Monday, May 19, 2025 15:45:00

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Si la deuxième moitié de l’année est dédiée au moment très intense de la coupe, on se consacre, les six premiers mois, à l’entrecoupe, une période tout aussi animée et trépidante. Car, en effet, une bonne entrecoupe reste le garant d’une coupe réussie. Retour sur ce moment palpitant avec Michael Mélisse, Administrative & Statistical Officer à Terra Milling.

On a tendance à penser que l’entrecoupe représente une période de repos après l’effervescence de la coupe, tant s’en faut. On démonte les machines, on organise des maintenances, on les remonte… En somme, chaque recoin de l’usine est minutieusement inspecté pour s’assurer du bon fonctionnement de celle-ci lors de la coupe. Un travail de longue haleine qui débute alors que la coupe bat son plein.

« C’est en effet pendant la coupe que nous travaillons sur les projets capitaux – CAPEX – qui nous permettront d’améliorer nos performances », explique Michael. On observe les machines, on vérifie leur durée de vie, on détermine ce qui doit être renouvelé, amélioré ou modifié en partie… « Notre usine date de 1838 ! Il y a donc de nombreuses choses à améliorer chaque année », poursuit-il.

En 2023, Terra Milling a commencé avec une liste de projets bien remplie. Parmi ceux-ci, le remplacement d’une de ses centrifugeuses, le renouvellement de quelques réservoirs de jus et d’eau et la remise à neuf de réservoirs à mélasse. Parallèlement, de nombreux travaux de nettoyage, puis de maintenance ont eux aussi démarré en début d’année. « Nous avons malheureusement eu, en début d’entrecoupe, des coupures d’eau et avons dû commencer le travail avec un peu de retard », explique Michael.

Malgré cet accroc en début de parcours, le retard a vite été rattrapé. « Nous avons travaillé d’arrache-pied et sommes aujourd’hui à jour par rapport à notre planning », ajoute-t-il. Cette année, c’est aussi le Quality Management qui est mis à l’honneur avec, par exemple, l’organisation de nombreuses formations sur ce thème. « À partir de 2023, nous aurons, tous les trois ans, un audit BRCGC inopiné, ce qui nous permet de maintenir notre excellence en matière de qualité », souligne Michael.

Un challenge important et nécessaire sur le long terme !

En avril 2023, Terra lance son « Terra Career Connect », une campagne de recrutement pas comme les autres ! Composée de deux stands installés en face du supermarché Intermart au Mahogany Shopping Promenade, celle-ci a pour but de présenter les différentes opportunités de carrière proposées par le groupe… et de trouver ses futurs collaborateurs !

Si l’année 2023 a commencé sur une note plus positive que les années précédentes, elle vient tout de même avec des défis importants. Pénurie de talents, quête de sens et flexibilité, reconversions professionnelles, « quiet quitting », manque de candidats qualifiés ou encore études et formations inadaptées aux demandes du marché professionnel… « Nous ne sommes malheureusement pas une exception et nous faisons nous aussi face aux challenges du marché actuel ! », explique Sharonne Jaquette-Miner, HR Manager – Projects and Services chez Terra.

Pour secouer les habitudes et tenter de changer la donne, le Groupe décide de lancer son « Career Connect », une campagne proactive innovante qui va à la rencontre des intéressés. « Nous avons ainsi voulu ‘réunir’ toutes nos entités confondues et nos professionnels en un seul lieu pour donner l’occasion aux chercheurs d’emploi comme aux personnes en quête de progression ou de renouveau de découvrir les métiers que nous proposons », poursuit Sharonne. Au cœur de cette initiative : la relation humaine.

S’étendant sur deux week-ends en avril, la nouvelle campagne de recrutement de Terra a d’abord commencé par une campagne de communication qui s’est, selon Sharonne, soldée par un succès ! « Avant même la campagne physique, nous avons, en moins de sept jours, recueilli plus d’une centaine de candidatures et demandes d’informations sur nos métiers et nos entités ! », dit-elle.

« Le Groupe opérant sur plusieurs piliers économiques du pays, les opportunités professionnelles proposées par Terra sont stimulantes et gratifiantes et touchent à différents domaines », ajoute Sharonne. Cuisinier, jardinier, soudeur, graphiste, conducteur de tracteur, analyste comptable, sommelier, assistant QSE, merchandiser… Plus de 40 postes sont à pourvoir ! Pour candidater, il suffit simplement de laisser son CV – et, si possible, une lettre de référence – ainsi que sa carte d’identité. Il est aussi possible de remplir un formulaire de candidature sur place ou sur le site de Terra.

La première partie du Terra Career Connect, qui s’est tenue le 15 et le 16 avril, a, elle aussi, été un succès puisque 238 applications ont été remplies sur place, et une centaine en plus en ligne. « C’est pour moi une grande fierté d’avoir vu cette initiative prendre corps, et cela n’aurait pas été possible sans mes acolytes Rudy Larose, HR Manager du Cane Cluster, Sacha Audibert, HR Manager de Grays, ainsi que nos équipes HR respectives, Christopher Park, notre Group HR Manager, ainsi que tous les collaborateurs qui ont répondu présents ! », conclut Sharonne.

Une campagne de recrutement, dont la deuxième partie aura lieu le dernier week-end d’avril, qui démarre sous les meilleurs auspices.

Retrouvez tous les postes ici: https://terra.co.mu/terra-career-connect

Mama Jaz est un festival unique d’un mois dédié à la musique créative et au jazz ! L’art et la culture étant profondément ancrés dans l’ADN de la Smart City de Beau Plan, c’est donc tout naturellement que le groupe Terra a accepté de parrainer cette 8e édition, qui se tiendra du 2 au 30 avril. Cette année, le festival est scindé en deux : les Sweet Afternoon Open Air Sets auront lieu gratuitement au Creative Park de Beau Plan, haut lieu de créativité dans le nord alors que les Grand Concerts payants se tiendront au Caudan Arts Centre à Port-Louis.

« La musique est une langue universelle, qui rassemble. Elle est intergénérationnelle, sociale… Elle transcende le temps, elle porte de nobles valeurs. Et le jazz, par sa portée engagée, est un genre de plus en plus apprécié, d’où le succès grandissant du festival chaque année. L’art et la culture étant deux pans importants du développement de Beau-Plan et du groupe Terra, nous avons tenu à apporter notre contribution à l’organisation du festival MAMA JAZ qui est devenu, au fil du temps, l’un des événements les plus attendus du calendrier culturel de l’île. Nous mettons à la disposition des festivaliers un cadre nature au cœur d’un patrimoine industriel et historique ; contribuant à faire de ce festival un événement de haut-vol », confie Emeric Vigier de Latour, Communications Manager de Terra.

Le festival s’organisera autour de deux types d’événements soit les « Grands Concerts » qui auront lieu tous les Mercredi du mois d’avril à 20h dans le cadre unique du Caudan Art Center et les « Sweet Afternoon Open Air Set », au Creative Park de Beau Plan. Ce festival iconique promet de belles découvertes, aussi bien locales qu’internationales.

La “8th Wonder MAMA JAZ” sera au Creative Park de Beau-Plan pour cinq dates, soit les cinq dimanches du mois d’avril à 15 heures. L’entrée sera gratuite et les festivaliers sont invités à ramener leurs propres consommations (Bring Your Own), leurs nattes et coussins. Le dimanche 2 avril, rendez-vous est pris avec le trio Philippe Thomas qui, avec ses compères Kersley Pytambar et Christophe Bertin, emportera les mélomanes avec des rythmiques les plus magiques du jazz. Le 9 avril, le talentueux groupe JYSE XP, qui réunit quatre amis – Jean-Noël Ladouce, Yan Boodhoo, Steve Desvaux et Evans Maurer – promet de faire chaque minute de son concert un moment d’intenses émotions.

Enn MAMA fet en perspective ! Tous les détails sur le site https://www.mamajaz.org/

Cela fait déjà 12 ans que Terra Foundation parraine l’ONG Safire. Intervenant à Cité Mère Teresa dans la région de Triolet, celle-ci lutte pour la réhabilitation et accompagne les enfants de la rue ou en décrochage scolaire. Dynamique et créative, cette ONG ne manque jamais d’idées pour leur faire découvrir de nouveaux horizons. Retour sur son projet d’Académie de Cyclisme avec Marie-Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation.

« L’éducation et la formation, ainsi que l’allègement de la pauvreté, représentent deux des axes d’intervention de notre fondation », commence Marie-Annick. Parrainer une ONG qui œuvre activement pour la réintégration et l’avenir des enfants était donc une évidence. Le rôle de l’ONG est simple : une travailleuse sociale, parrainée par Terra Foundation, s’occupe soit de réinsérer les enfants dans une école, soit de leur offrir, selon leurs talents et intérêts, des alternatives comme, par exemple, des formations dans leur ferme biologique.

L’un de leurs plus beaux projets reste incontestablement leur Académie de Cyclisme, fondée en 2017. « La fondation a été contactée pour soutenir ce projet et nous avons donc parrainé les équipements, incluant les bicyclettes, les chaussures, les maillots, ainsi que leur coach », souligne Marie-Annick. Résultat : de nombreux jeunes ont pu s’initier au cyclisme et y découvrir une passion… allant même jusqu’à participer aux Championnats d’Afrique de cyclisme sur route qui ont eu lieu du 8 au 13 février 2023 au Ghana !

C’est le cas de Gaël André et de Samuel Dupuy. Le premier, âgé de 17 ans, est accompagné par Safire depuis bientôt six ans. C’est à 13 ans qu’il découvre, à travers l’ONG, le cyclisme. Un succès, puisqu’il devient, en 2022, champion cadet de course en ligne et remporte une médaille de bronze aux derniers Championnats d’Afrique Junior par équipe ! Une fois le podium quitté, il se lance dans un stage d’entraînement en Afrique du Sud qui devrait se terminer début avril.

Quant à Samuel Dupuy, âgé de 16 ans et suivi par Safire depuis ses 12 ans, c’est une réelle passion pour le cyclisme qu’il découvre grâce à l’ONG. Son rêve : devenir cycliste professionnel. Une aspiration qui semble plutôt bien partie étant donné le palmarès de Samuel ! Il remporte le titre de Champion de Maurice minime en 2020-2021 et poursuit son ascension en raflant le titre de Champion de Maurice cadet en 2022. En 2023, la consécration : Samuel devient Champion d’Afrique de course en ligne et en contre la montre par équipe !

Pour célébrer leurs efforts et réussites, Terra Foundation a décidé d’organiser une cérémonie en l’honneur des médaillés le 10 mars 2023 au Fangourin. « C’est avec une grande fierté que notre CEO, Nicolas Maigrot, a remis une récompense de l’Académie de Cyclisme, parrainée par Terra Foundation, à Samuel et aux parents de Gaël pour les féliciter de leurs prouesses aux Championnat d’Afrique », dit Marie-Annick. Une démarche appuyée par Jean-Philippe Lagane, Président de la Fédération de Cyclisme, qui en a profité pour encourager les jeunes de l’Académie.

De beaux parcours à suivre à la loupe !

En mars 2023, Grays se joint à la révolution verte enclenchée par le système de distribution ecoSPIRITS. Ayant à cœur l’avènement d’une économie circulaire fermée, ecoSPIRITS œuvre pour la réduction du verre, des emballages et des émissions de C02, et pour la reforestation. La solution : des ecoTOTES rechargeables ! Le point avec Eliska Botha, Marketing Manager chez Grays.

En mars, une nouvelle page s’ouvre pour Grays qui devient le premier embouteilleur ecoSPIRITS officiel sur l’île. « Bien que Grays soit déjà une entreprise écoresponsable, ce nouveau partenariat avec ecoSPIRITS correspond parfaitement à notre vision et à nos efforts en matière de développement durable, et permet à notre engagement de passer à l’étape supérieure », explique Eliska. « Fidèle à sa réputation de visionnaire, Grays s’apprête aujourd’hui à révolutionner l’industrie du spiritueux à Maurice en se joignant à nos efforts », ajoute Iain McPherson, Sales Director d’ecoSPIRITS en Europe.

Première technologie de distribution des spiritueux écoresponsables, ecoSPIRITS entend mettre fin au verre à usage unique grâce à ses ecoTOTES, récipients en verre réutilisables et recyclables, qui sont ensuite traités par des machines spécialement conçues pour leur remplissage. Pour chaque cycle d’utilisation d’un ecoTOTE, ecoSPIRITS s’engage à planter des arbres dans certaines zones en danger, comme la forêt tropicale de Bornéo.

La nouvelle aventure de Grays en tant qu’embouteilleur ecoSPIRITS exclusif commence avec deux des produits phares de l’entreprise, destinés dans un premier temps aux restaurants, hôtels et bars. : son rhum Lazy Dodo et le spiritueux de canne Seven Seas. « Nous sommes ravis que notre marque vedette soit l’une des premières à lancer ce nouveau système à Maurice et nous espérons que cela nous aidera à faire connaître nos produits à l’international comme pionniers concernant les spiritueux responsables », poursuit Eliska.

La réduction du verre à usage unique et la reforestation ne sont pas les deux seuls projets d’envergure d’ecoSPIRITS qui a également lancé son ecoSPIRITS Oceans Programme, auquel se joint aussi Grays. L’objectif : sponsoriser et œuvrer pour l’élimination des déchets présents dans les environnements marins de Maurice. « Vivant dans une île, les déchets générés par l’homme représentent, pour nous, un souci constant et nous souhaiterions contribuer à leur réduction pour l’environnement », dit Eliska.

Une démarche qui est vite appelée à grandir étant donné que de nombreux produits, tels que New Grove, George Cambridge, Kiprinski, Rover ou encore Dukes, devraient bientôt s’ajouter à la liste. « ecoSPIRITS Mauritius aura un impact significatif et direct sur le nombre de bouteilles à usage unique que l’île importe tout en réduisant les déchets de 90 %. Cela permettra aussi d’éliminer, à travers l’ecoSPIRITS Oceans Programme, les nombreux déchets qui envahissent les plages mauriciennes », conclut Iain.

Un nouveau chapitre passionnant qui promet une transition vers une industrie plus responsable !

Le conseil d’administration – « board » – de Terra est une instance importante qui est responsable de la bonne gouvernance et de l’orientation du groupe. Actuellement composé de 11 directeurs, son rôle est de protéger les intérêts de la compagnie tout en élaborant une stratégie pour faire avancer les objectifs fondamentaux du groupe et de ses parties prenantes. Aujourd’hui, deux nouvelles recrues viennent apporter leur expertise à cette entreprise. Rencontre

Thierry d’Arifat – Construction Consultant & Fondateur de TDA Consult Ltd

« La résilience est un facteur clé pour pouvoir faire face à toutes les incertitudes des temps qui courent. »

1.Pourriez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?

Après avoir effectué des études de Building Management en Afrique du Sud, j’ai commencé ma carrière en tant qu’Assistant Site Manager, puis Site Manager chez Rhem-Grinaker, avant de rejoindre la compagnie Beam Ltd en tant que Site & Contracts Manager. Après 11 ans dans les opérations, j’ai décidé de me lancer à mon propre compte en 2004 et ai ouvert TDA Consult Ltd, une compagnie qui offre des services de Project Management et de Quantity Surveying. En 2010, nous avons ouvert une nouvelle compagnie, Hencon TDA Associates, pour y concentrer les services de Quantity Surveying pour mieux répondre aux exigences du marché et offrir un service plus professionnel à nos clients. Avec mes 30 années d’expérience dans le secteur du bâtiment, je me positionne aujourd’hui en tant que Consultant pour des projets divers, en immobilier et construction, même si j’offre toujours des services de Project Management.

2.Que représente Terra pour vous ?

Terra fait partie des grosses entreprises mauriciennes cotées en bourse. Je suis donc très conscient de la responsabilité qui m’a été confiée. C’est aussi, à la base, une entreprise familiale qui comptabilise plus de 180 années d’existence et qui n’a cessé de se développer et de se diversifier. Aujourd’hui, je suis heureux de pouvoir apporter ma contribution à l’équipe de direction pour continuer ce travail.

3.Que souhaitez-vous apporter au groupe ?

Le conseil d’administration repose avant tout sur un travail d’équipe, où la participation de chaque membre permet d’arriver à une décision ou de donner une direction sur un sujet. Personnellement, je pense que mon approche pratique à résoudre des problèmes, du fait de mon métier, pourrait apporter de l’eau au moulin des discussions. D’une manière plus concrète, j’espère aussi être de bon conseil pour l’équipe dans le domaine de l’immobilier et de la construction, un secteur qui contribue déjà d’une manière significative aux bons résultats financiers du groupe.

4.Quels sont vos espoirs pour la compagnie ?

Je souhaite évidemment que nous puissions atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. Je pense que la résilience est un facteur clé pour pouvoir faire face à toutes les incertitudes des temps qui courent. J’espère que nous saurons prendre les bonnes décisions dans ce sens et saisir les opportunités qui se présenteront à nous.

Kalindee Ramdhonee – Fondatrice de Karics Partners Ltd

« Pour moi, Terra représente le passé, le présent et l’avenir. »

1. Pourriez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?

Je suis experte comptable de formation et j’ai été Head of Finance Department dans de nombreuses compagnies mauriciennes, dont Harel Mallac, MC Vision, ou encore Currimjee. J’ai ensuite été directrice générale d’une société belge implantée à Maurice et spécialisée dans l’exploitation minière et la construction. Cela a été une expérience très gratifiante, car j’ai tout construit moi-même. Nous sommes, en quelques années, passés de 0 à 100 employés. En 2017, j’ai fondé Karics Partners pour offrir des services de conseil et de consultant, notamment pour les étrangers utilisant Maurice comme plateforme pour l’Afrique. Quand Terra a fait une demande pour recruter un directeur via le MIOD – le Mauritius Institute of Directors -, mon profil correspondait à sa requête et j’ai dû passer par le comité de recrutement de Terra avant d’être choisie pour rejoindre les rangs du conseil d’administration.

2. Que représente Terra pour vous ?

Pour moi, Terra représente le passé, le présent et l’avenir. L’emphase est mise sur l’agriculture, qui constitue l’histoire de notre pays, et il y a là une réelle volonté de préserver le patrimoine pour que le passé ne soit pas effacé. C’est un groupe cependant axé sur le présent, notamment avec les développements lancés par Novaterra et l’avènement de la Smart City, mais aussi sur l’avenir. Le groupe fait en effet des investissements très ciblés et a une vision stratégique très pointue concernant l’avenir, avec la création de valeur pour une société meilleure.

3. Que souhaitez-vous apporter au groupe ?

Étant membre du Corporate Governance Committee, la bonne gouvernance est un sujet qui me tient particulièrement à cœur. Mon but est de m’assurer que le respect et l’intégrité, deux des valeurs phares de Terra, ne sont jamais compromis. En ma qualité d’experte comptable, je suis Présidente du Comité d’Audit et la ténacité et l’innovation seront aussi de mise. Je veux m’assurer que nous allons toujours vers l’avenir et que nous ne nous enlisons pas dans un système archaïque. Les intérêts du groupe seront le fil conducteur de ma mission, tout en gardant mon indépendance en tant que Directrice indépendante.

4. Quels sont vos espoirs pour la compagnie ?

Terra a un bel avenir et est entre de très bonnes mains. Tout le travail du board se passe dans le respect de l’autre, avec comme seul intérêt le futur du groupe. Je n’ai assisté qu’à une réunion pour le moment et chaque avis a été pris en compte, le conseil est ouvert et toujours à l’écoute. Les valeurs et les ressources humaines et leur contribution à l’évolution du groupe sont un aspect très important chez Terra. Cette prise de position impacte d’ailleurs directement le groupe puisque son histoire et les chiffres parlent d’eux-mêmes. Je pense que nous continuerons sur cette belle trajectoire.

L’une des plus grandes fiertés de Terra reste ses collaborateurs. Rassemblant des personnes de tous les horizons et aux spécialités différentes, le groupe aime aussi dénicher les talents cachés et insoupçonnés. Le dernier en date : les compétences d’animatrice d’Agnès Clément, Accounts Clerk à Novaterra.

La 22e édition de Gourmet Experience a eu lieu le 4 mars 2023 à Beau Plan. Pour célébrer l’amour du monde culinaire et le partage, de nombreux stands de nourriture ont été mis à disposition des plus gourmands et, pour accompagner l’expérience, un bar à cocktails et quelques notes de musique. L’évènement a été un succès !

Quelque part, parmi les nombreux stands, se tenait Agnès. « J’ai été choisie pour faire un tour d’horizon de la ville de Beau Plan : son passé, le musée, son concept de “Work in Beau Plan”, ses cinq piliers, ses spécificités, ses projets en cours ou encore le développement de sa Smart City… », explique-t-elle.

Fraîchement débarquée à Terra en tant que Accounts Clerk à Novaterra, il n’en a effectivement pas fallu longtemps pour que ses collègues découvrent son talent caché : l’animation. « Je suis une personne ouverte et sociable, j’ai d’ailleurs été hôtesse dans les supermarchés », poursuit-elle.

Comment Agnès a-t-elle vécu cette expérience ? « J’ai adoré ! Tout le monde m’a même félicitée », dit-elle. « Cela a été l’occasion pour Agnès, qui est habituellement derrière un bureau et dans les chiffres, de pouvoir être au contact des festivaliers et de leur présenter Beau Plan. En un mot, de laisser parler sa personnalité extravertie ! », ajoute Emeric Vigier de Latour, Communications Manager à Novaterra.

Une prise de position qui fait partie des valeurs les plus fortes du groupe. « L’épanouissement de nos collaborateurs nous tient particulièrement à cœur. Nous faisons un point d’honneur à les pousser et à laisser s’exprimer leurs talents. », continue-t-il. L’objectif : le bien-être dans le quotidien professionnel… mais aussi, parfois, la découverte de dons cachés !

Pour beaucoup de Mauriciens, c’est en été que Maurice rayonne véritablement. Douce chaleur, flamboyants et casses en fleurs, letchis et longanes… Cette saison évoque définitivement la douceur de vivre mauricienne… sans compter ses inévitables cyclones ! Chaque été, les équipes de Novaterra sont sur le qui-vive pour gérer au mieux ces intempéries. Car un cyclone, ça se prépare !

Pour Bruno de St Pern, Operations Manager à Novaterra, il vaut mieux prévenir que guérir. Si la saison des cyclones s’étend de novembre à mai, les équipes de maintenance préparent néanmoins le terrain tout au long de l’année. « Nous nous assurons par exemple de couper les branches que nous considérons comme dangereuses car trop proches des bâtiments », explique-t-il.

Dès l’annonce de classe 1, les équipes entament le protocole de sécurisation des sites. On vérifie qu’il n’y a aucune branche sur les câbles électriques, que les drains des routes ne sont pas bouchés et que l’eau circule bien pour éviter tout risque d’inondation, on envoie des e-mails à tous les locataires pour leur rappeler les précautions de sécurité, on sécurise les bâtiments, notamment le Business Park de Beau Plan, le Mauricia ou encore le château de la Villebague, en enlevant par exemple les lumières et en fermant les volets…

D’autres interventions sont plus pointues. « Nous devons aussi enlever tous les solar jars installés sur le lac du Mahogany en prévision, ce qui nous prend une journée entière », ajoute Bruno. À l’alerte de classe 2, les choses sérieuses commencent. On poursuit la sécurisation des sites en rangeant les objets à risque comme, par exemple, les voiles, on s’assure que tous les groupes électrogènes fonctionnent pour éviter les pannes…

« Nous suivons l’évolution du cyclone de très près et nous nous assurons d’avoir une équipe en stand-by pour intervenir en cas d’urgence durant les alertes de classe 3 et 4 », ajoute-t-il. Celle-ci possède une assurance spéciale pour se déplacer au plus fort du cyclone. Enfin, une fois les alertes levées, l’équipe de landscaping s’active pour enlever les branches et autres obstructions le plus rapidement possible.

Le secret pour sécuriser efficacement un site : l’organisation et la réactivité. « Un seul objet non rangé peut devenir un danger. Il faut donc être méticuleux en amont pour éviter toute casse », dit-il. Une conduite essentielle, notamment pour les vieux bâtiments qui parsèment la région. « Nous avons de nombreux bâtiments historiques, comme le Mauricia et le château de la Villebague et il est primordial de préserver ce patrimoine », conclut Bruno.

Un grand merci à ces équipes qui se démènent pour la sécurité de notre environnement !

Lancé en novembre 2022, TerraTrip pousse le concept de journée d’intégration un peu plus loin. Sorte de road trip à travers les différents clusters du groupe, les nouvelles recrues s’imprègnent à chaque visite de la culture si particulière de Terra. La première édition de 2023, qui a eu lieu le 17 février, s’est, elle aussi, soldée par un succès.

Sortant des sentiers battus et des journées d’intégration type, TerraTrip invite les nouveaux collaborateurs du groupe à découvrir chacune des entités de Terra ainsi que leurs activités lors d’un road trip en mini-van. Après la réussite de la première journée le 7 novembre 2022, le département HR a lancé sa deuxième édition à la mi-février 2023. « C’était une journée complète et intense, mais extrêmement intéressante », confie Danushka Appadoo, Sales Administrator chez Novaterra.

Après une présentation historique du groupe menée par Christopher Park et animée par les différents responsables HR du groupe, c’est à La Cantine que se sont retrouvés les participants pour rencontrer Nicolas Maigrot. L’idée : avoir une vue d’ensemble de ce qui fait la fibre et l’identité de ce groupe qui s’est construit sur près de 200 ans.

Ensuite, direction l’Aventure du Sucre pour une visite complète du musée pour tout savoir sur l’univers cannier, l’activité phare du groupe. C’est à Belle Vue, à Terragri, que les participants se sont ensuite rendus pour découvrir son usine et ses activités, dont la production de sucres spéciaux. Cela a aussi été le moment de rencontrer Didier Ramsamy, nouveau Factory Manager de l’usine et participant du premier TerraTrip.

Pour le déjeuner, une pause bien méritée à Belle Vue pour un moment convivial et animé, suivie d’un détour via Terragen pour comprendre la production d’énergie et son rôle dans l’économie circulaire, l’une des philosophies du groupe. La journée s’est poursuivie avec une visite de Grays, pour se terminer autour du lac du Mahogany Shopping Promenade avec une présentation des divers projets immobiliers de Novaterra.

Pour Danushka et Agnès, qui ont rejoint les rangs de Terra depuis déjà plus d’un an, l’expérience a été particulièrement gratifiante. « Cela a été très instructif et nous a donné la possibilité de connaître le groupe entier », explique Agnès Clément, Accounts Clerk à Novaterra. « Cette journée nous a permis de comprendre l’identité et la vision du groupe, mais aussi de créer un réseau inter-entités et un sentiment d’appartenance à quelque chose de plus grand que la compagnie pour laquelle on travaille », ajoute Danushka.

Une initiative essentielle qui reflète bien les valeurs du groupe !

Connaissez-vous Yool le clown et son ukulélé Terry ? Installé à Maurice depuis quelques années, celui-ci est le fondateur du Mauritius Medical Clowns Project lancé en 2017. L’objectif : visiter les unités pédiatriques pour redonner la force et le sourire aux jeunes patients à travers jeux et pantomimes. Lumière sur cette initiative sponsorisée par Novaterra depuis 2018.

Travaillant comme clown de cirque professionnel depuis maintenant plus de 15 ans, Yool, de son vrai nom Sharon Juhl, décide très vite de placer la barre plus haut et de mettre son talent au service de la santé. Formé en clownerie médicale par le Dream Doctor Project en 2014 en Israël, il apprend à jongler avec le travail en zone sinistrée et le deuil tout en affûtant son don de la comédie, trois aspects qu’il considère comme essentiels dans son métier.

Si les procédures médicales sont loin d’être une sinécure, elles sont encore plus stressantes pour les enfants. Qu’il s’agisse d’un simple examen de contrôle, de la prise d’un traitement ou d’une prise de sang, d’une transfusion, d’une injection ou toute autre procédure, Yool accompagne, à travers son Mauritius Medical Clowns Project, ses jeunes patients en semant sur son passage légèreté et éclats de rire.

Depuis 2018, Novaterra le soutient dans sa démarche, lui permettant de visiter deux fois par semaine le SSRN Hospital situé à Pamplemousses. Le bilan de 2022 est un succès : plus de 324 heures de clownerie médicale, plus de 1800 enfants visités et accompagnés dans plus de 300 procédures et traitements médicaux. Ses visites régulières dans le service de cardiologie pédiatrique se soldent même par une baisse de sédation dans de nombreux cas !

Si son intervention permet de réduire le stress des patients, il facilite aussi le travail des équipes soignantes, permettant aux soins de s’effectuer dans la joie et la bonne humeur. Résultat : moins de peur, plus de courage… et même quelques souvenirs agréables ! Le premier clown médical de l’île ne s’arrête pas là et fonde, en 2022, l’ONG Mediclown de l’île, regroupant médecins, artistes, entrepreneurs et anciens patients, pour augmenter la portée de ce travail thérapeutique.

Un projet qui ne cesse de grandir et que nous sommes fiers de soutenir !