Friday, May 9, 2025 15:45:00

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En avril, Terra Foundation s’est associée à Étoile d’Espérance, ONG spécialisée dans l’accompagnement et la réhabilitation des femmes souffrant d’alcoolisme. Le projet : former les ONG de la région pour agir directement sur la communauté avoisinante. Retour sur cette initiative avec Marie-Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation et Gilbert Leste, addictologue et responsable de thérapie chez Étoile d’Espérance.

« C’est un projet que nous avions à cœur depuis un moment, mais il a dû être retardé à cause de la crise sanitaire. Les sessions de formation, qui ont démarré le 19 avril, se tiennent chaque mardi et devraient s’étendre sur deux à trois mois », confie Marie-Annick. Cette initiative, née d’un souci grandissant quant à une consommation d’alcool – et d’autres substances – qui ne cesse d’augmenter, offre une action ciblée pour envisager un meilleur accompagnement de ces personnes en souffrance.

« La formation à Beau Plan forme partie de notre programme de sensibilisation qui consiste à aller vers la communauté à travers les groupes de forces vives, clubs, ou encore ONG. Ces volontaires sont en effet mieux placés pour approcher les personnes vulnérables de leur région », explique Gilbert. Ce sont donc neuf participants de cinq ONG de la région qui sont, chaque semaine, encadrés par deux formateurs spécialement venus d’Étoile d’Espérance, au Beau Plan Creative Park, dans un espace offert par Beau Plan. La logistique et les rafraîchissements sont, quant à eux, assurés par Terra Foundation.

« Nous sommes deux à assurer la formation : Gacilly Sheik Adam, responsable de la prévention sur le Syndrome d’Alcoolisation Fœtale (SAF) et de l’information sur les Troubles Causés par l’Alcoolisation Fœtale (TCAF), et moi-même », explique Gilbert qui est aussi l’un des opérateurs d’assistance pour les toxicomanes et l’un des fondateurs du centre de Solidarité de Rose-Hill. Le but : apprendre aux participants les différents moyens d’approche pour offrir une écoute et un soutien optimal de ces femmes vulnérables victimes d’addiction.

Pour Gilbert, cette formation, qui représente une opportunité supplémentaire de contribuer au travail déjà engagé des ONG, laisse déjà présager un retour positif. Même son de cloche chez Terra Foundation. « Nous sommes satisfaits de pouvoir collaborer à la réalisation de cette formation qui vient pallier un besoin pour nos ONG partenaires et nous sommes sûrs qu’elle portera très vite ses fruits », conclut Marie-Annick. Un projet engagé qui promet de s’attaquer à un fléau social qui continue à gagner du terrain.

Depuis le 28 avril, l’Aventure du Sucre accueille une exposition centrée sur les travailleurs de la canne et signée Ashok Kallooa. Cinquante clichés en noir et blanc sont donc venus agrémenter les recoins du grand jardin, mais aussi de l’ancienne sucrerie de Beau Plan, dont le cœur palpite encore et toujours autour de ces métiers indissociables de notre histoire. Retour.

Pour Ashok Kallooa, « Eskuli : Travay Otur Mulin » représente bien plus qu’un simple témoignage de vies passées autour du moulin et offre un regard intime sur une partie de sa vie. « J’ai passé mon enfance dans le camp sucrier de Beau Séjour Piton avec mes parents et voisins laboureurs. C’était une enfance heureuse et libre au cœur de cette communauté modeste, où tout le monde se connaissait et partageait des valeurs de solidarité, d’entraide et d’amour », se livre-t-il. Ces clichés, pris sur le vif, dépeignent ces travailleurs acharnés qui ont, par la force de leur main, contribué à l’économie, et même à l’identité de notre île.

Véritable patrimoine d’un temps amené à disparaître ou, du moins, à se transformer, c’est un pont entre hier et aujourd’hui qu’Ashok entend dresser, pour immortaliser ces personnes et ces emblèmes de traditions d’une autre époque. Car au-delà de ces travailleurs qui ont donné leur vie à la canne, ce sont aussi toutes les petites particularités de cet univers qu’il veut célébrer. Camions Bedford, serpes et pangas, marteau et enclume… Autant de détails qui sentent bon l’authenticité et qui donnent au monde de la canne et, par extension, à notre île, toutes ses couleurs.

Grâce au soutien du National Art Fund, cette exposition, lancée dans le cadre de la Fête du travail, s’inscrit aussi dans la continuité d’une série démarrée en novembre 2020 avec l’exposition « Eskuli : Sier e Kreation » à Aapravasi Ghat pour commémorer l’arrivée des premiers immigrants indiens à Maurice. Cette dernière a été suivie, en février 2021, de l’exposition « Eskuli : Ban Batisers » qui s’est tenue dans le village du Morne pour commémorer l’abolition de l’esclavage. Une fenêtre privilégiée sur un pan de notre histoire fort en émotions !

Puisque la vocation d’une ville intelligente est aussi d’encourager le développement durable, Beau Plan ne déroge pas à la règle ! Parmi ses nombreuses initiatives, la mise en place de poubelles de tri accessibles à tous marque le premier pas vers une ville responsable. Pravin Hanuman, Senior Development Manager chez Novaterra, nous en dit plus.

À Beau Plan, le début du mois de mai s’est soldé par l’installation d’énormes bacs de recyclage semi-enterrés de la marque suédoise Molok®. Étanches et solides, ces conteneurs ont l’avantage, par leur semi-enfouissement, d’économiser de l’espace à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur. En effet, étant donné que 60 % du conteneur se trouve sous terre, un seul bac de 5 m3 équivaut à huit conteneurs de surface de 660 L. Un chiffre non négligeable !

Les trois premiers bacs – l’un de 5 m3 et deux de 3 m3 – se situent aujourd’hui dans le parking du Mahogany Shopping Promenade, à côté de l’arrêt de bus. Le premier bac, qui accueille les « mixed recyclables », stockera le plastique, le polystyrène et l’aluminium, alors que les deux autres bacs seront dédiés, d’une part, au papier et au carton et, d’autre part, au verre.

« L’idée est que ces conteneurs soient accessibles à tout le monde, aux piétons comme aux conducteurs, aux usagers de la ville comme aux résidents et travailleurs », explique Pravin. Le service de tri et de gestion des déchets, assuré par Green Ltd, promet une traçabilité accrue quant au cheminement des déchets.

Pour Pravin, une Smart City se doit d’être intelligente dans tous les domaines, et le développement durable constitue l’une des pierres d’angle de cette philosophie. « C’est pour cela que nous avons également installé six poubelles de tri supplémentaires sur la route interne », ajoute-t-il. L’objectif : créer une ville responsable et durable.

La ville ne souhaite cependant pas s’arrêter là ! « Nous avons de nombreuses stratégies que nous voulons mettre en place et ces nouveaux conteneurs ne représentent qu’un premier pas vers ce que nous souhaitons réaliser sur le long terme », poursuit-il. Si la ville ne souhaite pas encore dévoiler tous ses secrets, elle nous promet pourtant une année riche en nouveautés !

À l’Aventure du Sucre, 2022 est une année placée sous le sceau du renouveau, de l’engagement et de la créativité ! Pour faire le lien avec sa future exposition sur le développement durable, le musée a décidé d’organiser, pour les habitants de la région, de nombreux ateliers créatifs. Retour sur cette initiative avec Sandrine d’Unienville, Manager-Cultural Development & Communication du musée.

Le mois d’avril a été marqué, à l’Aventure du Sucre, par la mise en place de trois ateliers de peinture sur bois flotté. Organisés en partenariat avec Terra Foundation, Mr Bricolage, Kazibao Ltée et le British Council, ils ont accueilli de nombreux adolescents de la région, issus des différentes ONG partenaires de la fondation de Terra. Regroupés autour de la jeune artiste Yulyanna Chimeea, les participants ont su profiter de ces moments créatifs pour fabriquer de magnifiques décorations en bois flotté.

Pour Sandrine, le but de l’Aventure du Sucre est de mettre l’art et la création au service de l’inclusion et du développement durable. « Ce moment de partage entre Yulyanna et les adolescents de Bois Rouge et Pamplemousses a été pensé pour initier ces jeunes à l’art, pour les faire sortir des sentiers battus et pour les aider à créer », explique-t-elle. Le résultat est époustouflant car c’est, au total, une trentaine de bois flottés de 1m50 à 2m qui ont été réalisés.

« Ces immenses bois flottés seront fixés sur six socles et disséminés à travers les jardins de l’Aventure du Sucre », poursuit Sandrine. Des œuvres d’art qui promettent d’offrir de magnifiques touches colorées à cet espace de détente et de promenade. Les pièces créées devraient être finalisées et installées mi-juin, et seront dévoilées lors d’un petit événement organisé avec les participants et leurs parents pour les remercier de leur contribution.

Début juin, ce sera au tour des femmes de la région de venir s’exprimer lors d’ateliers de cerceaux flottants. Pour rester dans le thème du développement durable, ces derniers seront créés à partir de matériaux recyclés tels que des chutes de tissus, des bouchons en plastique, ou encore des morceaux de savates, et seront ensuite accrochés à l’un des flamboyants du site.

Derrière ces ateliers s’exprime aussi toute la philosophie de l’Aventure du Sucre. « Si notre motivation première est de démocratiser l’art et de le rendre accessible à tous, l’un de nos engagements est aussi d’instaurer un espace d’échange avec les populations de la région pour leur donner l’opportunité de créer et de s’exprimer », dit Sandrine.

Ces ateliers, qui se poursuivront tout au long de l’année, ne représentent pas seulement un moment de création. « Ces moments de partage nous permettent aussi de passer des messages qui nous tiennent à cœur », conclut-elle. Car au-delà de la créativité ainsi convoquée, d’autres aspects émergent de ces rencontres : solidarité, sensibilisation au respect de l’environnement, divertissement… Des ateliers ludiques et instructifs !

S’il y a bien une chose que Sarah aime, c’est son travail… quitte à faire la route, tous les jours, de Tamarin ! Présente depuis l’ouverture du Mahogany, elle s’active chaque jour pour offrir à ses clients et aux visiteurs une expérience singulière, où s’entremêlent passion et efficacité.

« Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt », plaisante Sarah. Son quotidien, réglé sur cet adage, démarre donc aux petites heures, avec une séance de méditation ou de yoga avant de prendre la route. « Cela me permet de faire le plein de bonnes énergies pour bien commencer la journée », continue-t-elle. Une fois Tamarin derrière elle, direction Beau Plan pour une journée bien remplie !

Si le centre s’éveille à 8h30 avec l’ouverture d’Intermart, Sarah sillonne déjà les couloirs dès 7h50 pour s’assurer que les équipes de sécurité et de maintenance sont en place et que le Mahogany est prêt à accueillir ses premiers visiteurs. Après cette vérification d’une trentaine de minutes et un point avec l’équipe des opérations concernant le déroulement de la nuit, les choses sérieuses commencent.

« Nous démarrons la journée avec des visites de clients et locataires. Ces rendez-vous sont très variés et peuvent toucher à une demande de publicité comme à une offre à discuter », explique Sarah. Si certaines journées voient l’enchaînement de ce genre de rendez-vous, d’autres sont plus légères et appellent à d’autres tâches. « Si nous n’avons pas beaucoup de visites, nous nous réunissons avec les équipes de comptabilité, de marketing et d’opérations pour faire un récapitulatif de la semaine passée et planifier la semaine à venir », poursuit-elle.

Instauration du calendrier des événements, suivi des opérations au sein du centre, ou encore relances quotidiennes au niveau comptabilité… Les journées au Mahogany sont variées ! « La seule constante est la relation humaine : je suis toujours en contact avec les locataires et les équipes du centre », dit-elle. À cet emploi du temps chargé s’ajoutent aussi des tours du mall pour vérifier que tout fonctionne bien comme il faut.

Si les journées sont parfois très longues, la motivation de Sarah ne faillit jamais. « Je suis passionnée par ce que je fais, par le cadre et la compagnie dans lesquels j’évolue, par les équipes qui m’accompagnent au quotidien. Je ne compte pas les heures et mes équipes fonctionnent ainsi également », confie-t-elle.

Même le long trajet de la maison au travail est loin de la décourager. « J’aime cette coupure, ces deux univers différents. Cela me permet de me déconnecter, dans un cadre boisé et agréable », dit-elle. Son secret pour rester active ? « Beaucoup de café ! »

Pour le premier semestre 2022, Terra Foundation ne manque pas d’initiatives et met l’accent sur l’art et le développement de soi. L’un de ses projets phares : la création d’une pièce de théâtre, concoctée avec la PLP Théâtre Académie et les enfants et adolescents de la région, qui devrait voir le jour en juin de cette année. Rencontre.

Depuis 2021, Terra Foundation, Beau Plan et la PLP Théâtre Académie se sont associées pour offrir des cours de théâtre à une dizaine de jeunes, issus de 3 ONG de la région. « La fondation offre le transport aux bénéficiaires et Pierre-Louis Paillusseau, le directeur de la PLP Théâtre Académie, dispense gratuitement des cours, tandis que Beau Plan met à disposition la salle du Workshop au Creative Park », explique Marie-Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation. Le résultat : des enfants motivés qui se retrouvent chaque semaine au Creative Park pour donner libre cours à leur inspiration.

Pour Julie Lindor, jeune actrice en herbe, les cours sont une véritable aubaine. « J’aime le théâtre, cela me permet de m’exprimer sous d’autres formes et d’avoir assez confiance en moi pour parler en public. Ce que j’aimerais, c’est pouvoir transmettre tout ce que j’ai appris à d’autres adolescents », dit-elle. Même son de cloche chez Cédric Cicéron, apprenti acteur. « Ces cours m’offrent la possibilité d’apprendre d’autres choses et de développer ma confiance en moi », explique-t-il.

Du côté des parents, l’initiative est également accueillie avec enthousiasme. « Ce cours est très utile car il a permis à mon enfant de s’épanouir sur le plan de l’expression. Nous sommes reconnaissants envers Pierre-Louis et la fondation pour cette formidable opportunité », confie Christèle Lindor, la mère de Julie. « C’est une très bonne initiative qui permet aux jeunes de se détourner des fléaux qui affectent notre quartier », renchérit Valérie Sylva, la mère de Cédric. Le prochain projet : une pièce de théâtre aux couleurs de l’île prévue pour juin.

« Bien qu’ils n’aient jamais fait de théâtre auparavant, les enfants se montrent très motivés, ce qui me motive aussi », dit Pierre-Louis. Pour couronner la fin du premier semestre de l’année, ce dernier a adapté une bande-dessinée de son choix en pièce de théâtre : Gran mama. « Sans trop en dévoiler, c’est l’histoire d’un petit garçon qui a très peur d’une vieille dame qui vit dans une cabane. Il passe tous les jours devant cette cabane pour aller à l’école… jusqu’au jour où, malgré l’interdiction de sa mère, il y pénètre ! », poursuit Pierre-Louis.

La musique, élaborée par Sébastien Margéot, a été créée spécialement pour la pièce et sera jouée par un quatuor à cordes placé sur scène et accompagné d’un chanteur. Pour Pierre-Louis, outre la pièce de théâtre, ces moments de partage sont particulièrement bénéfiques. « L’idée est aussi de permettre aux enfants de s’épanouir par le biais du théâtre car c’est ce qu’il apporte de plus précieux : la découverte de soi. Plus on apprend à se connaître, mieux on se porte et mieux on apprend à connaître les autres », dit-il.

La fondation ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. En partenariat avec L’Aventure du Sucre pour des ateliers artistiques, elle parraine une dizaine d’adolescents de Pamplemousses pour des ateliers de peinture sur bois flotté prévus le 16, le 23 et le 30 avril avec l’artiste Yulyanna Chimeea. « Ces bois flottés peints seront ensuite fixés sur des socles et exposés dans les jardins de L’Aventure du Sucre », souligne Sandrine d’Unienville, Manager-Cultural Development & Communication de L’Aventure du Sucre.

Des projets qui promettent une année haute en culture et en art !

L’année 2022 est déjà bien entamée et la ville de Beau Plan poursuit son expansion avec de beaux projets. Son objectif : créer une Smart City vivante et animée, où il fait bon vivre, travailler… et simplement flâner !

Beau Plan enclenche la deuxième phase de son développement

« Cela fait trois ans déjà que nous avons lancé le projet de Beau Plan. Ce développement, organisé en 4 à 5 phases, connaît aujourd’hui sa deuxième phase », explique Emeric Vigier de Latour, Communications Manager chez Novaterra. Au programme pour chacune d’elles, toute une série de travaux touchant aux loisirs, au commerce, ou encore au résidentiel, le tout avec une certaine touche de créativité.

L’un des premiers projets de cette nouvelle phase est de s’attaquer aux infrastructures du futur Business District de la ville – une zone qui accueillera, à terme, des showrooms et bureaux. Un espace idéal pour y implanter des PME. « L’idée est aussi de co-développer ces terrains avec certains acteurs du secteur », poursuit Emeric. Soulignant cette envie de faire de la ville un hub d’affaires, Beau Plan dévoile aussi ce mois-ci The Strand, une offre business pas comme les autres face à son lac, dont la construction a déjà démarré et qui verra le jour à la fin de l’année.

Créer un cadre de vie responsable

L’une des initiatives de Beau Plan cette année est de faire de la ville un espace de vie responsable, où les usagers peuvent trier leurs déchets. « Nous possédons déjà des poubelles de tri pour les locataires du Mahogany. Notre but aujourd’hui est d’en installer dans d’autres endroits stratégiques de la ville : à proximité des bureaux, des abribus, ou encore le long des routes », explique Emeric. De grosses poubelles de tri viendront par la suite compléter cette démarche pour offrir à tous la possibilité d’une ville propre et soucieuse de son impact.

Un cadre idéal où habiter en famille

Si la Smart City commence à prendre son essor, l’une de ses principales préoccupations est aussi de créer une offre résidentielle réfléchie pour dynamiser son environnement. Parmi ses projets, les résidences Mango Village, avec leurs duplex, appartements et penthouses, dont les travaux se poursuivent. Elles promettent d’enrichir l’offre résidentielle de la ville : « On touche ici à un tout autre type de résidentiel, avec l’arrivée prochaine de 3 000 nouveaux habitants », dit Emeric. La construction de la phase 1, déjà bien entamée, devrait prendre fin en juillet, alors que la commercialisation de la phase 2 est en cours de finalisation.

Pour apporter plus de loisirs à ses habitants et à ceux de la région, Beau Plan étoffe par ailleurs ses services et activités, avec notamment une offre sportive. « Nous souhaitons développer la zone de Mont Rocher pour y installer un centre dédié au padel tennis », continue-t-il. Pour les amateurs de ce sport, qui semble connaître une popularité grandissante auprès des Mauriciens, la construction d’un centre dédié avec 5 terrains, est prévue dans le courant de l’année. Des projets qui promettent une ville accueillante et agréable !

Cela fait déjà sept mois qu’Amélie a rejoint les équipes de Terragen en tant que Finance Manager. Pour cette nouvelle recrue qui a vécu son enfance sur une propriété, travailler pour une centrale thermique relève plus du familier que du nouveau. Rencontre. Grande passionnée de nature et d’animaux, rien ne prédestinait Amélie à la finance. Rêvant d’abord de devenir vétérinaire, elle s’envole pour l’Australie en vue d’obtenir son Bachelor of Science – Biomedical Science. C’est à son retour à Maurice, trois ans plus tard, qu’Amélie touche à la finance, un domaine qui lui plaît d’emblée, et qu’elle approfondit grâce à un diplôme de Chartered Accountant.

Installée depuis quelques mois dans les bureaux de Belle Vue, Amélie a beaucoup à faire car le travail de Finance Manager couvre énormément d’aspects. Faire les comptes, autoriser les factures, gérer, avec l’aide de Suraj Ramroop, chef d’exploitation à Terragen, les stocks de charbon de Terragen et Grays et en effectuer le paiement, gérer et suivre les investissements, générer des budgets et rapports mensuels… Il y a toujours de quoi faire pour des journées bien remplies !

Pour cette habituée des propriétés sucrières, travailler à Terragen représente le combo gagnant : « Terragen regroupe mes deux passions : le côté scientifique avec les différents projets de la centrale et le domaine financier où l’on analyse la viabilité des projets en les suivant de près », confie-t-elle. Si le cadre vert de son environnement de travail représente l’un de ses coups de cœur, elle accueille aussi chaque challenge avec un mental d’acier. « J’adore les nouveaux défis car ils me permettent de me surpasser. Et chaque jour est un nouveau challenge dans le domaine des énergies », poursuit-elle.

Quand elle ne travaille pas, Amélie a une passion : le sport. Que ce soit une course à pied, une sortie en paddle, ou un moment en mer, elle saisit chaque opportunité pour se dépenser. « Le sport m’offre un moment de déconnexion et d’évasion où je me retrouve seule avec moi-même, ce qui me permet d’avoir un équilibre idéal entre vie professionnelle et vie privée », dit-elle. Un ressourcement essentiel pour bien attaquer les journées à la centrale !

Le mercredi 13 avril dernier, Novaterra accueillait ses partenaires et des journalistes pour lancer le tout premier projet business bâti de Beau Plan : The Strand. Concept novateur, ces bureaux prennent leurs quartiers dans un cadre imparable et proposent une offre unique en son genre pour la région.

Situé en bordure du lac de Beau Plan avec une vue imprenable sur la région et les montagnes au loin, The Strand est un projet d’envergure. Avec ses 10 000 m2 de bureaux répartis en trois blocs, cette initiative vient casser les codes de l’offre business jusqu’ici proposée. « The Strand voit le jour après deux années particulières. La crise sanitaire a bouleversé les modes de travail, et c’est de là que nous tirons l’inspiration pour ce projet », explique Emeric Vigier de Latour, Communications Manager chez Novaterra.

En effet, dans un monde qui privilégie aujourd’hui un meilleur équilibre entre vie privée et professionnelle et recherche avant tout un environnement de travail agréable pour s’y épanouir, The Strand arrive à point nommé. Doté d’un parking semi-couvert, le projet a été pensé pour répondre à toutes les envies de ses locataires : une boutique-gym ouverte aux usagers de ses trois bâtiments, mais aussi aux habitants de la ville, pour une session sportive express ; un wellness bar pour une pause gourmande et healthy ; une cafétéria commune avec un espace détente pour consolider les liens entre les équipes, une galerie d’œuvres éphémères, un espace de corporate retailing avec une papeterie, des services de transport ou encore d’assurance pour les besoins quotidiens des entreprises… L’offre est large !

« The Strand, c’est aussi un environnement de travail exceptionnel dans une région bien desservie, avec le Mahogany Shopping Promenade à quelques pas, l’école Greencoast, ou encore une offre résidentielle complète », poursuit Emeric. Sa livraison étant prévue pour la fin de l’année, The Strand prévoit la vente d’un tiers de ses bureaux et la location du reste. Elle est commercialisée sous le concept « Work in Beau Plan », qui vise à promouvoir la philosophie de la ville en devenir et son approche différenciante du monde du travail. « C’est une offre exclusive et différente de ce que l’on retrouve sur le marché que nous avons voulu proposer, pour offrir aux entreprises qui le désirent un cadre de travail aussi efficace qu’agréable », conclut Emeric. Un projet qu’il nous tarde de découvrir !

Installé dans l’ancienne usine de Beau Plan, L’Aventure du Sucre retrace, à travers l’histoire du sucre, l’histoire de notre île. À visiter seul ou en famille, la réputation du musée n’est plus à faire. Voici 5 bonnes raisons de le découvrir… ou de le redécouvrir !

Raison n°1 : La découverte de tout un pan de notre histoire

Puisque l’histoire de Maurice et celle du sucre sont intimement liées, L’Aventure du Sucre représente le point de départ incontournable pour entamer un voyage dans notre passé et comprendre la richesse d’un héritage qui modèle encore notre vie d’aujourd’hui et notre monde de demain.

De la fabrication du sucre et des coproduits de la canne aux faits et anecdotes historiques, vous pourrez ici découvrir l’odyssée de la canne et sa conquête de Maurice ! Et pour les curieux qui souhaitent connaître toutes les facettes de notre île, L’Aventure du Sucre organise aussi des expositions temporaires. En octobre, le musée accueillera pour ses 20 ans une exposition sur le développement durable.

Raison n°2 : Une visite empreinte de passion

Embarquez, le temps d’une visite, pour un voyage intemporel à la suite de nos guides passionnés dans une île Maurice révolue et, pourtant, encore bien présente. Temps d’échange et de partage, elles promettent, en 1h15, une expérience immersive et interactive pour découvrir d’une façon plus ludique l’un des piliers clés de notre histoire. Du lundi au jeudi, deux visites ont lieu quotidiennement, à 10h30 et 14h, et le vendredi, une visite est organisée à 14h.

Raison n°3 : L’audioguide, idéal pour visiter à votre rythme

Vous préférez découvrir notre histoire en solitaire, et à votre propre rythme ? L’audioguide de L’Aventure du Sucre est fait pour vous ! Téléchargeable chez vous comme au musée et disponible en sept langues, ce guide audio est gratuit et offre une visite complète en toute autonomie.

Raison n°4 : Les enfants sont bienvenus

Idéal pour une sortie familiale, L’Aventure du Sucre propose aussi des programmes créés spécialement pour aiguiser la curiosité des jeunes. Le parcours-bambin, dédié aux 3 à 6 ans, permet de découvrir le musée à travers les sens – vue, toucher, odorat – via des jeux et coloriages… Pour les plus grands, un guide d’exploration spécial 6-13 ans permet de faire la visite du musée en s’amusant : des jeux, deux BD de Thierry Permal, des recettes et autres astuces les y attendent ! Découvrir l’histoire de notre île et de la canne n’aura jamais été aussi divertissant !

Raison n° 5 : Une boutique artisanale 100 % mauricienne

Point final des visites guidées, la boutique de L’Aventure du Sucre propose de nombreux produits 100 % Made in Mauritius. Véritable célébration du savoir-faire mauricien, on peut ici y déguster plus de 30 produits locaux, dont des sucres spéciaux, des rhums de la collection New Grove, des miels, ou encore des confitures. Un arrêt gourmand à ne manquer sous aucun prétexte !

Que ce soit pour déambuler dans ses jardins, profiter des œuvres et fresques exposées, pour un pique-nique sur les tables mises à disposition des visiteurs, ou encore pour un repas gastronomique ou sur le pouce au restaurant Le Fangourin, les raisons de visiter L’Aventure du Sucre ne manquent certainement pas !