Friday, May 2, 2025 15:44:59

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#YesWeKann a été lancée en septembre 2023 et ils sont nombreux à avoir voulu participer à cette campagne ! Devant les appareils photo et les micros, c’est une petite tranche de leur quotidien qu’ils ont dévoilée, et une certitude : l’industrie cannière, notamment au sein du pôle agriculture du Terra, a encore de beaux jours devant elle ! Rencontre.

Lorsque l’on évoque l’industrie cannière, la première chose à laquelle on pense est sans aucun doute ces étendues de cannes à perte de vue. Autrefois, le travail y était synonyme de pénibilité, les travailleurs agricoles s’escrimant sous le poids du soleil ardent. « Pour donner un aperçu de l’évolution de cet univers, nous avons décidé de partir à la rencontre de différents acteurs de l’industrie cannière chez nous, pour mieux comprendre leur métier et comment se déroule leur quotidien », dit Rudy Larose, HR Manager du Cane Cluster.

Pour Komul Burhooa, Operations Officer du département Land Preparation & Plantation de Terragri, il existe un monde de différence entre l’industrie cannière de l’époque et celle d’aujourd’hui. « Les étapes de préparation du sol ont beaucoup évolué grâce aux nouvelles technologies. Nous misons maintenant avant tout sur l’innovation et sur des équipements dernier cri », explique-t-il.

Même son de cloche chez Sanjula Groodoyal, Operations Officer au sein de la section Belle Vue-Beau Plan à Terragri. « Nous essayons toujours d’aller plus loin. Par exemple, les drones que nous utilisons pour nos relevés servent aujourd’hui aussi à la pulvérisation ciblée d’herbicide, une technique qui permet de réduire leur utilisation », dit-elle. « Certains se demandent quelle peut être l’ampleur de l’industrie cannière… J’ai commencé en tant que stagiaire à Terra il y a quatre ans et je gère aujourd’hui les opérations agricoles sur une surface de 1 200 hectares de canne à sucre et 60 hectares de culture vivrière », ajoute-t-elle. De quoi faire !

Depuis 2017, l’un des projets du groupe est aussi de devenir une ferme digitale, dans le respect de l’environnement. « Le monde cannier est un univers qui évolue sans arrêt. Quand on fait partie de cette industrie, on peut vraiment faire bouger les lignes, être acteur du changement, et ainsi contribuer à façonner l’environnement socio-économique de notre île », dit Patricia Laurent-Ragavan, agronome à Terragri. Amélioration de l’empreinte écologique des techniques de production, conservation de la fertilité des sols, suivi variétal, irrigation efficace des champs… Cultiver la canne est une expérience passionnante !

Cette industrie ne s’arrête pas à la lisière des champs, puisqu’elle touche aussi à de nombreux autres aspects, dont l’usine sucrière de Terra Milling. Pour Olivier K/Hoart, qui y est Production Supervisor, la transformation de la canne a quelque chose de merveilleux. « Savoir que l’on produit quelque chose qui sera consommé par des personnes à travers le monde, c’est bien cela qui nous fait nous lever tous les matins », confie-t-il.

Pour Soheb Hosenally, l’industrie cannière regorge d’opportunités et Terra n’hésite pas à faire confiance aux jeunes qui souhaitent s’y essayer. Arrivé en 2019 en tant que stagiaire, il est aujourd’hui chimiste et responsable du laboratoire de Terra Milling. « Je suis l’un des plus jeunes chimistes de l’histoire de Terra. Ici, on donne leur chance aux jeunes et on met un point d’honneur à leur transmettre un savoir-faire inégalable », souligne-t-il.

« L’agriculture de demain repose sur cela : la transmission d’une expertise vieille de plus de 180 ans pour construire l’agriculture de demain », renchérit Patricia. D’où l’engouement de ces jeunes collaborateurs pour cette nouvelle édition de la campagne #YesWeKann. « Nous voulions montrer les visages des personnes qui travaillent dans ce domaine, représenter les métiers de la canne et les évolutions présentes au sein de l’industrie. Derrière les machines se trouvent de nombreuses personnes et c’est le côté humain de ce secteur qui est le plus intéressant et enrichissant », ajoute Olivier.

Outre les avancées technologiques et l’aspect humain qui se dégage de cette industrie, l’un des points forts des métiers de la canne reste l’absence de routine. « Aucun jour ne se ressemble, il y a toujours de nouveaux défis à surmonter. C’est ce qui rend le secteur cannier si passionnant ! », affirme Vandana Goorvadoo, Irrigation & Water Resource Engineer chez Terragri. « Cette campagne de sensibilisation a, en ce sens, toute son importance : les jeunes doivent impérativement comprendre ce que représente ce secteur aujourd’hui », ajoute-t-elle.

Un sentiment qui trouve écho chez ses collaborateurs. « Nous évoluons dans un domaine dynamique, et l’agriculture de demain se construit aujourd’hui avec les jeunes qui ont l’ambition et l’audace d’apporter une nouvelle perspective à l’industrie cannière, et qui auront la volonté de recevoir et bonifier un patrimoine d’expérience et de connaissances », conclut Patricia.

Situé à côté de L’Aventure du Sucre, le musée qui évoque l’un des pans industriels les plus importants de l’histoire mauricienne, Le Fangourin, nommé en honneur du premier jus extrait de la canne, vient lui aussi célébrer la richesse de la culture mauricienne. Ouvert en 2001, il offre, sous sa varangue ombragée, des plats uniques et travaillés aux saveurs de l’île.

Entouré d’un magnifique jardin arboré, Le Fangourin ravit les cœurs des visiteurs de la région. Outre son cadre somptueux, le restaurant offre une cuisine singulière, marquée par la passion et la créativité. Dans ses plats 100 % faits maison, c’est la culture mauricienne dans tout ce qu’elle a de plus savoureux qui s’exprime.

Dry curry de cerf du Domaine du Rambouillet, cannelloni au jacque, salade d’ourite et gato pima croustillants, papaye verte confite à la cannelle et sucre Demerara… Chaque assiette est sublimée par des produits directement issus du potager bio du restaurant, des sucres complexes élaborés à Terra Milling, ou encore de produits locaux sourcés à proximité.

« Notre équipe est passionnée et dévouée, et chacun de nos plats célèbre notre patrimoine culturel en utilisant des produits du terroir mauricien », confie Sandrine d’Unienville, Cultural Development & Communication de L’Aventure du Sucre. Un amour de la cuisine et de la culture mauricienne qui est d’ailleurs reconnu à l’international, puisque Le Fangourin a reçu, pour la neuvième année consécutive, le Travellers’ Choice, le prestigieux prix TripAdvisor. « Cette reconnaissance renforce notre détermination à continuer d’élever les normes de l’industrie de la restauration à Maurice », poursuit-elle.

Profondément engagé, le restaurant promeut aussi, à travers sa charte de durabilité, l’économie circulaire et le développement durable. Pour asseoir sa prise de position, il possède depuis quelques mois le label Made in Moris. « Ce label vient cimenter notre volonté de réaliser une production mauricienne de qualité, de prioriser les fournisseurs locaux et de protéger les emplois », explique Sandrine.

Une belle philosophie, reflet d’un restaurant à l’âme résolument mauricienne !

En septembre, une nouvelle aventure a commencé. Instigués par le département des Ressources Humaines et en partenariat avec Caritas Île Maurice, des cours de renforcement des compétences en français lu et écrit sont organisés deux fois par semaine pour une dizaine de collaborateurs. Retour sur cette formation.

Ils sont nombreux à assister à la dernière formation tenue par Caritas Île Maurice ! « Ce sont des membres de notre équipe de la maintenance et de la cuisine du Fangourin. Un participant venu de Novaterra a aussi décidé de bénéficier de ces cours », explique Sandrine d’Unienville, Cultural Development & Communication de L’Aventure du Sucre.

L’objectif : renforcer leurs compétences autour d’une formation axée sur la langue française. « Ces cours instaurent une base essentielle à partir de laquelle les participants pourront par la suite bénéficier d’autres formations professionnelles », poursuit-elle. Un tremplin qui promet aussi d’apporter des connaissances utiles au quotidien.

Étendue sur trois mois, cette formation connaît déjà un certain succès. « L’apprentissage et l’épanouissement sont deux des piliers de la philosophie de Terra. Depuis le début, les participants sont tous très heureux d’approfondir leurs connaissances et d’apprendre de nouvelles choses », conclut Sandrine.

Des semaines intéressantes en perspective !

Le mois d’octobre s’est annoncé particulièrement intense… et ce n’est pas fini ! Retour sur ces événements qui ont émaillé ces dernières semaines avec Benjamin Gilot, Cultural Project Manager à Novaterra.

On ne peut pas dire que les choses ne bougent pas à Terra ! « Nous organisons des activités qui plairont à tous, des enfants aux gastronomes, en passant par les entreprises », dit Benjamin. Derrière cet agenda bien rempli, l’envie de faire vivre la région, de créer du lien entre résidents, travailleurs et visiteurs, et, surtout, de passer un bon moment tous ensemble !

Ce mois-ci, les amateurs de bonne nourriture ont été comblés ! Le 13 octobre, c’est à Zakadi que se sont retrouvés les aficionados de burgers pour un Burger Day gourmand. « Nous adorons manger à Maurice, c’était donc la bonne occasion pour se retrouver et déguster de savoureux burgers », confie Benjamin. Cet événement, qui a duré toute la journée et qui a réuni quelque 170 personnes, s’est terminé en soirée avec une petite session musicale.

Le 25 octobre, c’est à La Cantine que se sont cette fois réunis les amoureux de cuisine italienne pour « La Trattoria ». « Nous avons combiné notre apéro mensuel à cet événement gourmand pour célébrer la Journée internationale des pâtes. L’idée était de bousculer notre concept d’apéro et de transformer La Cantine en trattoria le temps d’une soirée », ajoute-t-il. Pâtes à la truffe, raviolis à la feta et aux épinards, tiramisu… De 17h30 à 21h, c’est une formule entrée-plat-dessert avec accord mets-vins à Rs 600 qui a été proposée, pour le plus grand plaisir des amateurs de cuisine italienne.

Côté business, Beau Plan a aussi accueilli, le 12 octobre, sa soirée spéciale Expat & French Tech à La Cantine. Organisée pour faciliter le networking, chaque participant devait se présenter et proposer un bref descriptif de sa compagnie et/ou des services proposés, avant de se retrouver autour d’un apéro. « La soirée s’est très bien passée et les participants ont été heureux de découvrir le Business Park de Beau Plan », dit Benjamin.

Le 28 octobre, c’était au tour du Creative Park et du Workshop d’accueillir les Women’s Entrepreneur Awards, concept créé pour encourager et récompenser les femmes entrepreneures de l’île. « Il était important pour nous d’être les hôtes d’un événement tourné vers l’entrepreneuriat et porté par des femmes », continue-t-il. De 18 h à 22 h, une centaine de personnes se sont donc réunies pour assister à un discours fort et motivant, suivi d’une remise de prix.

Enfin, pour terminer le mois en beauté, petits et grands sont conviés à une soirée spéciale Halloween façon Beau Plan. Rendez-vous au Creative Park de 16 h à 20 h pour une fin de journée tout en frissons ! Barbe à papa, pop-corn, château gonflable, face painting, jeu « Poke the monster »… « Le Workshop et le jardin seront décorés pour l’occasion. Nous voulions célébrer Halloween et terminer octobre sur une note festive pour les enfants », conclut Benjamin.

Voilà qui donne le ton pour une fin d’année haute en couleur !

Chaque année, le département des Ressources Humaines organise un bilan des performances des collaborateurs de Terra, toutes entités confondues. Le but : définir les besoins des individus, mais aussi du groupe. Zoom sur les deux dernières formations organisées sous la houlette de Sharonne Jaquette Miner, HR Manager – Projects and Services à Terra.

« Nous mettons un point d’honneur à organiser des formations qui ont du sens », commence Sharonne. Pas question de proposer des formations toutes faites ! Après une analyse approfondie du bilan des performances des collaborateurs, les responsables du département des Ressources Humaines définissent les besoins et les demandes de tout un chacun, et développent ensuite une stratégie à partir d’un tel rapport.

« Nous dédions de nombreuses sessions de travail à la création de formations sur mesure qui permettront à nos collaborateurs de grandir, de s’épanouir, mais aussi de gagner en compétences », poursuit-elle. Parmi les dernières formations proposées par son département, le « Transformational Journey to Leadership », a réuni des participants issus de plusieurs entités du groupe, tous occupant des postes à responsabilités.

Créé en partenariat avec la Dale Carnegie Training, la référence en matière de développement personnel au sein du monde de l’entreprise, le programme possède différentes thématiques pensées spécialement en fonction des besoins des collaborateurs. L’objectif : créer un lien entre les participants, tout en leur inculquant les notions qui feront d’eux les leaders de demain. Après plusieurs semaines de formation, à raison d’une session hebdomadaire, les participants sont unanimes : ils ont tous adoré y prendre part !

Pour Kovila Nanapragassen, Legal Officer et Deputy Money Laundering Reporting Officer, l’un des aspects les plus intéressants de ce programme a été d’en apprendre plus sur soi-même. « Devenir leader passe avant tout par soi-même, comment se gérer pour mieux gérer les autres. C’est l’aspect fondamental de ce côté humain et émotionnel que souligne la formation, et que j’ai adoré ! Il est aussi très important pour moi de voir que la compagnie soutient le rôle de la femme dans le leadership », confie-t-elle. Selon Kovila, l’un des points forts de cette formation reste le fait d’avoir été en contact avec des collaborateurs d’autres clusters. « Cela nous a permis de nous ouvrir à d’autres points de vue, par rapport à notre regard sur nous-même, mais aussi à créer des liens », explique-t-elle.

Même son de cloche chez Anna Reymann, Boutique Manager de l’Aventure du Sucre : « cette formation a été extrêmement riche en partage, il a été intéressant de pouvoir échanger avec les autres team members des différents départements ». Pour cette dernière, la formation en leadership s’est révélée particulièrement précieuse. « Je suis très reconnaissante d’avoir pu avoir cette opportunité. Grâce au manuel qui nous a été donné, rien n’est oublié et je mets chaque jour en pratique ce que j’ai appris », ajoute-t-elle.

Pour Jeffrey Bamboche, Responsable d’exploitation adjoint à Terragen, ce programme a été une révélation, complètement en phase avec ses idées. « Un responsable doit inspirer les membres de son équipe, à travers ce qu’il dit, ce qu’il fait, comment il agit, mais aussi la façon dont il se présente », dit-il. Pour ce dernier, qui voit déjà le changement dans sa façon d’appréhender ses collègues, l’aspect humain de la formation a été particulièrement intéressant. « En plus du travail intérieur effectué, nous possédons désormais des outils pour gérer les autres, mais aussi nous-même, que ce soit au travail ou dans notre vie personnelle », continue-t-il. Un atout inestimable !

Une fois la formation terminée, les participants ne sont pas laissés à eux-mêmes. « Nous organisons par la suite un feed-back après quelques mois pour voir leur évolution et s’ils arrivent à mettre en pratique leurs nouvelles compétences », explique Sharonne. Si le département des Ressources Humaines assure un suivi sur le long terme, il met un point d’honneur à poursuivre la formation des collaborateurs.

L’un de ces programmes, « Train the trainer », s’adresse directement aux travailleurs techniques ou aux managers amenés à former leurs équipes en interne. Cette formation, qui a eu lieu le 16 août 2023, a, elle aussi, connu un succès. « Nous sommes souvent appelés à former de nouvelles recrues », dit Suraj Ramroop, chef d’exploitation à Terragen. « Ce programme nous a donné des outils pour mieux cibler les forces et les faiblesses des personnes en matière d’apprentissage pour ensuite trouver des solutions », continue-t-il.

Pour Nilshad Koussa, Manager du département mécanique à Terragen, cette formation tombe à pic. « Nous faisons presque tous les jours de la sensibilisation à la centrale. ‘Train the trainer’ nous a offert des outils andragogiques pour pouvoir communiquer différemment avec des adultes », explique-t-il. Des nouvelles connaissances qu’il utilise déjà au quotidien!

Ça y est ! La construction de The Strand, l’offre commerciale qui sent bon l’âme de Beau Plan, est enfin terminée ! Les équipes de Novaterra ont profité de l’inauguration d’un nouveau pont reliant le Business Park au Strand pour découvrir ce projet sur lequel elles ont toutes travaillé. Retour sur cet après-midi du 14 septembre 2023.

« Nous avons vécu un moment riche en émotions. Toute la Novateam a répondu présente pour découvrir le dernier petit bijou de Novaterra », commence Sarah Ah Hong, Office Manager de The Strand et Centre Manager du Mahogany Shopping Promenade. Le bilan : 64 collègues de Novaterra – 54 travaillant du côté gauche du lac au Business Park et 10 du côté droit à Lakeside – se sont donné rendez-vous devant le nouveau pont qui relie les deux espaces commerciaux.

« Ce pont incitera nos collègues, toutes entités confondues, à délaisser leur voiture pour venir ajouter quelques pas à leur compteur journalier tout en profitant d’une merveilleuse vue sur le lac et sur les montagnes », dit Steve Maudrame, Operations Manager de The Strand. « Ce pont représente une connexion entre les collègues des deux rives et représente bien la culture de Novaterra », ajoute Sarah. Née sous les coups de crayon de l’architecte Afzal Soobratee, cette infrastructure, qui est aussi ouverte au public, était donc l’occasion idéale pour venir découvrir The Strand, le nouvel espace de bureaux signé Novaterra.

Après avoir traversé le pont, direction le lobby de The Strand pour un discours préparé par Jean-Philippe Desvaux, Head of Development de Novaterra, et Sarah, puis d’une visite des lieux, avant de se rendre à la cantine de The Strand pour un apéro dinatoire qui s’est terminé à 20h15. « Cela nous a permis de nous retrouver et de prendre le temps de célébrer ces milestones que nous avons réalisés ensemble, mais aussi les valeurs qu’incarnent les équipes de Novaterra », explique Steve.

Pour Sarah, cette visite était aussi une manière de remercier tous ceux qui ont pris part, directement ou indirectement, à The Strand. « Tout le monde a travaillé sur ce projet d’une façon ou d’une autre, que ce soit le département finances avec les paiements, le département Sales & Marketing avec la vente sur plan ou les équipes de communication avec leurs communiqués. Ils ont enfin pu voir la réalisation concrète de leur travail », dit-elle.

Quelle est la prochaine étape ? Avec un taux de remplissage déjà bien élevé, l’équipe des opérations a du pain sur la planche ! « Cela fait trois semaines que nous débutons progressivement les opérations, qu’il s’agisse du nettoyage ou encore de certains aménagements, pour que The Strand soit entièrement opérationnel l’année prochaine », confie Steve. « La barre a été mise très haut, nous devons continuer à maintenir ce standard », ajoute Sarah.

Défi accepté !

La campagne #YesWeKann 2023 est lancée !

Après la première édition de sa campagne #YesWeKann en 2022, Terra donne le coup d’envoi de sa deuxième édition en septembre 2023. Si le groupe axe de nouveau son action autour de certains thèmes, à savoir la valorisation de l’industrie et des sous-produits, la préservation de l’environnement, la prévention aux incendies volontaires, la promotion de l’énergie verte ou encore l’efficience économique, la campagne connaît, cette année, un twist…

En septembre 2023, Terra dévoile le nouveau slogan de la deuxième édition de sa campagne #YesWeKann : « la terre de demain, dans nou lame ». Un message fort et qui ne passe pas par quatre chemins. Si l’idée de valorisation du secteur reste la même, c’est une toute autre facette de l’industrie que Terra souhaite mettre en avant. « Cette année, nous avons voulu rendre honneur aux visages qui composent ce secteur en valorisant nos collaborateurs », explique Emeric Vigier de Latour, Communications Manager chez Novaterra.

L’objectif est simple : cette campagne vise à mettre en lumière les métiers d’avenir, dans un secteur qui ne cesse de grandir et de se moderniser, et à inviter de nouveaux talents à rejoindre les rangs de Terra. « Nombreux sont les jeunes professionnels à rechercher davantage qu’un travail rémunéré. Ils cherchent une carrière qui les fera vibrer et un espace où s’épanouir », ajoute Rudy Larose, HR Manager du Cane Cluster.

L’idée est aussi de dépoussiérer l’image de l’industrie cannière en brisant avec les stéréotypes qui lui ont, auparavant, collé à la peau. « Le secteur cannier ne se résume plus à des journées passées à travailler au soleil. En tant que précurseur de l’agriculture intelligente à Maurice, le groupe Terra met un point d’honneur à rester à la pointe de la technologie », continue Emeric.

On y parle aujourd’hui, en effet, d’agriculture de précision ou d’agriculture digitale. Drones, machines intelligentes, GPS, irrigation de précision et applications de suivi représentent désormais le quotidien des métiers de la canne. « C’est cet aspect que nous souhaitons mettre en exergue en allant directement à la rencontre de nos collaborateurs », dit Emeric.

La hausse des prix du sucre à l’international montre d’ailleurs bien la résilience et la compétitivité du secteur cannier. « Comme nous représentons une industrie en constante évolution, un métier dans le monde de la canne n’apporte pas seulement des challenges au quotidien, mais promet aussi de nombreuses opportunités de développement personnel et professionnel », dit Rudy. D’où la modernisation constante des opérations et équipements, et la formation en continu des collaborateurs du groupe !

Restez branchés pour suivre cette campagne à la touche résolument humaine !

Un nouveau départ pour Sam !

C’est en 1981 que Sam Parasuramen arrive chez Terra, alors que le groupe s’appelait encore Harel Frères. Le 29 septembre 2023, après plus de quatre décennies de bons et loyaux services, une nouvelle aventure l’attend : la retraite ! De sa longue histoire au sein du groupe, il garde de très beaux souvenirs.

1981 : Sam a tout juste 23 ans lorsqu’il rejoint la société Harel Frères en tant que Messenger, après un an d’expérience comme Salesman dans un magasin d’articles de pêche. « Harel Frères était considéré comme un groupe solide et son excellente réputation dans son secteur a fortement influencé ma décision », se confie-t-il.

En 2000, Sam devient chef des Office Attendants et assume de nouvelles responsabilités. Parmi celles-ci : le remplacement fréquent de la réceptionniste après son départ, un travail qu’il occupera ensuite de façon permanente en 2016 lorsque Terra Corporate déménage à Beau Plan. « Ce travail m’a permis d’acquérir de nombreuses connaissances et beaucoup d’expérience », dit-il.

Pour lui, ce nouveau poste présente de nombreux challenges : en plus de gérer plusieurs tâches à la fois, il lui faut maîtriser les systèmes de communication, les logiciels de gestion des appels et autres outils technologiques nécessaires à ses différentes missions. « Le travail de réceptionniste demande beaucoup de flexibilité puisqu’il faut s’adapter aux besoins changeants de l’entreprise ainsi qu’aux situations imprévues, tout en apprenant à gérer le stress », ajoute Sam.

Si ce travail peut être particulièrement exigeant, Sam s’y est tout de suite plu, séduit avant tout par le contact avec les autres, un aspect du métier qu’il apprécie particulièrement. Ses 42 ans à Terra lui sont particulièrement chers. « Il y a à Terra une atmosphère familiale qu’il n’y a pas ailleurs. En plus d’avoir pu m’y épanouir personnellement et tisser des liens professionnels, c’est la culture d’entreprise et l’amitié des collègues qui m’ont le plus touché. Je voudrais remercier mes collègues et leur souhaiter une bonne continuation », poursuit-il.

Son plus beau souvenir ? L’ouverture de la centrale thermique il y a plus de 20 ans ! « Nous devions travailler jusqu’à tard et cela a permis de créer un bel esprit d’équipe », dit-il. S’il a bien mérité son départ à la retraite, ses sentiments sont tout de même partagés. « J’éprouve de la joie, de la tristesse, de la nostalgie, et même un brin d’appréhension. Je suis submergé par toutes ces émotions et par le nouveau tournant que prend soudainement ma vie », continue-t-il.

Si cette aventure promet de chambouler quelque peu son quotidien, Sam déborde cependant de nouveaux projets. « Je suis ravi d’avoir du temps à consacrer à ma famille, à mon jardinage, mais aussi aux rénovations qu’il était grand temps de faire dans ma maison ! », plaisante-t-il. Une chose est sûre, il ne risque pas de s’ennuyer !

Bon départ à la retraite, Sam, et un grand merci pour ces belles années parmi nous !

En 2022, « Yes We Kann », la campagne 360 lancée par Terra,en collaboration avec la SWAN et Alteo est une réussite : outre des chiffres prometteurs et une diminution des cas d’incendie, celle-ci rafle même un prix à l’étranger ! Alors que la coupe 2023 bat son plein, le groupe décide de bisser l’expérience en lançant sa deuxième édition de « Yes We Kann ». Zoom sur cette initiative avec Emeric Vigier de Latour, Communications Manager chez Terra.

Terra a effectué un long chemin depuis 2020 ! Alors que le Covid ravage le pays, les incendies dévastent les champs de canne. On dénombre, en effet, plus de 1 000 hectares détruits par des incendies. Pour contrer la situation, le groupe lance, en 2021, sa campagne « Aret Bril Kann », destinée à sensibiliser la population sur le danger de ces feux intempestifs.

Les résultats se font rapidement sentir puisque l’on compte, à la fin de la même année, environ 110 hectares brûlés. En 2022, Terra, en partenariat avec la Swan et Alteo, décide de faire encore plus fort avec sa nouvelle campagne « Yes We Kann ». En plus de poursuivre la sensibilisation aux dangers des feux dans les champs, le groupe axe sa communication sur la valorisation du secteur cannier dans son ensemble, une industrie toujours plus moderne.

Fin 2022, on dénombre 49 incendies pour quelque 131 hectares brûlés. Une vraie réussite ! Rebelote en 2023 ! « Nous relançons cette année la campagne avec un twist : si le message général reste le même, nous mettrons davantage en lumière ce secteur à travers le regard des hommes et femmes qui le composent », dit Emeric. L’idée : sensibiliser les personnes sur les opportunités professionnelles qui y sont possibles et ainsi montrer le dynamisme de ce secteur que beaucoup ont considéré comme un “sunset industry”

« Nous souhaitons casser cette image d’une industrie définie par un fort taux de pénibilité. On ne passe plus des journées entières au soleil à couper la canne. Le secteur cannier est un secteur qui a évolué et qui est à la pointe de la technologie », ajoute-t-il. Drones, machines intelligentes, GPS, agriculture de précision… L’industrie cannière n’a jamais été aussi moderne, et Terra aussi déterminée à adopter pleinement ces innovations !

« L’objectif principal de cette campagne sera de sensibiliser à la réalité des métiers de la canne, qui nécessitent aujourd’hui un grand savoir-faire en matière de technologie, mais aussi certaines compétences en résolution de problèmes », dit Emeric.

Portée par Blast BCW, la deuxième édition de la campagne « Yes We Kann » débutera début septembre et utilisera les canaux de communication habituels : panneaux publicitaires, radio, presse, réseaux sociaux… avec une présence digitale plus prononcée cette année ! « Cette campagne nationale ira directement à la rencontre des collaborateurs de Terra pour donner un aperçu de leur quotidien, et marque les prémices d’une campagne régionale pour 2024 », conclut Emeric.

Une opération à suivre de près !

En 2016, Terra met en place son propre centre de formation : Terra Services Ltd. Cette initiative est fondamentale puisqu’elle vient renforcer l’une des valeurs les plus constitutives du groupe : l’importance d’un apprentissage en continu. Aujourd’hui, si de nombreuses formations se font à travers ce biais dont la dernière en date, le « Optimum Leadership Development Program ».

« Cela fait sept ans que nous œuvrons pour donner l’opportunité à tous nos collaborateurs de grandir et de s’épanouir en se formant à travers divers programmes, initiatives et outils soigneusement sélectionnés », commence Isabelle Grenouille, responsable du centre de formation. L’importance de l’apprentissage en continu n’est plus à démontrer. Favorisant non seulement l’acquisition de nouvelles compétences et le perfectionnement de l’individu, il contribuerait aussi à augmenter sa productivité, permettant à l’entreprise de rester compétitive dans un environnement économique en changement perpétuel. En somme, une win-win solution pour toutes les parties prenantes.

Les formations proposées par le centre de formation sont diverses et variées. Sa formation la plus récente, le « Optimum Leadership Development Program », est d’ailleurs toujours en cours . « Pour cette deuxième édition, nous avons opté pour un partenariat avec Charles Telfair Leadership Academy et la coach exécutive, Jackie Demetriou », dit Isabelle. Au total, 28 personnes issues des différents clusters du groupe ont été sélectionnées pour y participer.

Ces interactions entre clusters sont, selon Isabelle, primordiales. « Nous essayons de favoriser autant que possible cette ‘cross-pollination’ pour encourager le partage d’expériences et de concepts, et la création de lien », ajoute-t-elle. Cette nouvelle édition propose de nombreuses innovations : les participants auront, par exemple, l’opportunité de travailler sur des projets au sein de leurs clusters avant de les présenter en fin de formation, ou encore d’assister à un partage d’expérience avec Harold Mayer, auteur et entrepreneur au parcours professionnel riche, qui animera une causerie en septembre.

Participant à la formation, David Cheung Han Sing, Senior Accountant – Projects and Reporting chez Novaterra, se livre. « Les thèmes abordés sont nombreux : self-leadership, empathie, self-awareness, résilience, coaching… Par la suite, les notions clés et techniques apprises me permettront de mieux coacher mon équipe et de guider progressivement mes collaborateurs vers la vision de notre entreprise, tout en étant à leur écoute », explique-t-il. Pour ce dernier, ce programme, bien que toujours en cours, porterait déjà ses fruits ! « Cette formation est enrichissante à tous les niveaux puisqu’elle m’aide à m’épanouir dans ma carrière professionnelle et dans ma vie sociale », ajoute-t-il.

« C’est après avoir exprimé mon désir de développer mes compétences en leadership que l’on m’a proposé de réaliser mon objectif. Je suis particulièrement reconnaissant envers mon General Manager et mon Head of Department pour leur confiance et de m’avoir permis de m’inscrire à cette formation passionnante et captivante », conclut-il. Ce programme, proposé par Terra Services Ltd, est l’un des projets phares de cette année.

Une formation qui cimente l’une des aspirations de Terra, celle de former les leaders de demain !