Friday, October 31, 2025 15:45:01

Rs 20.25

Le mercredi 30 octobre 2025, la nouvelle identité du club de padel de Mon Rocher est révélée : Caña. Tirant son nom de la caña de azúcar, autrement dit la canne à sucre en français, cette nouvelle identité vient célébrer la riche histoire de la région dans l’industrie sucrière, les origines espagnoles du padel, mais aussi la caña, cette petite bière espagnole synonyme de délicieux moments de partage.

Les amateurs de padel découvriront, dans les mois qui viennent, un club entièrement remis à neuf : nouvelles couleurs, réaménagement des lieux, ambiance fun et conviviale à l’image de ce sport qui ne cesse de gagner en popularité…  Les nouveautés ne s’arrêtent pas là : une nouvelle application mobile permet désormais de réserver son terrain en quelques clics ! Enfin, le club réserve encore quelques surprises pour les mois à venir, comme, par exemple, quatre nouveaux courts couverts, permettant aux joueurs de s’adonner à leur sport favori qu’il vente ou qu’il pleuve !

« Au-delà de l’aspect purement sportif, Caña a pour vocation d’être un endroit où les gens se rencontrent, partagent et créent des liens, tout en conservant l’identité unique et l’héritage historique de Mon Rocher », dit Emeric Vigier de Latour, Senior Manager – Communication & Marketing de Novaterra. Les mois à venir promettent d’ailleurs d’être passionnants, avec toute une série d’événements, de tournois et de compétitions amicales à venir. Une transformation qui incarne bien l’esprit de Beau Plan : celui d’une ville inclusive, dynamique et fédératrice !

Depuis 2002, L’Aventure du Sucre partage avec fierté l’épopée de la canne à sucre et l’histoire de Maurice, accueillant chaque année plus de 100 000 visiteurs étrangers et mauriciens. Vingt-trois ans après son ouverture, le musée ouvre un nouveau chapitre : un parcours entièrement repensé, dans un site resté ouvert au public tout au long des 18 mois de travaux. 

« Réaliser cette transformation d’envergure sans perturber l’expérience des visiteurs a été un véritable challenge », souligne Sandrine d’Unienville, Manager – Cultural Development & Communication. « Mais le résultat est à la hauteur de notre ambition : faire évoluer L’Aventure du Sucre tout en préservant son âme. » Conçu avec l’agence de scénographie parisienne Clémence Farrell, en étroite collaboration avec historiens, scientifiques et experts locaux, ce nouveau parcours se déploie en neuf séquences, des origines de l’île jusqu’aux perspectives énergétiques de demain. « Notre nouveau parcours raconte bien davantage qu’un produit : il révèle une culture, une économie, une énergie et une histoire profondément humaines », ajoute Sandrine.

Les dispositifs multimédias, documents d’archives et une riche iconographie plongent le visiteur dans une aventure humaine autant qu’industrielle, faite de migrations, de métissages, d’innovations et d’audace. Audioguide renouvelé en sept langues, livret-jeux pour les enfants, clapets à soulever, énigmes cachées, bande-son immersive, jeux collaboratifs : la visite devient une expérience ludique, où l’on observe, manipule, et surtout… on s’amuse en apprenant ! 

L’Aventure du Sucre est plus que jamais un lieu vivant, engagé et tourné vers l’avenir. Outre la transmission du patrimoine, il interroge les défis contemporains : environnement, diversité, lien social, citoyenneté… Ses actions solidaires auprès des jeunes et des femmes de la région (ateliers solidaires de recyclage artistique et créatif, programmes d’inclusion…) et ses initiatives alignées sur les Objectifs de développement durable soutiennent directement le territoire dont il est issu. Son engagement responsable est aujourd’hui salué triplement : premier site culturel labellisé Made in Moris, premier site culturel labellisé Blue Oasis (GSTC) et premier site culturel bénéficiant d’un prêt durable de la MCB pour accompagner la refonte du parcours.

Pour les équipes du musée et du groupe Terra tout entier, cette nouvelle Aventure du Sucre marque une étape clé : celle d’un patrimoine préservé et réinventé, à la fois fier de ses racines et résolument tourné vers demain. Un musée de cœur, de sens et de fierté mauricienne, nourri par l’engagement de toutes celles et ceux qui font vivre l’histoire du sucre, aujourd’hui encore.

Comme chaque année, le mois d’octobre est, chez Terra comme partout dans le monde, dédié à la sensibilisation autour du cancer du sein. Pour marquer leur engagement, les entités de Terra ont organisé différents événements autour de cette thématique d’une importance cruciale.

Puisque Terra Foundation et Link to Life sont des partenaires de longue date, la fondation a décidé de profiter des célébrations de son quinzième anniversaire pour accorder un chapitre à la lutte contre le cancer. Inspirée par le thème de la journée mondiale du cancer qui a eu lieu en février, « United by Unique », elle a mis en place de beaux événements inclusifs pour une quarantaine de personnes.

Le 30 septembre, 13 bénéficiaires en rémission ou encore en traitement ont pu participer à un atelier solidaire de recyclage mené par l’artiste Élodie Jacobée. L’objectif : créer une œuvre d’art, un arbre de vie, en transformant en fleurs des chutes de tissu donnés par The Kreol Republic et The Good Shop. Le 1er octobre, c’est une trentaine de bénéficiaires qui ont été parrainées pour visiter L’Aventure du Sucre, assister à un cocktail spécialement organisé pour le lancement du Pink October Month et au dévoilement de l’arbre de vie, symbole d’espoir, de courage et de résilience.

« Nous voulions accueillir ces femmes et leur offrir une halte dans leur quotidien souvent difficile », explique Marie-Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation. Chaque bénéficiaire a ensuite reçu une rose. « Nous célébrons aujourd’hui le courage et la combativité de toutes celles et ceux atteints par cette maladie », a aussi partagé Nicolas Maigrot, Managing Director de Terra. À côté de l’arbre de vie, exposé au musée tout le long du mois d’octobre, aura aussi été installée une urne pour récolter des fonds pour Link to Life.

Du côté d’Agriterra, les collaborateurs ont eu un mois chargé. « Dans le cadre d’Octobre Rose, nous avons décidé de collaborer avec le Domaine de Labourdonnais – un partenaire à travers lequel nous proposons déjà un format gym spécial pour les employés de l’entité – pour sensibiliser nos collaborateurs et promouvoir leur bien-être », dit Queency Van Rossom, HR Assistant d’Agriterra.

Au programme : une marche chaque mercredi du mois d’octobre, une conférence sur la nutrition et le cancer, une session de « mega zumba » – dont les frais de participation ont été couverts par Agriterra et reversés à Link to Life –, et un dépistage gratuit pour clôturer le mois d’octobre. « Nous prolongerons Octobre Rose jusqu’en novembre, qui deviendra Movember, avec un match de football inclusif le 6 novembre au Labourdonnais Sports Club », poursuit-elle.

Les entités Terra Corporate et Grays ont, elles aussi, pu bénéficier de séances de dépistage gratuites fin octobre organisées avec Link to Life tandis que ces dernières auront lieu en novembre pour Novaterra. Du côté de Grays, en plus d’un début de mois en fanfare où toutes les femmes sont venues travailler habillées en rose, une collecte de fonds, dont les fonds seront reversés à l’ONG, a aussi été organisée par Bourjois, une marque représentée par Grays.

Après un BSc en Crop Technology  Minor Landscape Management à l’Université de Maurice, Cheshta entame sa carrière professionnelle en tant que Landscape Manager dans une entreprise spécialisée dans le paysagisme. En 2022, elle rejoint Terra en tant que Landscape Lead de Novaterra – l’environnement idéal où cultiver son talent.

C’est l’amour du challenge qui a mené Cheshta aux portes du groupe il y a déjà quatre ans. Gestion quotidienne des activités d’entretien paysager avec une équipe de jardiniers internes, suivi et coordination des prestataires externes pour la maintenance, collaboration avec d’autres départements pour conceptualiser les projets d’aménagement paysager, conception et réhabilitation de paysages sur divers sites, aménagement paysager intérieur… Elle y a définitivement fort à faire !

« Je m’occupe aussi du développement de projets de grande envergure, notamment au niveau de la planification et du design, et fais la liaison avec les entrepreneurs paysagistes pour la bonne exécution des travaux selon les normes et attentes », confie-t-elle. Comme si cela n’était pas assez, elle propose aussi des services paysagers aux résidents de Beau Plan, incluant l’entretien de leurs jardins privés.

Séduite par les valeurs de Terra, elle y voit l’espace rêvé pour consolider ses compétences techniques tout en développant une vision plus stratégique et intégrée de la gestion du paysage dans un environnement corporatif et durable. « Travailler dans un tel cadre m’a permis de grandir personnellement et professionnellement. J’ai été directement attirée par la combinaison de valeurs humaines, d’innovation et, surtout, de croissance durable », ajoute-t-elle.

Si elle apprécie particulièrement la diversité des missions et la possibilité de contribuer de façon concrète et créative à l’embellissement de son environnement de travail, elle aime aussi la collaboration entre les équipes, le contact terrain lui permettant d’être proche des équipes de jardiniers, et aussi l’impact visible de leur travail. « L’aspect humain de ce métier est très précieux pour moi. Je suis ravie de pouvoir allier ma passion au côté technique et relationnel, dans un environnement en constante évolution », dit Cheshta.

Si cette grande amoureuse des jardins vit tous les jours sa vocation, cette dernière ne vient pas sans son lot de challenges. « Mon plus grand défi au quotidien consiste à trouver l’équilibre entre les impératifs opérationnels sur le terrain et les exigences stratégiques des projets à long terme », souligne-t-elle. Gestion simultanée de plusieurs sites avec des réalités et contraintes différentes, maintien du niveau de qualité, coordination des différents intervenants ou encore réponse aux attentes croissantes en matière de durabilité et d’esthétisme…

Des challenges qui nécessitent de grandes qualités d’organisation, de persévérance et de discipline permanente !

Depuis son avènement en 2004, la gamme de rhums New Grove, produite par Grays, ne cesse de trouver des moyens de nous enchanter. Après la magique révélation de New Grove Emotion 1969, un assemblage de rhums dont le plus vieux a plus de cinq décennies, l’entité dévoile sa dernière nouveauté, âgée de 21 ans : New Grove Inception 2004.

Élevée depuis 2004, cette cuvée est le témoin d’un départ réussi : la création de New Grove, la marque phare de l’entreprise, celle qui a voyagé à travers le monde et qui continue de séduire les palais du monde entier. La preuve avec son prestigieux palmarès, d’ailleurs encore une fois enrichi cette année par de nouvelles récompenses : New Grove 1969 avec sa Grande Médaille d’Or et sa Rum Revelation 2025, et Mauricia Heritage qui remporte aussi l’or !

New Grove Inception, c’est un peu une façon de se souvenir de ce grand pas effectué en 2004, après le changement de loi autorisant les distilleries à produire des rhums de qualité. 21 ans plus tard, Grays continue de faire dans l’excellence, incarnant, à travers ses cuvées uniques, des siècles de savoir-faire et de tradition.

Deux fûts de ce rhum vingtenaire, soigneusement conservés, ont ainsi été utilisés pour l’assemblage d’une cuvée d’exception et, il faut l’avouer, un brin nostalgique. Le riche héritage de Grays se révèle déjà au nez, avec de délicieux arômes de sucre caramélisé, de mélasse, de fruits jaunes, d’épices douces, de bois et de fruits secs. En bouche se matérialise une escapade gourmande vers les vergers du nord de l’île, avec des notes de peau d’agrume, de pêche jaune, d’abricot frais, de pruneau et d’épices douce. La finale, puissante, dévoile une touche épurée et une fraîcheur subtilement mentholée.

Présenté au salon Whisky Live Paris du 27 au 29 septembre, ce nouveau rhum a très vite su conquérir les aficionados de spiritueux. « Cette participation à ce prestigieux salon réaffirme notre place de leader dans l’industrie du rhum mauricien et notre rôle de porte-étendard du savoir-faire de notre île », dit Yannick Noel, Business Unit Manager – Rum & Export chez Grays. Véritable ode à la virtuosité et à la passion de Grays, New Grove Inception 2004 est aujourd’hui le plus vieux rhum millésimé jamais commercialisé à Maurice.

Les 3 et 4 octobre 2025 se tiendra à Beau Plan le Job Fair#17 x Anba Pie, un salon de l’emploi organisé en partenariat avec CareerHub – un événement qui marque la première collaboration du groupe Terra pour un tel forum. C’est dans les locaux intemporels de L’Aventure du Sucre qu’aura lieu ce job fair, qui promet d’être une belle plateforme de rencontre et d’échange.

L’Aventure du Sucre s’animera, le 3 et 4 octobre, au son des paroles échangées entre curieux et demandeurs d’emploi, et entreprises recrutant. « Cette 17e édition est un événement ouvert à tous les professionnels, de tous les niveaux, qui souhaitent découvrir de nouvelles opportunités et rencontrer directement les entreprises qui recrutent, dont Terra », explique Sharonne Jaquette-Miner, Head of People and Culture chez Novaterra. Le groupe n’aura en effet pas moins d’une cinquantaine de postes à pourvoir !

Parmi les entités présentes, Agriterra, L’Aventure du Sucre, Grays, Novaterra ou encore Terragen, et Terra Finance Ltd pourront offrir aux intéressés un premier aperçu de la vie dans les différents clusters du groupe. « Le pôle cannier propose aujourd’hui une grande diversité de métiers et de perspectives. Au-delà de l’exercice de recrutement, ce sera également l’occasion de mettre en lumière la dynamique d’Agriterra et de partager la manière dont nous vivons notre culture d’entreprise : “Culture in Motion” ! », partage Sandesh Mohabir, HR Manager d’Agriterra. Pour ce dernier, l’objectif sera ainsi de consolider la marque employeur de l’entité, tout en misant sur la rencontre humaine.

Tout comme pour Sandesh, cet événement représente, pour Athina Audibert, HR Manager de Grays, l’opportunité de comprendre la culture d’entreprise qui anime Grays : celle d’un esprit d’équipe, d’une passion de créer et d’une envie de se surpasser, tous ensemble. « L’expérience employé nous tient vraiment à cœur, de la phase de recrutement à l’onboarding personnalisé, et tout au long de la carrière. C’est tout un écosystème avec, au centre, les valeurs qui nous sont chères et que nous vivons au quotidien », dit-elle.

« Plus qu’un événement, ce job fair est l’occasion de rencontrer des talents, de partager nos passions et de montrer que chaque métier, du jardinier au comptable, a son importance. Chez Novaterra, nous nous impliquons car nous croyons que chaque personne peut apporter sa pierre à l’édifice et contribuer à un projet plus grand que soi », renchérit Sharonne. Un sentiment qui s’exprime d’ailleurs dans la philosophie de Terra.

Au plaisir de vous y retrouver !

À l’occasion de World Clean Up Day qui a eu lieu le 20 septembre 2025, Terra a lancé une nouvelle initiative pour lutter contre la pollution. Via un partenariat avec PIM Ltd, Mahogany Shopping Promenade et Green Impact, le groupe invite les entreprises et particuliers à déposer leurs plastiques volumineux. À vos poubelles, citoyens !

Les chiffres du ministère de l’Environnement donnent froid dans le dos : si la population mauricienne génère environ 75 000 tonnes de déchets plastiques chaque année, seuls 4 % seraient recyclés – soit quelque 3 000 tonnes ! Pour participer à la lutte contre la pollution plastique, le groupe Terra, via sa nouvelle identité Terra Act, a décidé de lancer une collecte de plastiques encombrants à Beau Plan.

Du 20 septembre au 11 octobre, les visiteurs et résidents de la région pourront, chaque samedi de 9 h à midi, déposer leurs déchets plastiques dans un emplacement spécialement dédié à la collecte sur le overflow parking du Mahogany Shopping Promenade. Deux jours de collecte ont été organisés les 27 et 28 septembre dans les régions de Pamplemousses et de Bois Rouge. Des collaborateurs et ONG de la région ont ainsi sillonné les rues à la rencontre des habitants pendant deux jours pour les sensibiliser et les encourager à ramener leurs plastiques encombrants dans les différents points de collecte.

«  C’était une expérience enrichissante de laquelle a découlé une véritable collaboration ! Bravo et un grand merci à tous ceux qui ont participé à cette campagne ! », dit Frédérique Perpétu, Sustainability and Reporting Lead de Terra. Une collecte a évidemment aussi été organisée dans les entités du groupe le 26 septembre. « À plusieurs, nous sommes plus forts, et la collaboration entre les différents acteurs est essentielle pour ce type d’initiative », poursuit-elle.

En plus de sensibiliser la population sur l’importance de la lutte contre la pollution plastique et l’urgence d’adopter le tri et le recyclage, cette démarche permettra aussi de donner une seconde vie aux déchets ainsi récoltés. Grâce à l’expertise de PIM Recycling and Surfrider, ceux-ci seront transformés en divers objets, comme des caisses, des poubelles, des tables, des bancs ou encore des pots de fleurs, dont certains trouveront d’ailleurs leur place dans différents endroits de la région. « Il faut absolument encourager ces entreprises qui œuvrent pour une économie circulaire et plus responsable », martèle-t-elle.

Venez nombreux participer à la magie du recyclage !

Fraîchement sorti de l’école, c’est en 1993 que Benoit d’Avesnes rejoint l’équipe de Mount au niveau de la section California. Engagé comme assistant, il touche alors à toutes les activités liées à l’agriculture. Aujourd’hui Operations Officer chez Agriterra, il nous parle de son parcours et de son métier.

Depuis sa plus tendre enfance, Benoit baigne dans l’agriculture. « Mon père était chef de section à Alteo. Nous habitions la propriété et j’aimais beaucoup cela », confie-t-il. À la sortie de l’école, il reçoit une proposition de travail en tant qu’assistant chez Terra – une offre qu’il ne peut pas refuser ! À l’époque où le Mount était encore divisé en sections, il commence dans la section California, avant d’y ajouter celle de Rosalie.

« Je m’occupais de l’utilisation des herbicides aux champs, de la coupe, du nettoyage… », poursuit Benoit. Quand, en 2010, les sections n’en deviennent qu’une, il est principalement chargé de la fertilisation et de l’utilisation d’herbicides. Dix ans plus tard, il est transféré à la section de la Nouvelle Industrie, comprenant différentes sous-sections et formant partie d’Agriterra. Aujourd’hui, il a toujours autant à faire !

« Je m’occupe de surveiller toutes les opérations qui existent au niveau des champs », dit-il. Lors de la coupe, il supervise par exemple le classement de celle-ci ou encore le tonnage, tandis que durant l’entrecoupe, il dirige les travaux de nettoyage et de plantation manuelle. Fin septembre, quand commence la période de fertilisation et d’herbicides, il est aussi aux champs pour contrôler que tout se fait dans les normes.

Si la moitié de la journée se passe sur le terrain, l’autre a lieu au bureau, où se fait le travail administratif : saisie des données, organisation des missions pour le lendemain, préparation des rapports… Une alternance qu’il apprécie particulièrement ! Ce qu’il aime par-dessus tout : les défis régulièrement posés par le déroulement des opérations, et auxquels il faut trouver une solution ! « J’ai aussi aimé voir, au fil de ma carrière, l’évolution de ce secteur et cela m’a plu d’y participer. Nous sommes, en 30 ans, passés d’une agriculture 100 % manuelle à une agriculture à 90 % mécanique », note-t-il.

Plein d’énergie et toujours de bonne humeur, Benoit est également, en dehors du travail, un grand amateur de sport, qu’il pratique régulièrement à la gym avec ses collègues. Plus qu’une manière de prendre soin de sa santé, il s’agit aussi, pour lui, d’une belle occasion de renforcer les liens et de profiter d’instants conviviaux dans un cadre différent du travail.

Et les années à venir lui réservent certainement encore de belles surprises et de moments agréables en dehors du cadre professionnel !

Le 14 juillet 2025, un BiobiN® était inauguré à Beau Plan. Située près de Grays Distilling, cette poubelle de 12 m3 vient révolutionner la gestion des déchets organiques dans la ville tout en rappelant aux collaborateurs du groupe l’importance de l’économie circulaire, une philosophie prônée par Terra et efficacement mise en œuvre à travers de nombreuses initiatives.

Avec la mise en place de BiobiN®, Terra ajoute une nouvelle démarche circulaire à un bagage déjà bien rempli ! Le principe est simple. « Il s’agit d’un système de compostage aérobie et hermétique conçu pour recevoir et transformer les déchets organiques de manière efficace et sécurisée », explique Frédérique Perpétu, Sustainability & Reporting Lead de Terra. Grâce à un ingénieux système d’aération forcée, le processus est inodore, n’attire aucun nuisible et est particulièrement rapide.

En quelques mois, le compost produit par la décomposition des matières organiques se transforme en humus, riche en nutriments et essentiel pour la biodiversité. Destiné principalement aux collaborateurs des restaurants Le Fangourin et La Cantine de Beau Plan, ainsi que les cantines de Novaterra et Grays, ce nouveau concept promet aussi un impact significatif sur l’environnement : réduction de l’espace utilisé à Mare Chicose pour de tels déchets, diminution des gaz à effet de serre émis par le transport et le méthane généré par la décomposition dans les décharges, baisse de la pollution dans les nappes phréatiques…

Pour s’assurer du bon fonctionnement de ce BiobiN®, douze personnes issues des entités concernées ont suivi une formation pour différencier les déchets qui sont compostables de ceux qui ne le sont pas. Deux mois plus tard, cette initiative a-t-elle eu un impact ? « Depuis le début de cette démarche, ce sont déjà 2,2 tonnes de déchets organiques récoltés et 12 collaborateurs impliqués ! », annonce Frédérique. Un chiffre particulièrement appréciable !

« Le BiobiN® de Terra est l’un de nos sites – sur 35 – qui fonctionne le mieux, grâce à l’enthousiasme et à l’implication des collaborateurs et opérateurs. Merci au groupe pour sa confiance et bravo à toutes les équipes pour ces résultats plus que satisfaisants ! », confie Julien Rambert, directeur de BiobiN (Mauritius) Ltd. Une fois le compost prêt, direction les espaces verts de Beau Plan pour y être utilisé comme fertilisant ou comme conditionneur de sol !

Il nous tarde de voir les résultats de cette belle initiative !

Chaque année, conformément aux recommandations de la Financial Intelligence Unit (FIU), Nilesh Ramsurn, Money Laundering Reporting Officer et Compliance Officer de Terra Finance organise, pour les collaborateurs de Novaterra, des formations autour de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Cette année ne fait pas exception !

Les 23 et 26 septembre 2025 ont eu lieu deux sessions spécialement dédiées au sujet de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Concernant tous les collaborateurs de l’entité, cette formation annuelle est toutefois obligatoire pour les personnes qui sont en contact direct avec la clientèle. « L’objectif est de venir conscientiser nos collaborateurs sur ces activités, mais aussi de les former pour qu’ils puissent identifier les indicateurs d’activités liées à ces sujets et connaître la marche à suivre dans ce cas », explique Nilesh.

Plus qu’une simple session d’information, le programme de cette formation, qui se veut interactive, est riche et dynamique. « Nous revoyons par exemple les lois déjà mises en place pour combattre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, mais nous couvrons aussi les dernières évolutions de ces lois et étudions aussi des cas récents issus de la presse locale ou internationale », ajoute-t-il.

En couvrant des outils bien connus de sollicitation directe à la clientèle, comme les procédures KYC ou le Customer Due Diligence, c’est surtout l’importance d’un contrôle des transactions constant durant toute la relation entre l’entité et les clients qui est soulignée. « C’est un aspect absolument essentiel de la relation client et qui touche à toute notre clientèle, qu’il s’agisse d’un locataire du Mahogany Shopping Promenade ou de The Strand, ou d’un potentiel acquéreur de bien », précise Nilesh.

Mêlant théorie et pratique, cette formation s’intéresse ainsi à la responsabilité de chacun des collaborateurs dans cette relation et à la compréhension des démarches déjà mises en place au sein de l’entité, tout en leur donnant les moyens de détecter une activité suspicieuse et d’agir en conséquence. « Il ne s’agit pas simplement de comprendre ce qui est attendu de nous dans une telle situation : il faut aussi comprendre notre rôle dans la protection de l’entreprise – mais aussi des employés – pour éviter qu’elle ne soit utilisée pour faire du blanchiment d’argent », souligne-t-il.

Si les sessions des deux dernières années ont rassemblé quelque 27 collaborateurs, Nilesh vise, pour cette année, plus haut. « Mon but serait, sur le long terme, d’étendre cette formation à d’autres départements et de réunir une quarantaine de collaborateurs », dit-il. Misant sur la promotion d’une véritable culture de conformité financière, il espère ainsi, à travers ces formations annuelles, ancrer solidement ces connaissances chez ses collaborateurs.