Thursday, May 8, 2025 15:47:26

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Asha Motur, QSE Manager chez Terragen

Fin juillet, Terragen a accueilli Asha Motur, sa nouvelle QSE Manager. Passionnée par l’aspect Health & Safety, rien pourtant ne la prédestinait à suivre cette voie. Aujourd’hui, Asha a trouvé sa vocation et compte bien lui laisser libre cours dans son nouvel environnement de travail. Rencontre.

Pourriez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?

Après avoir obtenu mon diplôme en génie chimique de l’Université de Maurice, j’ai travaillé à la Compagnie Mauricienne de Textile (CMT) pendant 3 ans. Je me suis ensuite passionnée pour le côté Santé & Sécurité au travail et ai décidé de me lancer dans des études touchant à ce domaine tout en travaillant en tant que Health & Safety Officer au sein du Ministère du Travail. J’ai ensuite enchaîné les postes dans de nombreux secteurs : hôpital privé, compagnie d’énergie, hôtel… Cela m’a permis d’avoir plusieurs cordes à mon arc ! Aujourd’hui, je compte 17 années d’expérience dans le domaine de la santé et sécurité au travail.

D’où vous vient cette passion pour le domaine de la santé et sécurité au travail ?

Lorsque j’étais ingénieure, j’étais dans ma bulle, alors qu’un ou une QSE Manager se doit de travailler avec les différentes équipes pour arriver à ses fins. Ce côté social rend le travail moins monotone et plus stimulant, et c’est ce qui me plaît. Les journées ne se ressemblent jamais ; mon travail m’amène souvent à sortir de mon bureau pour être sur le terrain.

En quoi consiste exactement votre travail ?

Le sigle QSE est l’acronyme de « Qualité, Sécurité et Environnement ». Il s’agit donc de mettre en place des procédures qui assurent un travail de qualité, une maîtrise des risques et un engagement pour l’environnement. Terragen possède déjà trois certifications : ISO 9000 pour le management de la qualité, ISO 14000 pour le management environnemental, et ISO 45001 pour le management de la santé et de la sécurité au travail. Avant tout, mon travail consiste donc à maintenir ce qui a déjà été fait, et à penser aux améliorations qui peuvent encore être faites.

Pourquoi avoir choisi Terragen ?

Terragen représente pour moi une formule gagnante. D’un côté, j’y retrouve ce côté industriel qui me plaît tant et qui me renvoie à ma première formation. De l’autre, l’usine fait partie d’un groupe dynamique. La triple certification de Terragen représente un réel défi pour moi car il faut à tout prix continuer sur la même lancée en renforçant ce qui a déjà été fait et en innovant. L’idée n’est pas simplement de mettre des procédures en place. Ces dernières doivent être en ligne avec la philosophie de l’entreprise et doivent être comprises par tous. Le but ultime : créer un environnement sécurisé, ce qui est bien parti puisque l’on sent bien à quel point les différentes équipes de Terragen ont à cœur la sécurité.

Asha Motur, QSE Manager chez Terragen

Fin juillet, Terragen a accueilli Asha Motur, sa nouvelle QSE Manager. Passionnée par l’aspect Health & Safety, rien pourtant ne la prédestinait à suivre cette voie. Aujourd’hui, Asha a trouvé sa vocation et compte bien lui laisser libre cours dans son nouvel environnement de travail. Rencontre.

Pourriez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?

Après avoir obtenu mon diplôme en génie chimique de l’Université de Maurice, j’ai travaillé à la Compagnie Mauricienne de Textile (CMT) pendant 3 ans. Je me suis ensuite passionnée pour le côté Santé & Sécurité au travail et ai décidé de me lancer dans des études touchant à ce domaine tout en travaillant en tant que Health & Safety Officer au sein du Ministère du Travail. J’ai ensuite enchaîné les postes dans de nombreux secteurs : hôpital privé, compagnie d’énergie, hôtel… Cela m’a permis d’avoir plusieurs cordes à mon arc ! Aujourd’hui, je compte 17 années d’expérience dans le domaine de la santé et sécurité au travail.

D’où vous vient cette passion pour le domaine de la santé et sécurité au travail ?

Lorsque j’étais ingénieure, j’étais dans ma bulle, alors qu’un ou une QSE Manager se doit de travailler avec les différentes équipes pour arriver à ses fins. Ce côté social rend le travail moins monotone et plus stimulant, et c’est ce qui me plaît. Les journées ne se ressemblent jamais ; mon travail m’amène souvent à sortir de mon bureau pour être sur le terrain.

En quoi consiste exactement votre travail ?

Le sigle QSE est l’acronyme de « Qualité, Sécurité et Environnement ». Il s’agit donc de mettre en place des procédures qui assurent un travail de qualité, une maîtrise des risques et un engagement pour l’environnement. Terragen possède déjà trois certifications : ISO 9000 pour le management de la qualité, ISO 14000 pour le management environnemental, et ISO 45001 pour le management de la santé et de la sécurité au travail. Avant tout, mon travail consiste donc à maintenir ce qui a déjà été fait, et à penser aux améliorations qui peuvent encore être faites.

Pourquoi avoir choisi Terragen ?

Terragen représente pour moi une formule gagnante. D’un côté, j’y retrouve ce côté industriel qui me plaît tant et qui me renvoie à ma première formation. De l’autre, l’usine fait partie d’un groupe dynamique. La triple certification de Terragen représente un réel défi pour moi car il faut à tout prix continuer sur la même lancée en renforçant ce qui a déjà été fait et en innovant. L’idée n’est pas simplement de mettre des procédures en place. Ces dernières doivent être en ligne avec la philosophie de l’entreprise et doivent être comprises par tous. Le but ultime : créer un environnement sécurisé, ce qui est bien parti puisque l’on sent bien à quel point les différentes équipes de Terragen ont à cœur la sécurité.

Pour la huitième année consécutive – hors période Covid –, le restaurant de l’Aventure du Sucre, Le Fangourin, obtient le prix Travellers’ Choice. Ce dernier, attribué par Tripadvisor, récompense les meilleures adresses, celles qui offrent à leurs voyageurs des expériences uniques et inoubliables. Zoom sur un restaurant pas comme les autres…

Tout le monde ne peut pas prétendre au Travellers’ Choice ! « Cette récompense est attribuée aux restaurants qui font partie du top 10 % des établissements répertoriés par la plateforme de voyageurs », explique Edwige Gufflet, Managing Director de l’Aventure du Sucre. Pour obtenir un tel prix, il faut donc que le restaurant en question cumule suffisamment d’avis positifs et de recommandations de voyageurs pour se hisser sur le podium des meilleures adresses de l’île.

Rien d’étonnant puisque Le Fangourin possède une signature qui lui est propre. « La démarche de notre restaurant repose avant tout sur des valeurs écoresponsables », poursuit Edwige. Valorisation des produits locaux tels que le cerf de Villebague, les légumes bien locaux et de saison comme la pipengaille ou le jacque, utilisation des sucres naturels non raffinés pour la préparation de desserts à la touche subtilement mauricienne… Le respect du terroir représente en effet l’un des piliers de son approche.

Parallèlement, le restaurant se démarque par sa position vis-à-vis de l’environnement et met tout en œuvre pour atténuer son empreinte écologique. Épluchures de légumes et carcasses transformées en sauces et bouillons, légumes bio directement issus du jardin du restaurant et espace de compostage : Le Fangourin ne manque pas d’idées pour créer un espace responsable ! « Notre huile de cuisson, ainsi que nos bouteilles de verre vides sont recyclées. Nous ne proposons plus de boissons en contenant plastique », explique Sandrine d’Unienville, Manager – Cultural Development & Communication de l’Aventure du Sucre.

C’est aussi l’occasion de laisser parler sa créativité. « Nous offrons, par exemple, de l’eau filtrée, pure ou aromatisée à la menthe du jardin, et servie dans de belles bouteilles de rhum Mauricia Heritage recyclées. Notre citronnelle glacée du jardin est également servie dans des verres conçus à partir de bouteilles de rhum recyclées », continue-t-elle. Cette philosophie va plus loin puisqu’elle imprègne chacune des actions entreprises à l’Aventure du Sucre : ateliers créatifs autour de matières recyclées, exposition sur le développement durable…

Une démarche qui ne passe pas inaperçue auprès des nombreux visiteurs de l’endroit !

Promouvoir une culture vertueuse et un développement durable auprès de ses 60 collaborateurs pour les transmettre aux visiteurs. Telle était l’initiative de L’Aventure du Sucre, qui a fait appel à Mission Verte pour cette formation et un atelier sur le compostage, en ce mois de septembre.

Engagée dans le développement durable de par ses activités patrimoniales, et ses actions depuis 2002, l’Aventure du Sucre renforce, chaque année, ses pratiques responsables. Ces actions réparties à travers ses pôles d’activité intègrent déjà ces fameux 5 “R”: « Nous Réduisons les déchets à la source en essayant d’en Refuser autant que possible ; trions les déchets pour les faire Recycler ; Réutilisons divers objets comme les bouteilles en verre ou les palettes en bois ; et Retournons à la terre les déchets organiques grâce au système de compostage de notre potager. Le but de cette formation était principalement de consolider les bonnes bases de nos collaborateurs et anticiper notre nouvelle exposition thématique prévue pour début 2023… autour des 5R qui sensibilisera, l’ensemble de nos visiteurs aux gestes utiles pour réduire notre impact sur la planète », explique Edwige Gufflet, Managing Director de l’Aventure du Sucre.

« J’ai été très surprise de voir que le personnel en savait déjà beaucoup sur la gestion des déchets, et donc, heureuse de pouvoir leur partager plus de connaissances à ce sujet. Ce genre de sensibilisation est crucial, car Mare Chicose a déjà atteint le seuil de remplissage. Intégrer ces 5 “R”, et bien d’autres comme “Réparer ou Repenser » est maintenant urgent », ajoute Rubina Salehmohamed, conférencière indépendante, associée à Mission Verte. L’intermédiaire entre le public et le recycleur dispose à ce jour d’un réseau de 60 poubelles de tri à travers l’île.

Vivement cette exposition qui promeut la conscience écologique !

Mahogany Shopping Promenade fêtait, en juin-juillet dernier, sa première année. D’autant plus de raisons de célébrer cet évènement que le dynamisme des équipes a eu raison d’une pandémie, et continue de donner, quotidiennement, toutes ses couleurs à cette destination de shopping unique en son genre.

En effet, l’équipe a réussi à signer quelque 38 locataires, eux-mêmes heureux de voir passer plus de 2,2 millions de visiteurs. « L’architecture industrielle de Mahogany, plantée dans un décor exclusif, fait de ce projet un lieu unique. Au-delà d’arriver à conclure un accord avec un potentiel partenaire, ce que j’aime le plus dans mon poste, sont les rencontres humaines », déclare Chloë Tyack Langlois, Sales & Leasing executive chez Novaterra, qui exprime également sa satisfaction de la relation d’entente établie avec les locataires.

Une passion qui fait toute la différence chez les locataires… David Young, Directeur du magasin de chaussures Brasilia, se dit heureux de cette campagne d’anniversaire, et en général, de la vue pittoresque, de  l’atmosphère accueillante et décontractée qui y règne.

Pour Fabien Halbwachs, Managing Director du bar & restaurant Zakadi, le projet à échelle humaine l’emporte : « Il y a, d’une part, l’équipe, si attentive à nos idées, même les plus folles ! Et d’autre part, l’emplacement, stratégique, de par sa proximité aux diverses scènes de vie, sans oublier que le centre surplombe ce beau lac qui s’illumine la nuit ».

Sandeep Chagger, Directeur du Grand Bazaar of India, a, lui, été attiré par l’atmosphère unique, puis impressionné par le riche calendrier d’activités et évènements en tous genres qui contribuent à en faire une destination accueillante pour les familles. Il salue également l’équipe : « Si proactive et dynamique qui fait un travail de liaison fantastique ».

Jerry Bastiaan, Managing Partner du restaurant The Yellow Fish, exprime sa joie de constater le niveau de Mahogany Shopping Promenade, largement à la hauteur des espérances de l’enseigne, et d’ajouter : « Le plus de l’équipe, c’est son côté humain, un exemple à suivre ! ».

Ratnesh, Operations Manager de Mahogany Shopping Promenade conclut : « Après une première année fructueuse, je peux dire avec fierté que c’est la communication avec les locataires qui fait notre force ! Le Mahogany Shopping Promenade, ce n’est pas juste une expérience, mais tout un lifestyle’’

La centrale thermique forme tous ses exploitants à leur nouveau processus de traitement des eaux qui assure la bonne marche des installations dans le respect de l’environnement. Zoom sur ce processus qui vient réduire davantage l’impact écologique de cette source d’électricité qui œuvre déjà à verdir son mix énergétique.

Depuis sa dernière formation en 2016, la filiale a passé en revue des techniques de traitement des eaux. Notamment en introduisant des produits chimiques plus respectueux de l’environnement, ainsi qu’en investissant pour produire son propre dioxyde de chlore – substance qui permet de combattre des pathogènes comme la légionelle, bactérie mortelle pour l’homme.

« Cette étape s’imposait donc pour accroître les connaissances des exploitants pour diagnostiquer d’éventuelles anomalies, et leur permettre de se familiariser avec les circuits, pour ainsi résoudre plus rapidement et efficacement tout problème. À ce jour, nous sommes fiers d’avoir pu former nos 24 exploitants, qui représentent près de la moitié de notre équipe ! », explique Pierre Jérôme Legallant, Chimiste chez Terragen. L’ingénieur chimiste de formation ajoute : « J’étais heureux de déceler beaucoup d’enthousiasme de la part des exploitants à chaque session, à tel point que leurs collègues du service de maintenance souhaitent aussi y participer ! ».

Une formation d’autant plus importante que l’eau est essentielle au fonctionnement d’une centrale thermique, car elle fait tourner les turbines sous forme de vapeur. Sans un bon processus d’épuration, les conséquences sur les installations peuvent être graves, allant de l’arrêt technique involontaire à la casse de matériel, ayant un impact financier aussi bien que sur la performance.

« Au sein de notre petite équipe de 50 personnes, cette formation s’inscrit dans le cadre de la compétence et de la polyvalence, des qualités essentielles à notre bon fonctionnement », conclut  Pierre Jérôme Legallant.

Le bosseur né posait à peine ses valises à Maurice le 12 juillet qu’il prenait déjà ses fonctions le 1er août avec aplomb. Il nous parle de lui et de son nouveau poste, le temps d’une interview.

Retour sur les moments phare de votre carrière…

Elle commence en 1992, grâce à une bourse. Avance rapide en 2010, lorsque je suis nommé chef de production chez Illovo, une expérience qui m’a donné l’équivalent de 10 années d’expérience en 18 mois suite à l’expansion de l’usine… Sans compter les 18 ans que j’ai passés en Afrique, qui a une forte culture d’analyse de données pour améliorer la performance et la sécurité sur le lieu de travail.

Pourquoi Terra ?

Ah ! À mon époque, dès l’école, Belle Vue Harel (qui devient plus tard Terra) était le Gold Standard ! (souriant) Ça faisait rêver. D’ailleurs, je me pince toujours pour me dire que je suis bien ici.

Quelle est la pierre que vous souhaitez apporter à cet édifice ?

Mon expérience. Une chose que ma carrière m’a apprise est qu’on n’avance que si on partage généreusement ses compétences avec son équipe. Pour moi, on reconnaît un bon Manager lorsqu’il n’est pas là, car c’est son équipe qui le reflète. Responsabiliser, encadrer et partager sont mes maîtres mots.

Le défi à relever ?

Réussir le maximum de produits la première fois, sans avoir à les rectifier, pour maximiser nos ressources.

L’avenir de l’industrie sucrière ?

Je découvre, petit à petit, les différents types de sucre que nous produisons, et les sucres spéciaux sont, pour moi, le meilleur atout de Terra qui doit être préservé et développé davantage pour les années à venir.

Celà dit, l’autre aspect essentiel sur lequel repose notre industrie, c’est la jeunesse. Le succession planning est un de ces points prioritaires sur mon agenda !

Comme le nouveau Factory Manager semble avoir de beaux projets à accomplir, nous lui souhaitons tout le meilleur !

Il y a un peu plus de six mois déjà, Mahogany Shopping Promenade accueillait de nouvelles poubelles de tri du fabricant Molok. Le but ? Permettre à la ville de gérer ses déchets de façon durable, tout en offrant cette possibilité aux résidents de la région. Zoom sur cette initiative.

« La Smart City, à terme, sera en mesure de traiter quelque 11,400 tonnes de déchets annuellement. 43% de ces déchets sont verts, organiques et biodégradables, mais 34% des déchets sont en plastique, verre et papier ou carton. Ils pourraient donc être recyclés localement ou exportés à ces fins. Grâce à notre partenaire, Green Waste, la gestion de nos ordures se fait ainsi dans le respect de l’environnement, et nous obtiendrons régulièrement des rapports quantitatifs et qualitatifs qui nous permettront de connaître le taux d’ordures recyclées, entre autres. Notre but derrière cette démarche était, d’une part, de réduire au maximum les déchets destinés au centre d’enfouissement, et, d’autre part, de rendre accessible aux habitants de la Smart City et des villages environnants, cette habitude vertueuse (et essentielle) qu’est le tri sélectif. Nous avons également, à cet effet, commencé une campagne de sensibilisation autour de l’utilisation de ces poubelles », explique Pravin Hanuman, Senior Development Manager chez Novaterra.

Ainsi, ces poubelles sont séparées en 3 modules pour récupérer les déchets recyclables. Trois grandes poubelles Molok facilitent le tri des déchets grâce à leur code couleur : jaune pour le plastique/ polystyrène/ aluminium ; bleu pour les cartons et papiers ; et vert pour le verre, alors qu’une autre poubelle de la marque Bioil permet d’y déverser les huiles usées.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre du pilier Sustainability de la Smart City de Beau Plan, qui a déjà vu l’installation de 5 poubelles de tri standard (bi-conteneurs) à travers le site, notamment auprès des abribus. Les déchets de construction, qui constituent une quantité non négligeable produite par l’ expansion rapide de la ville, sont éliminés par le constructeur conformément aux dispositions du Environmental Protection Act. L’Aménageur de ville veille au respect des lois à travers un cahier des charges strict dans ses contrats de construction.

Autant de mesures pour préserver le beau cadre naturel qu’est Beau Plan, et contribuer, autant que possible, à des lendemains plus verts.

Ainsi se nomme la campagne de valorisation de l’industrie cannière lancée par Terra, Alteo Ltd et SWAN. Lancée cette année pendant la coupe, #YesWeKann a pour but de valoriser ce secteur qui a longtemps été un pilier de l’économie mauricienne, et qui a encore de beaux jours devant lui.

« Il était important pour nous de lancer cette campagne pour communiquer sur l’importance du secteur cannier à l’île Maurice et ses effets positifs sur l’économie et le social de notre pays », explique Sébastien Mamet, Managing Director de Terragri.

Ancrée dans le développement de Maurice, ainsi que dans sa culture, la canne demeure un secteur porteur d’opportunités et de progrès. Des premières cultures de canne à sucre il y a déjà des siècles à ce jour, cette industrie a su s’adapter et constamment se réinventer, en tirant le meilleur parti des avancées technologiques. En effet, ce secteur apporte toujours sa pierre à l’économie mauricienne à travers ses produits, mais aussi à travers des milliers d’emplois.

Célébrer les personnes qui sont la force vive de ce secteur, mais aussi le dynamisme et la modernité : voilà les objectifs de cette campagne. Elle explore donc quatre grandes thématiques : la valorisation de l’industrie et de ses métiers ; l’efficience économique du secteur ; le rôle du public et des autorités dans l’épanouissement de l’industrie et la contribution de la canne dans l’énergie verte. Car la canne est, rappelons-le, une source considérable d’énergies renouvelables telles la bagasse et l’éthanol.

Cette campagne a aussi pris pour cheval de bataille le problème des incendies dans les champs de canne, qui posent un double problème de pollution et de sécurité, en plus d’appauvrir les sols.

Visible sur des panneaux d’affichage dans le nord et l’est de l’île, mais aussi via des activités dans plusieurs régions et une campagne médiatique, et sur les réseaux sociaux, #YesWeKann rappelle toutes les raisons d’être fiers de l’industrie cannière

Mieux équiper les associations de la région à aider les personnes souffrant d’une addiction à l’alcool : tel était le but de cette formation parrainée par Terra Foundation.

Ainsi, neuf représentants de 5 ONGs différentes, notamment Caritas Solitude, Safire, Comité Quartier Cité Pamplemousses, ADP, Jeunes Créatifs Paul & Virginie ont été formés, et ont reçu leurs certificats le 19 juillet dernier dans les locaux d’Étoile d’Espérance à Curepipe.

Ce projet a eu lieu suite à d’une demande de L’ONG Étoile d’Espérance, explique Marie Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation : « Cette association est spécialisée dans l’accompagnement et la réhabilitation des femmes souffrant d’un trouble de l’abus d’alcool. Elle nous a donc contactés pour former les ONG de la région afin d’agir directement sur les habitants de la localité. La démarche a notamment été motivée par la consommation grandissante d’alcool chez les femmes, et les risques associés, notamment le syndrome d’alcoolisation fœtal ».

Basée sur le modèle Train the Trainer, cette formation avait pour but de permettre à ces représentants d’acquérir de nouvelles compétences en termes d’écoute pour mieux encadrer et soutenir ces personnes en difficulté.

Ce projet a été motivé par un sens de solidarité avec les habitants de la région. « Nous sommes heureux d’avoir collaboré à l’organisation de cette formation avec Étoile d’Espérance et Beau Plan, et d’avoir pu contribuer, avec nos ONGs formées, à la réinsertion de ces femmes en difficulté qui méritent de reprendre leur santé en main », conclut Marie-Annick Auguste.

Le YEP est un programme sous l’égide du ministère du travail qui, à ce jour, a permis à Terra de recruter pas moins de 10 jeunes à travers les différentes entités du groupe. Zoom sur cette initiative qui forme les jeunes, et apporte un souffle de renouveau au sein des équipes.

Lancé en 2013, ce programme a pour but de regrouper des jeunes dynamiques et motivés à la recherche d’emploi, et de leur permettre d’acquérir une expérience professionnelle. Ils peuvent ainsi, pendant un an, bénéficier d’une formation dans un métier d’avenir, avec la possibilité d’être embauché à temps plein à la fin de cette période.

Cette formation, qui fait le pont entre les jeunes à la recherche d’activité professionnelle et les employeurs qui manquent de personnel dans certains domaines, subventionne en partie les allocations, tout en évaluant les compétences gagnées en entreprise. Cela permet ainsi de s’assurer que la jeune recrue bénéficie d’une base solide.

« Avec le taux de chômage et une population vieillissante, ce programme nous a permis de contribuer à une succession éventuelle, car, avec la devise de Terra “for the future”, les jeunes d’aujourd’hui sont l’avenir de Terra », explique Sharonne Jaquette-Miner , HR Manager chez Terra. Une opinion que partage Rudy Larose, HR Manager chez Terragri Ltd. « Ce programme, ainsi que notre Young Graduate Programme, nous ont certainement permis de combler un certain fossé générationnel qui se creusait entre nos collègues aguerris qui partaient à la retraite, et la future génération ».

Qu’en pensent les nouvelles recrues ? « Une immersion dans une culture d’entreprise formidable », explique Shameem Khodabacus, recrue YEP en comptabilité. « Cela m’a permis de me développer dans ma carrière et dans ma communication avec les autres. C’est très important, dans notre contexte actuel où les compagnies font de l’expérience professionnelle une priorité dans leurs critères de recrutement ». Victoria Monneron, HR assistant, a également apprécié cette année d’apprentissage, qui s’est conclue en une offre d’emploi : « J’ai particulièrement aimé qu’on me permette de m’exprimer, tout en me donnant l’opportunité de toucher à tout ; des projets, aux recrutements et formations ».

Le YEP semble, par-dessus tout, être une occasion de partage. Si le savoir-faire émane de l’entreprise, « Ces jeunes qui certes, ont besoin d’encadrement, font néanmoins preuve de dévouement, de ténacité, et sont vraiment à la hauteur de nos attentes », conclut Rudy Larose avec optimisme.