative, de budgets, de trésorerie et de risques », explique-t-il.

Le groupe ayant des intérêts dans divers secteurs – tels que l’agriculture, les développements fonciers et immobiliers, l’énergie, le commerce et la distribution, la construction, ou encore l’assurance et les services financiers –, Henri a ainsi pu toucher à des domaines intrinsèquement différents, tous plus passionnants les uns que les autres. Selon lui, les éléments essentiels à la réussite de toutes ces réalisations qui ont couronné le succès et la croissance de Terra sont un bon travail d’équipe avec ses collègues, la collaboration avec des professionnels internes et externes pour chaque projet, et le soutien des membres du Conseil d’Administration.

« Pouvoir s’adapter au changement est aussi une qualité primordiale, y compris dans le domaine financier, qui ne cesse d’évoluer ! » confie-t-il. S’il a été sur beaucoup de fronts, le but principal de son travail a été de permettre au groupe de continuer à se développer sur des bases financières saines. « C’est avec une certaine sérénité que je quitte le bateau. Ce qui m’a le plus porté pendant ces 28 ans a été de travailler en équipe, avec des collègues sérieux, passionnés et joviaux, et d’avoir contribué à faire que Terra soit une entreprise solide avec des activités pérennes », dit-il.

Comment aborde-t-il la retraite ? Il embrasse cette nouvelle expérience avec beaucoup de bonheur ! « Je suis ravi de pouvoir profiter de la vie sans me presser, d’être dans le présent, de prendre le temps de faire les choses que j’aime et de profiter de ma famille », partage-t-il.

Un parcours édifiant qui se clôt sur la promesse de moments précieux !

Depuis son ouverture en 2000, Terragen s’est imposée comme une centrale électrique d’excellence, se démarquant notamment par son engagement pour l’énergie verte, et son ingéniosité et son dynamisme à toujours trouver et se lancer dans des projets innovants. Le secret de ce succès ? Une équipe passionnée et déterminée.

Composée d’une cinquantaine de personnes, la petite envergure de l’équipe de Terragen ne reflète pas le travail titanesque qu’elle déploie de façon journalière, et ce depuis 25 ans. Réglée comme une horloge, celle-ci s’organise en trois pôles principaux – l’exploitation, la maintenance et l’administration. Les règles et tâches y sont suivies à la lettre pour assurer en continu le bon fonctionnement de l’usine.

Le pôle exploitation regroupe les équipes de quart – qui opèrent les unités de production et assurent une surveillance continuelle du site –, le laboratoire – qui est en charge du suivi de la qualité de l’eau et des combustibles utilisés dans les opérations – et, enfin, le service de soutien – qui est responsable du nettoyage de l’usine et du maintien à niveau des systèmes de protection incendie.

« Le côté maintenance englobe le service électrique et le service mécanique, des équipes qui travaillent de jour mais qui sont aussi soumises à l’astreinte, ainsi que le magasin, où sont gérées les pièces de rechange », ajoute Jean-Marc Iweins, Power Plant Manager de Terragen. Enfin, le pôle administration réunit quant à lui le service finance/comptabilité, les ressources humaines et d’autres professionnels comme une QSE Manager ou encore une ingénieure biomasse.

Comment expliquer qu’une si petite équipe arrive à déployer au quotidien ce travail colossal, nécessaire au bon fonctionnement de la centrale ? « Terragen a, dès sa naissance, été conçue pour être une usine moderne et, par conséquent, très automatisée. Bien qu’elle ait besoin d’un personnel réduit, elle nécessite toutefois un haut niveau de        technicité », explique Jean-Marc.

En effet, le domaine de la production énergétique est un métier très spécifique, pointu et astreignant : une simple panne peut perturber, pour la population, la fourniture en électricité. « Nous devons produire en permanence, avec un risque de panne contenu, car l’électricité est devenue, pour notre société, un besoin vital », continue-t-il. Un travail exigeant qui demande des qualités bien précises !

« Les prérequis de ce métier sont l’anticipation et l’analyse, ainsi qu’une attention et une rigueur permanentes. Ce sont des qualités que nous retrouvons d’ailleurs chez l’ensemble de nos collaborateurs », dit Jean-Marc. Une belle fierté ! La plupart du personnel en poste aujourd’hui a d’ailleurs commencé sa carrière au début de l’aventure Terragen.

« Ils ont, pour la plupart, assisté et participé à la naissance de ce beau projet. Ils sont attachés à leur outil et se sont investis, jour après jour, dans la construction de la culture de l’entreprise », poursuit-il. Si leur passion est palpable, c’est le sentiment de camaraderie qui règne dans la centrale qui est le plus touchant. Tournois de dominos, petites traditions propres à Terragen, comme le délicieux flan de Fred Cloridor, élaboré une nuit avec les moyens du bord et qui est devenu, depuis plus de 15 ans, un incontournable des équipes de la centrale… Il y règne définitivement un air de grande famille !

« Terragen est, au final, un peu leur bébé. Ils ont ainsi pris à cœur cet engagement et ont nourri une culture de la performance et de l’excellence qui se traduit, dans le quotidien, par un souci du détail, une analyse en profondeur, un soin constant de leur outil de travail, une recherche permanente de solutions et d’améliorations », confie Jean-Marc. Cet amour de la centrale, ce dévouement et ce zèle se retrouvent aussi chez les nouvelles recrues. « Ces dernières s’immergent très vite dans l’univers de Terragen. Comme elles sont bien encadrées, elles apprennent très vite et se sentent appartenir à notre grande famille, ce qui explique que notre taux de turnover soit aussi bas », conclut-il.

Alors que commence une nouvelle année et, avec elle, la période moins intense – mais pas si reposante ! – de l’entrecoupe, l’heure est au bilan. Comment s’est déroulée la coupe 2024 ? Quels en sont les chiffres finaux ? Didier Ramsamy, Factory Manager d’Agriterra, nous dit tout.

Débutée le 8 juillet 2024, la coupe, et notamment le broyage des cannes, a pris fin le 20 décembre – un semestre intense, marqué par un travail effréné et performant. « Nous avons, au total, broyé 680 733 tonnes de canne. Avec un taux d’extraction de 10,98 %, nous avons obtenu 74 731  tonnes de sucre, dont 66 476 tonnes de sucres spéciaux », affirme Didier. Une belle réussite, compte tenu d’une quantité de canne inférieure aux années précédentes.

Si la campagne a, en 2024, été marquée par la qualité de la canne, les équipes d’Agriterra ont, en effet, fait face à de nombreuses difficultés, dont la recrudescence des incendies dans les champs. « Le volume de cannes brûlées livrées à l’usine a été de 8,5 %, contre 5 % en 2022 et en 2023, ce qui a rendu la production de sucres spéciaux difficile », confie-t-il.

Heureusement, la détermination et le travail bien fait ont primé et l’avant de l’usine a, quant à elle, réalisé une bonne performance en efficience mécanique, permettant ainsi un bon déroulement des opérations. « Nous avons également reçu, durant la campagne, toutes nos certifications, ce qui a été particulièrement encourageant », poursuit-il.

L’obtention de la certification nationale d’Indication Géographique (IG) par Maurice a d’ailleurs été l’une des réussites majeures de l’an passé. Ce label international atteste en effet de l’origine géographique d’un produit et, par la même occasion, de son authenticité et de sa qualité. Une excellente nouvelle pour la production de sucres spéciaux de la compagnie, qui devrait grandement bénéficier de cette belle exposition sur le marché international !

Malgré les obstacles, Didier est fier du travail des équipes d’Agriterra. « Cette campagne a été satisfaisante : bien que nous ayons eu moins de canne à broyer, nous avons réussi à produire plus de sucres spéciaux que l’année précédente. Ce succès, nous le devons à tous nos collaborateurs qui ont travaillé d’arrache-pied pour assurer une telle performance ! », conclut-il.

Un grand merci à tous pour votre dévouement et votre énergie sans faille !