Thursday, April 25, 2024 15:44:59

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Début octobre 2023, Novaterra dévoile son nouveau projet résidentiel : Indigo. Situé au cœur de Beau Plan, il incarne à la perfection la philosophie de celle-ci : praticité, accessibilité et esthétique. Julie Merle, Sales & Leasing Executive à Novaterra, nous en dit plus.

La ville ne cesse de se développer ! Le dernier projet en date, Indigo, promet déjà d’apporter de la valeur à la région. Composé de deux blocs d’appartements contemporains d’une à trois chambres en plein cœur de la Smart City, il est idéalement situé à quelques pas du Mahogany, du quartier d’affaires, du Creative Park, et non loin de Mon Rocher, le pôle d’enseignement et de loisirs de la région.

Ayant pour cible les jeunes actifs et les personnes âgées, Indigo est un produit d’investissement intéressant avec un fort potentiel locatif, qui est encore amené à prendre de la valeur avec l’expansion de la ville de Beau Plan. Lancé le 11 octobre 2023, ce nouveau projet a tout de suite rencontré le succès escompté. « En seulement 48 heures, nous comptions déjà 60 % de réservation. Nous sommes aujourd’hui à près de 80 % de réservation et entamons la signature des contrats à la fin du mois d’octobre », confie Julie.

Une fois les contrats signés, les constructions devraient débuter durant le premier semestre 2024, avec une livraison prévue d’ici début 2026. « Nous sommes heureux de voir que notre clientèle nous suit, ce qui est un signe de confiance. Cela nous conforte dans notre envie de nous surpasser », poursuit-elle. Cela montre aussi que Beau Plan devient un point d’ancrage incontournable du nord de l’île.

Si Indigo, qui est en gestation depuis quelques années, connaît un début heureux, c’est aussi grâce au travail acharné des équipes de Novaterra. « Cela a été un beau travail d’équipe qui a rassemblé tous les départements. Voir ce projet aboutir nous motive à persévérer pour de futurs projets », dit Julie. Une aventure qui s’annonce sous les meilleurs auspices !

#YesWeKann a été lancée en septembre 2023 et ils sont nombreux à avoir voulu participer à cette campagne ! Devant les appareils photo et les micros, c’est une petite tranche de leur quotidien qu’ils ont dévoilée, et une certitude : l’industrie cannière, notamment au sein du pôle agriculture du Terra, a encore de beaux jours devant elle ! Rencontre.

Lorsque l’on évoque l’industrie cannière, la première chose à laquelle on pense est sans aucun doute ces étendues de cannes à perte de vue. Autrefois, le travail y était synonyme de pénibilité, les travailleurs agricoles s’escrimant sous le poids du soleil ardent. « Pour donner un aperçu de l’évolution de cet univers, nous avons décidé de partir à la rencontre de différents acteurs de l’industrie cannière chez nous, pour mieux comprendre leur métier et comment se déroule leur quotidien », dit Rudy Larose, HR Manager du Cane Cluster.

Pour Komul Burhooa, Operations Officer du département Land Preparation & Plantation de Terragri, il existe un monde de différence entre l’industrie cannière de l’époque et celle d’aujourd’hui. « Les étapes de préparation du sol ont beaucoup évolué grâce aux nouvelles technologies. Nous misons maintenant avant tout sur l’innovation et sur des équipements dernier cri », explique-t-il.

Même son de cloche chez Sanjula Groodoyal, Operations Officer au sein de la section Belle Vue-Beau Plan à Terragri. « Nous essayons toujours d’aller plus loin. Par exemple, les drones que nous utilisons pour nos relevés servent aujourd’hui aussi à la pulvérisation ciblée d’herbicide, une technique qui permet de réduire leur utilisation », dit-elle. « Certains se demandent quelle peut être l’ampleur de l’industrie cannière… J’ai commencé en tant que stagiaire à Terra il y a quatre ans et je gère aujourd’hui les opérations agricoles sur une surface de 1 200 hectares de canne à sucre et 60 hectares de culture vivrière », ajoute-t-elle. De quoi faire !

Depuis 2017, l’un des projets du groupe est aussi de devenir une ferme digitale, dans le respect de l’environnement. « Le monde cannier est un univers qui évolue sans arrêt. Quand on fait partie de cette industrie, on peut vraiment faire bouger les lignes, être acteur du changement, et ainsi contribuer à façonner l’environnement socio-économique de notre île », dit Patricia Laurent-Ragavan, agronome à Terragri. Amélioration de l’empreinte écologique des techniques de production, conservation de la fertilité des sols, suivi variétal, irrigation efficace des champs… Cultiver la canne est une expérience passionnante !

Cette industrie ne s’arrête pas à la lisière des champs, puisqu’elle touche aussi à de nombreux autres aspects, dont l’usine sucrière de Terra Milling. Pour Olivier K/Hoart, qui y est Production Supervisor, la transformation de la canne a quelque chose de merveilleux. « Savoir que l’on produit quelque chose qui sera consommé par des personnes à travers le monde, c’est bien cela qui nous fait nous lever tous les matins », confie-t-il.

Pour Soheb Hosenally, l’industrie cannière regorge d’opportunités et Terra n’hésite pas à faire confiance aux jeunes qui souhaitent s’y essayer. Arrivé en 2019 en tant que stagiaire, il est aujourd’hui chimiste et responsable du laboratoire de Terra Milling. « Je suis l’un des plus jeunes chimistes de l’histoire de Terra. Ici, on donne leur chance aux jeunes et on met un point d’honneur à leur transmettre un savoir-faire inégalable », souligne-t-il.

« L’agriculture de demain repose sur cela : la transmission d’une expertise vieille de plus de 180 ans pour construire l’agriculture de demain », renchérit Patricia. D’où l’engouement de ces jeunes collaborateurs pour cette nouvelle édition de la campagne #YesWeKann. « Nous voulions montrer les visages des personnes qui travaillent dans ce domaine, représenter les métiers de la canne et les évolutions présentes au sein de l’industrie. Derrière les machines se trouvent de nombreuses personnes et c’est le côté humain de ce secteur qui est le plus intéressant et enrichissant », ajoute Olivier.

Outre les avancées technologiques et l’aspect humain qui se dégage de cette industrie, l’un des points forts des métiers de la canne reste l’absence de routine. « Aucun jour ne se ressemble, il y a toujours de nouveaux défis à surmonter. C’est ce qui rend le secteur cannier si passionnant ! », affirme Vandana Goorvadoo, Irrigation & Water Resource Engineer chez Terragri. « Cette campagne de sensibilisation a, en ce sens, toute son importance : les jeunes doivent impérativement comprendre ce que représente ce secteur aujourd’hui », ajoute-t-elle.

Un sentiment qui trouve écho chez ses collaborateurs. « Nous évoluons dans un domaine dynamique, et l’agriculture de demain se construit aujourd’hui avec les jeunes qui ont l’ambition et l’audace d’apporter une nouvelle perspective à l’industrie cannière, et qui auront la volonté de recevoir et bonifier un patrimoine d’expérience et de connaissances », conclut Patricia.

Situé à côté de L’Aventure du Sucre, le musée qui évoque l’un des pans industriels les plus importants de l’histoire mauricienne, Le Fangourin, nommé en honneur du premier jus extrait de la canne, vient lui aussi célébrer la richesse de la culture mauricienne. Ouvert en 2001, il offre, sous sa varangue ombragée, des plats uniques et travaillés aux saveurs de l’île.

Entouré d’un magnifique jardin arboré, Le Fangourin ravit les cœurs des visiteurs de la région. Outre son cadre somptueux, le restaurant offre une cuisine singulière, marquée par la passion et la créativité. Dans ses plats 100 % faits maison, c’est la culture mauricienne dans tout ce qu’elle a de plus savoureux qui s’exprime.

Dry curry de cerf du Domaine du Rambouillet, cannelloni au jacque, salade d’ourite et gato pima croustillants, papaye verte confite à la cannelle et sucre Demerara… Chaque assiette est sublimée par des produits directement issus du potager bio du restaurant, des sucres complexes élaborés à Terra Milling, ou encore de produits locaux sourcés à proximité.

« Notre équipe est passionnée et dévouée, et chacun de nos plats célèbre notre patrimoine culturel en utilisant des produits du terroir mauricien », confie Sandrine d’Unienville, Cultural Development & Communication de L’Aventure du Sucre. Un amour de la cuisine et de la culture mauricienne qui est d’ailleurs reconnu à l’international, puisque Le Fangourin a reçu, pour la neuvième année consécutive, le Travellers’ Choice, le prestigieux prix TripAdvisor. « Cette reconnaissance renforce notre détermination à continuer d’élever les normes de l’industrie de la restauration à Maurice », poursuit-elle.

Profondément engagé, le restaurant promeut aussi, à travers sa charte de durabilité, l’économie circulaire et le développement durable. Pour asseoir sa prise de position, il possède depuis quelques mois le label Made in Moris. « Ce label vient cimenter notre volonté de réaliser une production mauricienne de qualité, de prioriser les fournisseurs locaux et de protéger les emplois », explique Sandrine.

Une belle philosophie, reflet d’un restaurant à l’âme résolument mauricienne !

En septembre, une nouvelle aventure a commencé. Instigués par le département des Ressources Humaines et en partenariat avec Caritas Île Maurice, des cours de renforcement des compétences en français lu et écrit sont organisés deux fois par semaine pour une dizaine de collaborateurs. Retour sur cette formation.

Ils sont nombreux à assister à la dernière formation tenue par Caritas Île Maurice ! « Ce sont des membres de notre équipe de la maintenance et de la cuisine du Fangourin. Un participant venu de Novaterra a aussi décidé de bénéficier de ces cours », explique Sandrine d’Unienville, Cultural Development & Communication de L’Aventure du Sucre.

L’objectif : renforcer leurs compétences autour d’une formation axée sur la langue française. « Ces cours instaurent une base essentielle à partir de laquelle les participants pourront par la suite bénéficier d’autres formations professionnelles », poursuit-elle. Un tremplin qui promet aussi d’apporter des connaissances utiles au quotidien.

Étendue sur trois mois, cette formation connaît déjà un certain succès. « L’apprentissage et l’épanouissement sont deux des piliers de la philosophie de Terra. Depuis le début, les participants sont tous très heureux d’approfondir leurs connaissances et d’apprendre de nouvelles choses », conclut Sandrine.

Des semaines intéressantes en perspective !

Le mois d’octobre s’est annoncé particulièrement intense… et ce n’est pas fini ! Retour sur ces événements qui ont émaillé ces dernières semaines avec Benjamin Gilot, Cultural Project Manager à Novaterra.

On ne peut pas dire que les choses ne bougent pas à Terra ! « Nous organisons des activités qui plairont à tous, des enfants aux gastronomes, en passant par les entreprises », dit Benjamin. Derrière cet agenda bien rempli, l’envie de faire vivre la région, de créer du lien entre résidents, travailleurs et visiteurs, et, surtout, de passer un bon moment tous ensemble !

Ce mois-ci, les amateurs de bonne nourriture ont été comblés ! Le 13 octobre, c’est à Zakadi que se sont retrouvés les aficionados de burgers pour un Burger Day gourmand. « Nous adorons manger à Maurice, c’était donc la bonne occasion pour se retrouver et déguster de savoureux burgers », confie Benjamin. Cet événement, qui a duré toute la journée et qui a réuni quelque 170 personnes, s’est terminé en soirée avec une petite session musicale.

Le 25 octobre, c’est à La Cantine que se sont cette fois réunis les amoureux de cuisine italienne pour « La Trattoria ». « Nous avons combiné notre apéro mensuel à cet événement gourmand pour célébrer la Journée internationale des pâtes. L’idée était de bousculer notre concept d’apéro et de transformer La Cantine en trattoria le temps d’une soirée », ajoute-t-il. Pâtes à la truffe, raviolis à la feta et aux épinards, tiramisu… De 17h30 à 21h, c’est une formule entrée-plat-dessert avec accord mets-vins à Rs 600 qui a été proposée, pour le plus grand plaisir des amateurs de cuisine italienne.

Côté business, Beau Plan a aussi accueilli, le 12 octobre, sa soirée spéciale Expat & French Tech à La Cantine. Organisée pour faciliter le networking, chaque participant devait se présenter et proposer un bref descriptif de sa compagnie et/ou des services proposés, avant de se retrouver autour d’un apéro. « La soirée s’est très bien passée et les participants ont été heureux de découvrir le Business Park de Beau Plan », dit Benjamin.

Le 28 octobre, c’était au tour du Creative Park et du Workshop d’accueillir les Women’s Entrepreneur Awards, concept créé pour encourager et récompenser les femmes entrepreneures de l’île. « Il était important pour nous d’être les hôtes d’un événement tourné vers l’entrepreneuriat et porté par des femmes », continue-t-il. De 18 h à 22 h, une centaine de personnes se sont donc réunies pour assister à un discours fort et motivant, suivi d’une remise de prix.

Enfin, pour terminer le mois en beauté, petits et grands sont conviés à une soirée spéciale Halloween façon Beau Plan. Rendez-vous au Creative Park de 16 h à 20 h pour une fin de journée tout en frissons ! Barbe à papa, pop-corn, château gonflable, face painting, jeu « Poke the monster »… « Le Workshop et le jardin seront décorés pour l’occasion. Nous voulions célébrer Halloween et terminer octobre sur une note festive pour les enfants », conclut Benjamin.

Voilà qui donne le ton pour une fin d’année haute en couleur !