Monday, May 5, 2025 15:44:59

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Pleins feux sur… Bois Rouge ! En 2017, avant la création de la Smart City, Novaterra lance une évaluation de l’impact social dans la région pour comprendre les espoirs et craintes des habitants de Bois Rouge par rapport aux développements prévus dans la région. Sept ans plus tard, c’est un autre village, nourri de ces échanges, qui se matérialise.

« Lorsque nous avons lancé notre social impact assessment, de nombreux points sont ressortis, dont l’importance de développer des infrastructures sportives dans le village de Bois Rouge », explique Emeric Vigier de Latour, Communications Manager de Novaterra. En effet, l’ancien terrain de foot, situé à côté du Mahogany Shopping Promenade, accueillera bientôt une nouvelle offre de bureau.

« Le bien-être des habitants de Bois Rouge est au cœur de chacune de nos démarches. Pour faire les choses bien, nous avons décidé de lancer, il y a un an et demi, un projet d’investissement pour améliorer certains aspects du village selon les attentes de ses résidents », poursuit-il. C’est ainsi que Novaterra a entamé la création d’un terrain de football aux normes de la FIFA, avec des vestiaires, des lumières et des zones de parking, jouxtant une “tiny forest » de 400m2 avec des arbres endémiques

Dans une logique de coopération régionale, Novaterra a, le 23 octobre dernier, signé un contrat de handing over au District Council de Pamplemousses. « Nous voulons absolument faire vivre cet endroit ; c’est pour cela que nous avons, nous aussi, réservé deux créneaux dans la semaine pour les équipes de Novaterra, mais aussi les bénéficiaires d’une ONG de la région », explique Emeric.

En plus de la création de plusieurs terrains de pétanque pour les amateurs du jeu de boules, le travail de Novaterra ne s’arrête pas à l’offre sportive puisque l’entreprise a aussi investi massivement dans des travaux d’élargissement des routes pour une circulation plus aisée, de nouvelles zones de parking, ainsi qu’un projet de revégétalisation du village.

Parallèlement, l’importance de l’art y est soulignée avec la promotion du street-art. Le Samudra Art Prize, concours artistique lancé en 2024, sera d’ailleurs sponsorisé, pour la catégorie street-art, par le Creative Park de Beau Plan, avec un mur mis à disposition des artistes en plein Bois Rouge pour sensibiliser les habitants sur l’importance de la biodiversité de l’île. « Notre objectif est de favoriser le bien-être des résidents du village, que ce soit à travers le sport, les loisirs, les infrastructures, ou encore l’art, pour faire de Bois Rouge un endroit où il fait bon vivre », conclut Emeric.

Du 3 au 5 septembre 2024, s’est tenu le Spirits Selection by Concours Mondial de Bruxelles, un concours itinérant de renommée internationale. Cette édition, qui a eu lieu à Renhuai en Chine, a connu la participation remarquée de l’une de nos collaboratrices… Représentant l’île Maurice dans le jury du concours, Florence de Coriolis, Assistant Brand Manager chez Grays, revient sur ce voyage haut en couleur.

 Une ville effervescente, scindée par le mystérieux fleuve Chishui, lui-même bordé par une végétation foisonnante… Bienvenue à Renhuai, ville chinoise située au nord-ouest de la province de Guizhou ! Connue pour son célèbre baijiu Arôme Sauce, une eau-de-vie typique à base de sorgho, la ville se targue d’un savoir-faire millénaire dans la confection de cet alcool prisé.

En faire le lieu du dernier Spirits Selection by CMB était donc une évidence ! Ce concours, crée en 2006, parcourt en effet le monde et se pose, chaque année, dans une nouvelle destination dont l’histoire est intrinsèquement liée à la fabrication de spiritueux. Réunissant des dégustateurs reconnus dans le monde entier et triés sur le volet, cette compétition vient récompenser les plus belles créations de l’année.

En 2024, c’est Florence de Coriolis, Assistant Brand Manager de Grays, qui a été sélectionnée pour représenter Maurice dans le jury du concours. Un bel honneur ! « J’ai été très touchée de faire partie de cette aventure, et je suis fière de voir ma passion reconnue à travers le monde très compétitif des spiritueux », confie-t-elle. Du 3 au 5 septembre, Florence a pu déguster seize catégories de spiritueux, qu’elle a analysé très succinctement à travers des paramètres précis.

« De nombreux critères sont pris en compte, comme, par exemple, le visuel, la limpidité, le nez, le goût, l’intensité des arômes, l’équilibre de l’alcool, l’authenticité, la longueur, ou encore la complexité. Nous notons chacune de ces catégories de 0 à 100 et rédigeons des notes de dégustation précises pour accompagner nos observations », explique-t-elle. Un travail minutieux et stimulant !

Whisky, cognac, brandy, rhum, vodka, gin, grappa, baijiu, pisco, tequila… Tous les spiritueux y sont disséqués ! « Bien que ce concours ait lieu tous les ans, il est intéressant de noter à quel point les années ne se ressemblent pas et les tendances changent. Le mezcal artisanal, un spiritueux que j’affectionne particulièrement, connaît, depuis quelque temps, une belle popularité, et cela s’est ressenti à Renhuai. J’étais également heureuse de voir une belle présence et une grande diversité au niveau des rhums », ajoute-t-elle.

Au-delà de cette expérience extraordinaire, Florence a aussi pu s’imprégner de la tradition locale en visitant les distilleries de baijiu du Maotai. « C’était passionnant de voir ces techniques ancestrales matérialisées sous nos yeux ! », dit-elle. Si elle sort de cette aventure grandie, elle ne revient pas non plus les mains vides ! Présenté au concours, le New Grove Rum 5 ans, un incontournable de Grays, a en effet décroché la Grande Médaille d’or dans la catégorie des rhums de mélasse et aussi obtenu la mention « Révélation ». Une fierté pour l’entreprise !

En 2021, le Mahogany Shopping Promenade ouvrait ses portes… Trois ans plus tard et quelque 230 000 visiteurs mensuels, le centre ne cesse de trouver des moyens de s’améliorer… Une démarche qui passe aussi par une sélection culinaire variée ! Davina Abel, Communications & Marketing Coordinator du Mahogany, nous dévoile les dernières adresses gourmandes du centre.

Ces dernières semaines ont été riches en nouveautés ! En effet, l’offre culinaire du Mahogany Shopping Promenade s’est étoffée avec l’arrivée de deux nouvelles enseignes réputées : Sushi Park et Burgery. La première, qui a pris ses quartiers en tant que restaurant, est déjà présente dans le centre de l’île. « Les amoureux de sushis trouveront enfin leur bonheur au Mahogany ! », plaisante Davina.

En effet, il s’agit de la première adresse du centre à proposer ces mets en vogue. « Le restaurant ne se cantonne pas aux sushis mais propose une offre variée de plats asiatiques », continue-t-elle. Ramen, barbecue coréen, gyozas… Sushi Park ne manque pas de créativité pour un voyage express en Asie, une évasion portée par les magnifiques fresques exposées dans la salle.

Parallèlement, le food-court a lui aussi connu une nouvelle addition avec l’arrivée de Burgery. « On y trouve une offre complète, avec des burgers au bœuf, à l’agneau et au poulet faits maison, et de délicieuses éditions spéciales… », confie Davina. Ces dernières sont alléchantes : burger façon chimichurri, au bœuf wagyu, à la truffe, ou encore au bleu… La marque ne s’arrête pas là et propose aussi des quesadillas, des wraps, des salades, du poulet grillé et des plats végétariens !

« Nous avons déjà une belle panoplie d’adresses et nous misons sur une certaine diversité pour pouvoir répondre aux envies de tous nos visiteurs », dit-elle. Une offre qui devrait d’ailleurs continuer à s’enrichir dans les mois à venir… Restez connectés pour plus d’informations !

Coordonnée par Cap Business Océan Indien, une étude carbone a été lancée en juin 2024 chez Terra avec l’aide de Carbone Ingénierie, expert en efficacité énergétique. Suivant différentes étapes, le but est, pour le groupe, de réduire au maximum son empreinte carbone et son impact sur l’environnement.

Le 25 juin 2024, commençait une nouvelle aventure pour Terra : une étude carbone faite en partenariat avec Carbone Ingénierie, sous l’égide de Cap Business Océan Indien – une initiative qui touche toutes les entités du groupe, sauf Terragen, chez qui ces bilans sont réglementaires et organisés avec Albioma, producteur français d’énergies renouvelables. « Notre objectif est de déterminer où nous pouvons nous améliorer et quelles sont les actions que nous pouvons mettre en place sur le long terme », commente Guillaume Noisette, Health, Safety and Sustainability Manager d’Agriterra.

Essentielle, cette étude s’est faite en plusieurs étapes et devrait prendre fin en décembre 2024. Elle a débuté par une collecte de données se concentrant sur les opérations génératrices de CO2 au sein du groupe. Les données recueillies ont ensuite été interprétées et validées par les experts de Carbone Ingénierie. « Pour consolider ce travail, nous avons désigné deux Sustainability Champions par entité pour coordonner l’étude et, par la suite, les actions prises dans chaque cluster », poursuit-il.

L’empreinte carbone du groupe obtenu, les parties prenantes de ce projet se sont réunies autour d’un workshop le 11 octobre 2024 pour présenter les chiffres obtenus aux cadres supérieurs de Terra et réfléchir sur les axes principaux à développer pour un impact moindre sur l’environnement. Le 4 décembre se tiendra un deuxième workshop, cette fois pour dégager les actions à mettre en place et les valider.

« Nous sommes convaincus de la nécessité de ce changement : il s’agit réellement d’un investissement sur le long terme », dit Guillaume. En effet, si les premières actions devraient être mises en place dès 2025, cette démarche s’étalera, quant à elle, sur de nombreuses années. Parmi les initiatives déjà lancées, la formation des Sustainability Champions – un moyen de mesurer en interne l’impact environnemental des opérations du groupe et s’inscrire dans la durabilité.

Renouvelé tous les ans, ce bilan correspond à l’Objectif de Développement Durable 13, qui touche aux mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques et qui fait aussi partie de la stratégie de Terra. « Nos valeurs trouvent un écho dans cette démarche, qu’il s’agisse du respect de l’environnement ou encore de l’innovation qu’une telle initiative requiert », conclut Guillaume.

Depuis sa création en 2015, le centre de formation du groupe opérant au sein de Terra Services Ltd, n’a eu de cesse d’offrir des formations variées aux entités du groupe. Son ambition : favoriser l’épanouissement personnel et améliorer l’efficacité des collaborateurs grâce à un apprentissage continu. À la tête de cette mission, deux femmes passionnées par leur métier : Isabelle Grenouille, Manager du centre, et Morghana Oothendee, sa collaboratrice, qui a récemment intégré l’équipe.

Le centre de formation joue un rôle crucial car il répond aux besoins spécifiques des entités de Terra, visant à offrir des formations entièrement personnalisées. « Nos programmes sont conçus sur mesure pour s’adapter aux exigences et objectifs fixés par les entités et leurs collaborateurs », explique Morghana. Hormis la qualité des prestations et l’efficience du service, la réduction des coûts et l’optimisation des remboursements liés aux projets de formation figurent aussi parmi les priorités du centre.

Pour Isabelle et Morghana, l’excellence opérationnelle, le souci du détail et la satisfaction des clients sont des priorités absolues. « Nous nous efforçons constamment de donner le meilleur de nous-mêmes pour assurer la satisfaction de nos clients, et ce malgré des défis tels que les demandes de dernière minute et les délais serrés, ou encore les changements constants des réglementations des autorités. Quoi qu’il arrive, nous ne cessons de nous surpasser dans l’intérêt de nos clients », confient-elles.

Développer les talents, accroître la productivité, promouvoir le bien-être des collaborateurs, renforcer les compétences en leadership, ou encore se former aux dernières tendances en matière de durabilité et d’écologie… Les objectifs du centre sont multiples ! « Ces projets sont très importants car ils créent aussi des opportunités de réseautage au sein de groupe », souligne Isabelle.

Leur quotidien est donc bien chargé ! « Nous conseillons et accompagnons nos clients tout au long de leur projet, en veillant à leur proposer la meilleure formule – une solution adaptée à leur budget et qui correspond parfaitement à leurs objectifs d’apprentissage », poursuit-elle. Grâce à ce travail rigoureux, le centre propose diverses solutions innovantes, tout en gardant le développement de l’humain au cœur de ses activités.

En 2024, le centre a offert une large gamme de services, incluant des programmes de leadership en partenariat avec la Charles Telfair Leadership Academy, ainsi que la coorganisation d’une conférence animée par le double champion olympique David Douillet, un format inspirant pour apprendre les méthodes de motivation, d’excellence et de dépassement de soi ! Des formations plus techniques, dans le domaine de l’œnologie, ont également été proposées, attirant tant les clients internes qu’une sélection de clients externes. La particularité de ces formations est qu’elles sont reconnues mondialement et mènent à l’obtention de diplômes internationaux délivrés par la Wines & Spirits Education Trust.

D’autres formations techniques offertes aux opérateurs ont été coanimées par un formateur interne, mettant en lumière les talents des employés de Terra. Cette initiative soutient la vision du CEO de Terra, qui encourage la formation dispensée par les propres formateurs du groupe, permettant ainsi des économies substantielles tout en valorisant les talents internes.

E-learning, coaching, séminaires résidentiels et ateliers sur l’engagement des employés font partie des projets proposés cette année. Isabelle et Morghana ont également organisé de nombreux programmes, dont certains destinés à améliorer le bien-être des employés, notamment ceux introduisant l’Employee Value Proposition chez Agriterra, des formations en santé et sécurité, ou encore un atelier sur la culture d’entreprise du pôle cannier intitulé « Culture in Motion ». Un palmarès bien rempli ! Quelle est la clé de leur succès ? « Nous restons à l’écoute de nos clients, anticipons chaque étape de leur projet et veillons à offrir une expérience fluide et sur mesure – un travail rendu possible par un travail d’équipe ayant comme fondations le respect mutuel, le partage et la confiance », explique Isabelle.

« Nous nous adaptons à tous les publics cibles et demeurons un partenaire stratégique pour renforcer l’identité de ‘learning organisation’, pilier de la culture d’entreprise de certaines filiales du groupe, dont Grays, Novaterra et Agriterra », concluent-elles. Après une année aussi productive, il nous tarde de découvrir les projets déjà en gestation que nous réserve Terra Services Ltd pour 2025 !

Le vendredi 13 septembre, Beau Plan a organisé une soirée exceptionnelle à L’Aventure du Sucre, pour rendre hommage à la résilience des Mauriciens et à la mobilisation au Creative Park de Beau Plan, face à la catastrophe écologique du MV Wakashio. À cette occasion, le public a pu assister à la projection du court-métrage « Pie Dan Lo », réalisé par l’artiste plasticienne Kim Yip Tong et Gao Shan Animation Studio.

Soutenu par Beau Plan, L’Aventure du Sucre, Creative Park Beau Plan, Attitude Hotels et l’Institut Français de Maurice, cet événement a mis en lumière la mobilisation exceptionnelle de milliers de volontaires, qui ont fabriqué des « booms » artisanaux pour protéger les écosystèmes marins. Après la projection, l’ambassadeur de l’Union européenne, S.E.M. Oskar Benedikt, a souligné l’importance de la préparation pour pouvoir intervenir s’il y a des futures catastrophes similaires.

Edwige Gufflet, Directrice de l’Aventure du Sucre souligne que le magnifique film d’animation de Kim Yip Tong est l’occasion de se rappeler le désastre environnemental créé par l’échouage du Wakashio mais aussi formidable mouvement de solidarité nationale, notamment à Beau Plan où a été monté dans l’urgence une véritable usine à ciel ouvert pour fabriquer des bouées de fortune – de gigantesques boudins remplis de bagasse – pour aider à contenir le pétrole, avec l’aide des équipes de l’Aventure du Sucre, de Terra, d’Attitude et de milliers de participants venus de toute l’île. Les ateliers consistaient au tri bouteilles pour faire flotter les boudins, à la couture des tissus et leur remplissage avec la bagasse et les bouteilles, au contrôle qualité, à l’enlèvement des boudins validés (quatre personnes étaient nécessaires pour soulever chaque boudin) et leur stockage, puis leur déplacement à nouveau dès que les camions arrivaient.

Juliette Deloustal, Sustainability Manager d’Attitude précise qu’il a semblé évident pour son groupe d’agir aux côtés de Terra. En effet, à ce moment-là, les 9 hôtels ont déployé des équipes sur place pour faciliter la mise en place de tout le processus sur ce site. En plus de la bonne marche des ateliers de production sur place, il fallait aussi jongler entre les livraisons de bouteilles d’eau, de géotextiles, de tissus et de fils, ainsi que les camions pour livrer les boudins « au front », auprès de l’ONG Eco-Sud. Elle ajoute que cette catastrophe a mis en lumière le meilleur de chacun en montrant une capacité à agir pour protéger ce qui nous est cher. Le naufrage du Wakashio a été un douloureux rappel de la fragilité de notre environnement. Cependant, la réponse des Mauriciens a été un éclat d’espoir.

Emeric Vigier de Latour, Communications Manager de Terra, fait ressortir que la catastrophe du MV Wakashio a révélé la capacité d’union et la force exceptionnelles des habitants de l’île face à l’adversité. « Ce désastre écologique nous a rappelé l’importance cruciale de notre lien avec l’environnement et de sa protection. La soirée du 13 septembre, marquée par la projection de ‘Pie Dan Lo’, a été une opportunité de revivre cet élan collectif. C’est un honneur pour nous, à Beau Plan et au sein du groupe Terra, d’avoir pu soutenir cette initiative qui met en avant la résilience de notre nation et l’engagement de milliers de volontaires pour la préservation de nos côtes. Avec nos partenaires, nous avons prouvé que l’action communautaire et la collaboration peuvent réellement faire la différence dans la protection de notre patrimoine naturel. »

Cette soirée a ainsi rendu hommage à la solidarité des Mauriciens dans leur engagement pour la protection de l’environnement. Pour rappel, l’initiative lancée par Terra en 2020 a mobilisé plus de 2500 volontaires qui ont contribué à la création de plus de 12 km de « babas » flottants. Plus de 45 organisations ont pris part à cette action, parmi lesquelles :
Terra Group (L’Aventure du Sucre, Grays Inc., Terragen, Agriterra, Novaterra et la Smart City de Beau Plan), Attitude Hotels, Akoe Events, Aremo Mauritius, Aspen, By Agathe Bess, CFH Manufacturer & Wholesaler, Compagnie Sucrière de Saint Antoine, Domaine de Labourdonnais, Espace Maison, Espace Marin, Evaco Group, Event by Bedouin, FTL, General Construction, Grand Baie La Croisette, Green Impact, Habitas Contracting, Hobby Word, IBL Group (Healthactiv & IBL Life), Island Brush, Ki Pou Cuit, La Clef des Champs, Le Square Beauté, Le Studio Dancing School, Meetyourjob.com, MU Sail Maker, Mediatiz, Mr Bricolage, Oxenham, Patrick Mavros, Phoenix Beverages Ltd, Price Guru, PWC Mauritius, Quality Beverages, Rhem Grinaker, Rotary Rivière du Rempart, Stena Lines, Sotracom, Super U, Transinvest Construction, Woolworths, Brick Hardware Ltd, Wheel & Barrow Ltd et SmarTraveller.mu.

De plus, Terragen, la centrale thermique du groupe Terra, a joué un rôle clé en fournissant près de 30 tonnes de paille de canne, un matériau essentiel dans la fabrication des « booms ». L’implication des habitants des villages environnants, ainsi que des citoyens venus de tout le pays, a marqué un moment fort de solidarité et d’engagement pour la protection de nos côtes.

Pie Dan Lo

Le film Pie Dan Lo, réalisé par Kim Yip Tong, est né d’une collaboration créative entre Maurice et La Réunion. À la croisée entre documentaire d’animation et film d’art, il retrace le traumatisme des habitants de la côte et de l’île entière, mobilisés pour tenter de sauver le lagon, tout en mettant en lumière la puissance unificatrice qui a émergé pour faire face à ce drame. Présenté au Festival international du film d’animation d’Annecy en juin dernier, Pie Dan Lo a reçu une reconnaissance internationale pour son approche unique et son impact émotionnel.

En août dernier, les cadres d’Agriterra se retrouvaient autour de trois workshops animés par trois intervenants du National Productivity and Competitiveness Council (NPCC). L’objectif : rappeler et faire vivre les valeurs de l’entité. Cette série d’ateliers a culminé, le 20 septembre 2024, par l’organisation d’un événement plutôt insolite : le Festival de Kann. Retour sur ce moment de partage avec Rudy Larose, HR Manager du Cane Cluster.

De 2016 à 2019, Agriterra – alors Terragri et Terra Milling – a connu une période charnière de son histoire. Suite à de nombreuses restructurations, des départs et des arrivées, l’entité revoit son approche et décide en 2020, avec l’aide du NPCC, de penser sa culture et ses valeurs. En août 2024, le département des ressources humaines en remet une couche avec l’organisation de « Culture in Motion ».

Cette initiative fait suite au dernier engagement survey qui a eu lieu en mai 2024. Organisé tous les six mois, ce dernier permet d’évaluer à quel point les équipes sont imprégnées par la culture d’entreprise. « Quatre ans ont passé, de nouvelles recrues ont rejoint nos rangs, et nous avons réalisé qu’il était enfin temps de faire une piqûre de rappel concernant les valeurs d’Agriterra », continue-t-il.

Sous la houlette de Françoise Maréchal-Charlotte, Padmini Busgeet et Thierry Maréchal, facilitateurs du NPCC, trois sessions de trois heures chacune ont rassemblé 80 cadres d’Agriterra. Le 20 septembre, les participants se sont retrouvés pour le Festival de Kann, un événement de partage et de célébration. Répartis en 10 équipes de huit personnes, ceux-ci ont dû présenter un petit film – sous forme de sketch, de chanson, ou même de danse – retranscrivant de façon créative leur compréhension des valeurs de l’entité, mais aussi leur façon de les vivre.

Petit clin d’œil au célèbre Festival de Cannes, il s’agissait surtout de mettre à l’honneur les valeurs – Festival – et l’identité propre de l’entité – Kann. « Les équipes ont mis beaucoup d’énergie dans ce travail et c’était touchant de voir à quel point ils vivent et font vivre les valeurs d’Agriterra, à quel point ils croient en ce qu’ils font », ajoute Rudy. Au-delà de célébrer la culture de l’entité, l’idée était aussi de se rassembler, de partager et de créer quelque chose tous ensemble. « Nous avons mûrement réfléchi à la constitution des équipes, et décidé de mélanger les anciens et les nouveaux, les hommes et les femmes, ceux qui travaillent à l’usine, aux champs et dans les bureaux administratifs, ceux qui ne se côtoient pas forcément… », confie-t-il.

Tous s’accordent à dire que cette journée de partage a été un succès. Elle a été d’autant plus émouvante puisqu’il s’agissait du dernier événement coordonné par Rudy, qui a quitté Agriterra fin septembre 2024 pour de nouveaux horizons. « Ce festival a été un réel cadeau pour les collaborateurs, mais aussi pour moi. Je suis très fier d’avoir appartenu à Agriterra et très ému par la vision que j’en ai : celle d’un futur florissant, que ce soit par rapport à la culture d’entreprise, à la valeur qui est accordée aux collaborateurs, ou encore à cette atmosphère si bienveillante et encourageante », conclut Rudy.

Pas de répit pour la centrale thermique ! Fonctionnant tout au long de l’année, celle-ci nécessite continuellement des équipes sur le qui-vive pour parer à tout problème. Au cœur des opérations se trouve la salle de contrôle, l’un des rouages les plus importants de la grande machine Terragen. Rencontre avec Thierry Coco, chef de bloc à la centrale depuis 25 ans.

La salle de contrôle – ou de commande – représente l’un des centres névralgiques de la centrale. Composée de huit écrans, elle nécessite en permanence la présence d’un chef de bloc pour s’assurer du bon fonctionnement de la centrale. « Ces écrans sont liés aux équipements extérieurs qui envoient un feedback constant, comme, par exemple, les variations de pression dans les chaudières et les turbines, ou encore les températures. Il s’agit de courbes que nous devons continuellement surveiller », explique Thierry.

Outre ce travail de surveillance, il faut aussi répondre aux demandes extérieures. « Lorsque le CEB nous contacte pour nous demander davantage d’électricité, nous nous occupons par exemple d’augmenter la charge pour produire la quantité de kilowattheures attendus », ajoute-t-il. Parallèlement, le chef de bloc doit être en communication constante avec la sucrerie. « Cette dernière dépend aussi de notre production de vapeur. Nous nous assurons ainsi de répondre à ses besoins, mais aussi que tout y fonctionne comme il faut », dit-il.

Un métier qui n’est pas de tout repos puisque le chef de bloc est le seul opérateur présent dans la salle de contrôle et ce durant douze heures d’affilée ! « Bien que le système soit automatisé, il faut toujours être à l’affût des problèmes. Il faut en effet réagir très vite et prendre les bonnes décisions au bon moment », confie Thierry. Si ce travail peut être stressant, Thierry s’est, depuis 25 ans, fait la main ! Ce qu’il préfère ? Chercher des solutions, analyser les données et anticiper les problèmes avant qu’ils n’arrivent !

Chez Grays, les mois se succèdent et ne se ressemblent pas ! Jamais à court d’inspiration, l’entreprise n’a de cesse de proposer à ses clients des événements uniques pour les remercier de leur soutien infaillible. Zoom sur les différents rendez-vous qui ont émaillé le mois de septembre et qui promettent d’animer comme il se doit la fin de l’année.

Un mois de septembre trépidant

Le mois de septembre a démarré en fanfare avec l’Electronic Market de Beau Plan qui s’est tenu au restaurant 1890 le 14 septembre 2024. Sponsorisé en partie par 20/Vin, ce marché insolite a réuni de nombreux visiteurs autour de stands d’artisanat local et de live bands de 11 h à 20 h. Le but : promouvoir la culture et l’art made in Moris !

Le 21 septembre a été quant à lui sportif avec la première édition du 20/Vin VIP Golf Day à Mont Choisy Le Golf. Pensée spécialement pour le plaisir des clients VIP de Grays, c’est une journée pleine de surprises qui a été proposée à ces derniers, avec de fabuleux cadeaux à la clé : deux billets en Afrique du sud incluant le logement et un golf day, un séjour tout compris de deux nuits à l’hôtel Le Paradis ou encore des bons de Rs 25 000 à dépenser chez Engen… Une chose est sûre : Grays sait récompenser la fidélité de ses clients !

Le mois de septembre s’est ensuite clos, le 25 septembre, avec le Heritage Day à La Cantine de Beau Plan. De 17h30 à 21 h, les aficionados de vin ont pu rencontrer Samuel Viljoen, un vigneron de Nederburg, tout en dégustant les différentes gammes du vignoble et en se restaurant aux délicieux buffets mauricien et sud-africains proposés par le restaurant. Célébrer la diversité culturelle tout en se faisant plaisir, c’est possible !

Quid du mois d’octobre ?

Les festivités ne s’arrêtent pas là puisque le mois à venir promet d’être tout aussi chargé pour les clients de 20/Vin ! Les trois premiers jours d’octobre seront en effet marqués par des dîners avec accords mets et vins proposés par les vignerons d’Uva Mira dans des endroits exclusifs comme le Sands Resort & Spa de Flic-en-Flac ou encore le Lux de Grand-Gaube.

Pas le temps de se poser ! Le 5 octobre, rendez-vous au Gourmet Experience à L’Aventure du Sucre, où Grays sera présent sur tous les bars. De nouveaux dîners avec accords mets et vins proposés par des vignerons partenaires de 20/Vin se tiendront entre le 16 et le 21 octobre.

Parallèlement, les 18, 19 et 20 octobre auront lieu deux Master Class sur le Groove Boat, un énorme catamaran de deux étages doté d’un bar, d’un restaurant et d’une piste de danse. Le 18 et le 20, vingt amateurs de vin pourront rencontrer un vigneron de Plaisir de Merle pour un moment de partage sans pareil. Le 19, c’est un dîner avec accords mets et vins orchestré par Groove Boat, mettant en avant Plaisir de Merle, et Pierre Chomet, connu pour avoir travaillé auprès d’Éric Fréchon au Bristol Paris, un restaurant triplement étoilé, qui réunira 60 personnes pour une soirée inoubliable.

Si les événements de la fin d’année ne sont pas encore dévoilés, ils promettent pourtant d’être festifs, comme l’atteste le pique-nique Veuve Clicquot qui rassemblera le 2 novembre 150 clients 20/Vin pour une journée tout en bulles. Restez branchés pour en savoir plus !

Située le long d’une route arborée, à deux pas du Mahogany, du parc urbain et des services de Beau Plan, Mango Village a tout pour faire rêver ! Avec deux phases terminées et déjà vendues, Novaterra met les bouchées doubles pour la troisième et dernière phase de son beau projet résidentiel. Le point avec Julie Merle, Sales & Leasing Executive à Novaterra.

Mango Village est l’un des projets phares de Beau Plan : lancé en juin 2019, il promet une vie connectée et agréable au centre d’une région dynamique du nord. Commercialisée fin 2022, la phase 2 de Mango Village est terminée avec les livraisons qui ont eu lieu courant août et septembre. « Nous sommes très fiers de ce projet. Pour le terminer en beauté, nous lançons la commercialisation de sa dernière phase en octobre», explique Julie.

Ce sont donc 33 nouvelles unités – dont 6 duplex, 18 appartements de trois chambres et 9 appartements de deux chambres – qui mettront un point final à ce projet de longue haleine. « Nous prévoyons d’entamer la construction de cette phase mi-2025 », ajoute-t-elle. Pour les équipes de Novaterra, pas question de se reposer sur ses lauriers ! « Il s’agit pour nous de la plus belle phase du projet puisque nous y avons ajouté quelques petites nouveautés », souligne Julie.

Parmi celles-ci : la construction d’une piscine commune avec un kiosque pour des moments de détente sans pareil ! « Toutes les unités de la phase 3 regarderont vers le nord, ce qui offrira aux résidents une magnifique vue sur le grand jardin commun et l’allée de manguiers », dit-elle.

« Nous avons misé sur un lifestyle quelque peu différent, mais toujours aligné à ce que nous avons fait auparavant », continue Julie. L’emplacement des unités se distinguera par exemple par sa disposition en demi-cercle, et donc moins linéaire. Si le succès des deux premières phases parle de lui-même, il nous tarde de voir la dernière version twistée de ce projet !