Wednesday, August 20, 2025 15:45:01

Rs 20.40

At Terra, sustainability is embedded in our way of working. Through Terra Act, we unite our people, projects, and partnerships to create a lasting positive impact for society, the environment, and our stakeholders.

Our business model is a benchmark for the circular economy in sugar production, where byproducts from one activity become resources for another. This closed-loop approach boosts efficiency, reduces waste, and strengthens our environmental performance.

To ensure coherence across the Group, we have created a shared sustainability identity (Terra Act) built around 10 key themes aligned with the UN Sustainable Development Goals, from education and biodiversity to energy, water, and responsible production and consumption. Each business cluster defines its own priorities and initiatives within this framework, supported by a decentralised governance model and sustainability committees

A new Group Sustainability department has been created since January 2025 aiming to build-up the group Sustainability strategy, create consistency between the group entities, and making sure we all sharing a common vision. The sustainability department is also a support platform for the companies, driving and supporting the different projects and initiatives across the group.

Responsible Production & Consumption

AMEN GRO PLASTIK NOU FER MAZIK

Upcoming bulk plastic recycling initiative, in partnership with Beau Plan, Mahogany Shopping Promenade, and PIM Recycling, will run from 20 September to 11 October 2025.

Plastic collected will be sorted and transformed locally by Pim Ltd into new products.

One collection point will be set up at Mahogany Shopping Promenade at the spillover car park and will be open every Saturday during the campaign from 9am to 12pm only.

Collections are planned in the villages of Bois Rouge and Pamplemousses to recover large plastic items for recycling on the 27 & 28 September.

Collection points open from 9am to 2pm:

– Pamplemousses market

– District Council of Pamplemousses

– Welfare Centre of Pamplemousses

– Arche de Noe ONG

More information on the initiative here: URL

Information on the different plastic items which can be recycled here: URL

With Terra Act, we aim to make sustainability a driver of innovation, resilience, and longterm growth, ensuring every employee is empowered to be an active part of the change.

En août 2025 commenceront les cours de théâtre, menés par Benjamin Gilot, Cultural Project Manager de Novaterra, professeur de théâtre… et acteur ! S’inscrivant directement dans la philosophie de bien-être et d’inclusion de Terra, la Terratroupe, la nouvelle aventure créative du groupe, promet d’être palpitante.

C’est connu : le théâtre présente de nombreux bienfaits, tant sur le plan social que personnel. « Il permet, par exemple, d’améliorer la communication, que ce soit à travers l’expression orale, ou l’écoute active. Il renforce aussi, notamment à travers les jeux d’improvisation, la cohésion d’équipe », explique Benjamin. S’il permet surtout de développer la créativité, il aide aussi à surmonter certaines peurs, comme celle du regard des autres, et à gérer ses émotions, augmentant par la même occasion la confiance en soi.

« Nous essayons toujours de trouver de nouvelles façons de favoriser le bien-être de nos collaborateurs. Pour cette nouvelle initiative ‘People’, nous avons voulu capitaliser sur l’énorme bagage professionnel de Benjamin », dit Frédérique Perpétu, Sustainability and Reporting Lead de Terra. Pour ce faire, deux sessions d’initiation au théâtre ont été organisées les mardis 8 et 15 juillet pour qu’amateurs de théâtre et curieux puissent venir expérimenter cette nouvelle initiative.

« L’idée est de donner un avant-goût des mois à venir. En effet, une session hebdomadaire sera mise en place chaque mardi à partir du 5 août, et ce pendant six mois, voire plus », continue-t-elle. Les inscrits pourront donc profiter d’un cours d’1h30 et d’un programme bien chargé ! « De nombreuses activités sont prévues : exercices de diction et d’articulation, analyse de texte, duos comiques et, peut-être, un petit spectacle à la fin de cette période d’essai ! », confie Benjamin.

Le bonus : 50 % du prix de chaque session sera pris en charge par Terra. « Au-delà du développement personnel favorisé par cette démarche, c’est aussi l’occasion de créer du lien entre les différentes entités du groupe, à travers rencontres et partages, et tout en sortant de sa zone de confort », ajoute Frédérique. Les deux sessions d’essai sont déjà passées et le feed-back est unanime. « Nous avons eu de très bons retours, les participants se sont beaucoup amusés. Nous avons hâte de démarrer ce nouveau projet », conclut Benjamin.

 N’oubliez pas de vous inscrire !

Le groupe Terra poursuit la promotion de la santé mentale et physique, essentielle tant au niveau personnel que professionnel, à travers une série de nouvelles initiatives qui toucheront de nombreuses entités du groupe. Le point avec Frédérique Perpétu, Sustainability and Reporting Lead du groupe.

En août, les choses bougent côté santé chez Novaterra, L’Aventure du Sucre, Terra Finance, Terra Corporate et Grays. « Nous avons décidé de dédier chaque mercredi à la santé – physique et mentale – de nos collaborateurs avec la mise à disposition d’un médecin le matin et d’une psychologue l’après-midi dans une salle spécialement aménagée », dit Frédérique. Pour prendre rendez-vous, rien de plus simple : les consultations médicales peuvent être réservées directement via Microsoft Booking, tandis que les sessions avec la psychologue peuvent être réservées en tout anonymat à travers une hotline fournie par le Employee Assistant Programme (EAP) développé par Growth EAP Ltd.

Promouvant le bien-être et l’inclusion de chaque élément du groupe, cette nouvelle démarche répond à l’une des préoccupations majeures du groupe. « Ce projet nous tient particulièrement à cœur car chacun de nos collaborateurs se situe au centre de notre activité. Un employé qui n’est pas en bonne santé physique et/ou mentale, c’est une compagnie qui est dysfonctionnelle », continue-t-elle. Une initiative qui s’inscrit d’ailleurs dans une perspective plus large.

En effet, de nombreuses sessions de sensibilisation sont aussi prévues à travers l’EAP pour les mois à venir. « Ces ateliers porteront sur différentes thématiques liées à la santé mentale comme, par exemple, le burn-out » ajoute Frédérique. La prochaine en date : une première séance de conscientisation autour de la santé mentale se tiendra le 8 août et qui réunira les collaborateurs de L’Aventure du Sucre, Novaterra, Terra Finance et Terra Corporate. De plus, de nouvelles formations répondant à cet objectif seront également lancées dans les mois à venir.

En ce sens, une première formation sur le management bienveillant pour réduire les risques psychosociaux est déjà organisée pour le 18 août. D’une durée de 3 h et dispensée à deux groupes de 30 personnes, elle traitera de cette catégorie de risques liés aux conditions de travail et aux facteurs relationnels et organisationnels, et donnera aux Managers et Team Leads de nombreux outils pour instaurer un climat de travail bienveillant et empathique. Le groupe ne compte pas s’arrêter là ! « Nous avons de nombreux projets prévus pour le reste de l’année, comme, par exemple, notre programme d’alphabétisation organisé avec Caritas et qui devrait démarrer d’ici 2026 », dit Frédérique.

Que d’idées passionnantes qui dessinent un cadre professionnel où il fait bon évoluer !

Situé depuis quelques années près du studio de danse, l’atelier d’impression et d’exposition The Octopus a, le 1er juin 2025, bouclé ses valises et déménagé dans un local plus grand au sein du Creative Park. Une démarche qui ouvre de nouvelles perspectives. Le point avec Gaëlle Gonzalez, directrice de The Octopus.

Niché dans un petit jardin foisonnant à l’entrée du Creative Park, le nouvel emplacement de l’atelier d’impression et d’exposition The Octopus appelle résolument à la flânerie méditative et à la délectation artistique. Si l’espace de travail et d’exposition est aujourd’hui beaucoup plus grand, les aspirations de Gaëlle le sont aussi !

« Nous avons maintenant une salle entièrement dédiée à l’impression photo, ce qui nous permet d’avoir un atelier de production plus efficace et des opérations plus fluides », explique-t-elle. Avec une mise en place épurée et aérée, les œuvres exposées s’apprécient, elles aussi, plus librement. Auparavant essentiellement centré sur la photographie, la peinture sur photo et la reproduction, The Octopus réalise, avec son agrandissement, un rêve à portée plus large.

En effet, l’atelier ne se cantonne désormais plus à ses propositions habituelles. « Nous avons décidé d’ouvrir notre sélection à d’autres arts et d’offrir des pièces uniques », dit Gaëlle. Sculptures papier et broderies sur papier recyclé de Nathalie Koenig, œuvres d’art de Nirveda Alleck ou encore toiles du nouvel artiste Karthik Ilango… C’est avec sensibilité et émotion que Gaëlle entend créer une plateforme d’expression pour l’art sous toutes ses formes.

Et son cadre de travail n’y est pas pour rien ! « Travailler dans un environnement végétal aussi riche est particulièrement propice à l’inspiration », commente-t-elle. Pour célébrer la croissance de l’atelier, The Octopus prévoit un événement courant septembre, dont Gaëlle nous dévoilera les détails en temps voulu !

À suivre de près !

Originaire de France, Fleur Edel Seebundhun n’hésite pas, après avoir fait le lycée hôtelier et un BTS mention hôtellerie, à se lancer, à tout juste 20 ans, dans une nouvelle aventure à l’île Maurice. Sommelière chez le groupe hôtelier Constance, elle découvre les îles de l’océan Indien, avant de se poser durablement à Maurice en intégrant l’équipe de Grays en 2016. Zoom sur un métier pluriel.

Passionnée de vin, la sommellerie apparaît vite comme une évidence pour Fleur. Après avoir exercé dans l’hôtellerie, elle décide de rejoindre Grays en tant que sommelière du 20/Vin de Flacq. Elle cumule très vite les responsabilités et s’occupe, par la suite, aussi du côté cosmétiques. En 2021, elle devient en charge du Business Unit Wine de l’entité.

Ses tâches sont dès lors multiples. « Je m’occupe d’entretenir des relations avec les fournisseurs, de développer différentes marques chez Grays, d’en ramener de nouvelles ou encore de trouver des produits innovants, comme, par exemple, nos boissons sans alcool », explique-t-elle. À cela s’ajoute la casquette de formatrice, en interne comme chez les clients. « Je suis aussi formatrice WSET (Wine & Spirit Education Trust), une compagnie livrant des diplômes certifiés dans plus de 140 pays », ajoute-t-elle.

Présente aux différents événements organisés avec ses fournisseurs, son travail lui permet aussi de voyager, que ce soit pour assister à des salons ou pour accompagner des clients. « Ce que j’aime avec mon métier, c’est qu’à la différence de la sommellerie en hôtel, j’ai l’occasion de toucher à tous les aspects du monde du vin, ce qui passe par le développement des produits en interne, l’enrichissement de notre offre, mais aussi l’établissement de relations solides avec nos clients et fournisseurs », explique Fleur.

Plus que de la simple vente de vin, cette dernière expérimente en effet aujourd’hui ce domaine à 360 °. « Aucune journée ne se ressemble, il y a toujours quelque chose de nouveau à faire ! J’aime l’ambiance de Grays, nous avons une équipe dynamique, et je connais beaucoup de liberté dans mon travail », dit-elle. Si la sommellerie traditionnelle ne lui manque pas tant que ça, elle imprègne toutefois certains aspects de son métier, ce qui n’est pas pour lui déplaire !

Le moment le plus attendu de l’année est arrivé : après un semestre de préparation, d’entretien et de remise en état, les machines d’Agriterra ronflent à l’usine comme aux champs, et les équipes sont prêtes à relever le défi. Retour sur un début de coupe prometteur avec Sébastien Mamet, General Manager d’Agriterra.

Si le coup d’envoi de la coupe s’est fait le lundi 7 juillet, celle-ci a été précédée par la traditionnelle cérémonie interreligieuse pour démarrer les opérations sous les meilleurs auspices. Moment d’unité fort, cet instant partagé est aussi venu ancrer certaines valeurs chères à l’entité, comme l’inclusion et le respect de l’autre. « Cette cérémonie nous a permis de réaffirmer l’importance d’une équipe unie autour de valeurs communes. Ensemble, nous dessinons l’Agriterra de demain : plus engagée, plus cohérente et toujours fidèle à ses valeurs historiques », explique Sébastien.

Cinq jours plus tard, c’est avec enthousiasme que les équipes se sont réunies dans la cour de l’usine pour le lancement du premier broyage, malgré la fatigue de la fin de l’entrecoupe. « La fin de l’intercampagne a en effet était marquée par un léger retard sur la remise à jour de deux appareils à cuire. Nos collaborateurs ont donc dû mettre les bouchées doubles pour résoudre ce problème à temps », continue-t-il.

À la troisième semaine de la coupe, le moral est bon et les équipes sont confiantes. Selon les estimations, quelque 650 000 tonnes de canne à sucre seront broyées et 63 000 tonnes de sucres spéciaux produits. « Nous sommes optimistes car 2025 est une année très importante pour Agriterra. Nous avons renforcé nos fondations, introduit de nouvelles technologies, numérisé nos processus et beaucoup investi dans la formation », conclut Sébastien.

Bon courage à tous nos collaborateurs d’Agriterra !

Crève-Cœur, avec ses magnifiques montagnes, ses vallées verdoyantes et sa nature foisonnante… Voilà un lieu où il fait bon rêver ! En juin 2025, Novaterra nous dévoile son dernier projet : des lots de terrains agricoles nichés au cœur d’un cadre résolument vert. Karina Paul, Sales Executive chez Novaterra, nous parle de cette nouvelle offre.

 Stratégiquement situé à quelques mètres de l’axe Terre-Rouge – Verdun, Crève-Cœur Domaine Agricole est la dernière nouveauté de Novaterra. Composé de 73 lots d’une superficie de 71 perches à monter, le projet affiche un prix de départ de Rs 2,5 millions. Offrant une rare combinaison entre accessibilité urbaine et tranquillité rurale, cette nouvelle offre constitue une opportunité à fort potentiel.

 « Au fur et à mesure que les zones urbaines s’étendent, ces terrains deviennent stratégiques. Bien situé, un terrain agricole peut prendre de la valeur à long terme, notamment s’il s’inscrit dans une dynamique de développement local », explique Karina. Moins onéreux qu’un terrain résidentiel, commercial ou encore industriel, le terrain agricole se situe en pleine nature et offre des vues sublimes sur le Pieter Both et le Coin de Mire – le cadre idéal pour les amoureux de nature !

« La reconnexion à la nature est en effet une tendance observée à la hausse. Au-delà de l’aspect financier, l’investissement agricole symbolise un retour à l’essentiel : la terre, la production locale et une qualité de vie plus authentique », poursuit-elle. Si ce projet coche les cases d’un investissement sûr et offre un cadre enchanteur, il est aussi idéalement situé à proximité des grands axes, commerces et services de la région. « Investir dans ce projet, c’est acquérir un actif tangible et résilient, dans un emplacement de choix, loin des vicissitudes de la ville ! » conclut-elle.

 Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter nos équipes chez Novaterra !

Si vous pensez qu’être magasinier c’est être confiné entre les murs d’un magasin, vous avez tout faux ! Entre le store, le site, ou encore les échanges avec l’étranger, celui-ci a fort à faire sur tous les fronts ! Sanjay Gunga met en lumière ce métier essentiel de la centrale.

Cela fait 12 ans que Sanjay a rejoint Terragen en tant que magasinier. Réception des marchandises, contrôle de la qualité et de la quantité, enregistrement et rangement… Responsable de toutes les opérations qui se déroulent au store, rien n’entre ou sort du magasin sans qu’il ne le sache ! Le site de la centrale étant important, il comporte, pour le stockage des marchandises, un magasin central, six conteneurs de 40 pieds et quatre remises.

« Dépendant de la demande effectuée, c’est à la réception que nous vérifions auquel de ces endroits les marchandises recherchées sont stockées avant de les livrer », explique Sanjay. Au-delà de ce rôle primordial, Sanjay endosse de nombreuses autres responsabilités. Si l’on se rend compte qu’une pièce est défectueuse, c’est par exemple à lui qu’incombe le devoir de l’envoyer en Europe se faire réparer. « En plus de m’occuper de l’emballage du produit et de son envoi, je reste en contact constant avec le transitaire », dit-il.

De l’écrou à la soupape, il est aussi chargé de l’approvisionnement des équipements. À cela s’ajoute aussi celui des consommables du bureau et de la cuisine. « Nous disposons d’un système qui nous permet de comptabiliser le stock de produits et de savoir quand il faut passer une nouvelle commande », souligne-t-il. Enfin, Sanjay reste aussi en communication avec les différentes équipes pour répondre au plus vite à leurs besoins.

Demande de cotation, recherche de la meilleure affaire, commande, gestion du transit, vérification de la marchandise, stockage, livraison ou inventaire… Sanjay agit vraiment sous tous les fronts ! « Nous gérons plus de 7 000 items répartis en différents endroits, ce qui ne nous laisse pas le temps de nous ennuyer ! Il y a toujours quelque chose de nouveau à faire », dit-il. Ce qu’il préfère dans son travail ? L’atmosphère familiale de Terragen et le merveilleux travail d’équipe qui s’y fait chaque jour. « La beauté de la centrale, c’est que nous travaillons tous ensemble, et à tous les niveaux », conclut-il.

​​Qui a dit qu’on ne cultivait que de la canne à sucre chez Terra ? Pommes de terre, oignons, macadamia… Chaque année, Agriterra s’attelle à la tâche passionnante de la culture vivrière. Le point avec Jimmy Anthony, Area Manager d’Agriterra.

Si l’histoire de Terra – et, par extension, d’Agriterra – est intimement liée à celle de la canne, le groupe ne se cantonne pourtant pas à la culture de celle-ci. En effet, depuis quelques années, Agriterra s’est mise à la culture vivrière. Prônant une agriculture moderne et durable, l’entité consacre chaque année une trentaine d’hectares, habituellement dédiés à la canne, à la plantation d’autres légumes.

Cette initiative répond à deux objectifs fondamentaux d’Agriterra. Le premier, qui renvoie directement à la stratégie de l’entité, est de participer à l’autosuffisance alimentaire du pays. Le deuxième s’aligne quant à lui au désir de promouvoir un mode d’agriculture respectueux du sol. En effet, la rotation des cultures sur des parcelles jusqu’alors réservées à la canne permettrait de lutter contre l’appauvrissement du sol, d’en améliorer la structure et la fertilité.

 Comme chaque année, la parcelle destinée à la culture vivrière est soigneusement choisie selon la qualité du sol et la facilité de son irrigation. En 2025, ce sont sur les terres situées entre Solitude et Balaclava que seront cultivés oignons et pommes de terre. « Nous avons débuté l’ensemencement en juin et visons une récolte à la mi-septembre. Nous prévoyons de récolter 700 tonnes de pommes de terre pour 29 hectares de terres cultivées et 140 tonnes d’oignons pour 4 hectares », explique Jimmy. 

Pour s’assurer de la réussite de ce projet annuel, Agriterra mise sur une agriculture de pointe et presque entièrement mécanisée. Décompactage au bulldozer, épierrage profond avec des équipements à dents comme le chisel, labourage avec des disques, sillonnage et tamisage… Chaque étape de ce processus est cruciale pour optimiser la plantation et le développement des cultures. 

« Nous utilisons des procédés scientifiques, raisonnés et respectueux de l’environnement qui nous permettent d’effectuer des observations ciblées sur l’évolution des cultures tout au long du cycle », ajoute-t-il. L’objectif ? Maximiser le rendement ! Une fois récoltés, les produits frais sont ensuite envoyés en chambre froide, maintenant leur qualité sur plus de six mois.

Une machine bien huilée qui contribue à réduire la dépendance de l’île aux importations !

En avril 2025, Terra signe un partenariat de trois ans avec Odysseo Foundation pour la préservation des milieux marins et côtiers. Rejoint par Rogers et Eclosia, le groupe entend, à travers des donations annuelles, œuvrer à la sensibilisation, mais aussi la réhabilitation de ces zones. Frédérique Perpétu, Sustainability Lead de Terra, nous en dit plus.

 « En tant que Mauriciens, nous sous-estimons souvent à quel point nous dépendons des écosystèmes côtiers et marins », commence Frédérique. Essentiels pour lutter contre l’érosion, pour favoriser la biodiversité marine ou, a fortiori, pour produire de l’oxygène, ces derniers subissent cependant, depuis quelques décennies, une dégradation constante. Outre l’aspect environnemental, cette situation est aussi devenue une urgence économique.

« Nous sommes, en tant qu’habitants d’une île, directement touchés par ce déclin. Un exemple simple : une détérioration de nos récifs provoquera invariablement l’érosion de nos côtes et, avec celle-ci, la disparition de nos poissons, de nos plages… et de nos touristes ! », dit-elle. Pour participer à la lutte contre la destruction des zones côtières et marines, Terra a décidé, en avril 2025, de devenir l’un des partenaires stratégiques d’Odysseo Foundation. « Nous avons, en tant qu’entreprise, une réelle responsabilité à souligner l’importance de la préservation de ces écosystèmes qui nous nourrissent et nous permettent de respirer », ajoute Frédérique.

S’étendant sur trois ans, ce partenariat engage Terra à investir à travers Odysseo Foundation Rs 2 millions chaque année dans de nombreux projets de sensibilisation, de recherche et de conservation des milieux marins et côtiers. « Cette nouvelle démarche a aussi été l’occasion pour nous de conscientiser nos collaborateurs afin qu’ils deviennent nos ambassadeurs », continue-t-elle. Pour ce faire, de nombreuses interventions ont été organisées avec l’ONG Reef Conservation et son incontournable caravane éducative, Bis La Mer.

Découverte de la richesse et de l’importance de nos écosystèmes, exploration de la chaîne alimentaire marine, explication de la restauration corallienne et des pratiques non durables… Autant de sujets passionnants qui seront abordés lors de ces sessions ! Si le coup d’envoi a été donné le 24 juin par Novaterra, L’Aventure du Sucre et le pôle Corporate, les séances se poursuivront le 23 juillet pour Terragen, le 29 juillet pour Grays et d’autres dates à venir pour les autres entités du groupe. Le bonus : chaque collaborateur qui aura complété l’activité se verra offrir un ticket pour l’océanarium Odysseo !

 Un engagement fort face à une urgence environnementale que l’on ne peut plus ignorer !