Friday, May 9, 2025 15:45:00

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Christopher Park, Group Human Resource Manager, nous explique les éléments marquants de ce rapport.

Quels sont les grands changements à retenir du Sustainability Report de Terra ?

Il y en a tellement ! En particulier depuis que chacune des entités du groupe est responsable de ses actions en faveur du développement durable. C’est donc, d’une part, l’esprit d’initiative qui brille à travers tous les pôles, et que je félicite. D’autre part nous avons, pour ce nouveau rapport, repensé certains de nos indicateurs de performance pour qu’ils reflètent un progrès qualitatif plutôt que quantitatif.

Parlez-nous de la philosophie qui guide les actions du groupe.

Guidés par les Objectifs de développement durable des Nations unies (ODD – plus connus sous le nom de “SDG”, Sustainable Development Goals, à Maurice), nous veillons, entre autres, à une urbanisation durable et résiliente de la région, à mener des actions fortes pour combattre le changement climatique et à être acteurs d’une économie inclusive en offrant à nos collaborateurs un cadre de travail agréable et sécurisant.

Place à l’économie circulaire ou aux énergies renouvelables ?

Place à l’économie circulaire et aux énergies renouvelables. Car grâce à nos activités, ces notions se rejoignent ! L’un des atouts phares du groupe Terra est notre utilisation maximale des produits de la canne entre nos différents pôles – de la production de sucre à celle d’énergie verte.

Une année riche pour le groupe et ses entités qui travaillent en bonne intelligence pour un développement vertueux.

À Terra, le progrès est un axe de développement clé. Zoom sur nos opérations de diversification avec Sébastien Mamet, General Manager (Agriculture) de Belle Vue.

« L’activité principale de Terra est la canne. Elle prend 95 % de nos ressources », explique Sébastien Mamet. Pourtant, la diversification a toujours existé en filigrane dans les opérations du groupe. La culture de légumes – principalement de pomme de terre et d’oignon, mais aussi de pistache, de giraumon, de melon d’eau et de carotte – s’y fait d’ailleurs depuis plusieurs années.

« Nous nous sommes lancés dans la culture vivrière pour participer à l’effort lancé pour assurer l’autosuffisance du pays », dit-il. Cette initiative se montre rapidement profitable : aujourd’hui, près de 100 hectares sont dédiés, chaque année, à la culture de légumes. « Notre objectif est de continuer sur cette lancée en misant sur une légère progression annuelle ».

Au-delà de cette activité, Terra se démarque aussi par sa capacité à innover et se lancer de nouveaux défis. La noix de macadamia, dont la popularité ne cesse de croître à l’international, représente l’une des dernières initiatives lancées par la Chambre d’Agriculture. Terra s’y essaie donc aussi : en 2020, 624 arbres sont plantés sur 2 hectares. « Nous sommes encore en phase expérimentale et attendons la récolte prévue dans trois ans pour voir si nous allons poursuivre en ce sens », partage Sébastien. L’idée : pouvoir se positionner face à des acteurs mondiaux comme, par exemple, l’Afrique du Sud. « Si les données agronomiques sont satisfaisantes, nous investirons dans les usines et les champs pour augmenter notre production », continue-t-il.

Fidèle à ses engagements en matière de responsabilité et de durabilité, Terra s’efforce aussi d’explorer d’autres pistes pour produire de l’énergie verte, notamment avec ses nouvelles plantations d’eucalyptus. Ces arbres, connus pour leur croissance rapide, ne demandent que peu d’eau, d’engrais et autres soins. Une solution donc économique, mais aussi écoresponsable. « Nous attendons encore que le gouvernement finalise le “Biomass Framework”, qui viendra structurer cette électricité verte et y mettre un prix », explique Sébastien. Une fois le feu vert donné et les arbres arrivés à maturité, le bois pourra être récolté et transformé en pellets qui seront ensuite acheminés à la centrale thermique pour y faire de l’électricité.

Une chose est sûre : le groupe ne compte pas s’arrêter de progresser et d’innover. « Notre stratégie sur le long terme est de poursuivre la culture de légumes et notre participation à l’autosuffisance alimentaire du pays, mais aussi de continuer à explorer de nouveaux produits agricoles… Pourquoi pas le cannabis médical si les études sont favorables ? », conclut Sébastien.

La fin 2022 s’est annoncée pleine de surprises ! Parmi celles-ci, l’obtention de la certification vegan Beveg pour les sucres produits par Terra garantit que ces derniers ne possèdent pas d’ingrédients animaux et qu’ils sont produits sans cruauté. Cette initiative, enclenchée en octobre par Terra en collaboration avec le Mauritius Sugar Syndicate, marque le début d’une nouvelle aventure. Didier Ramsamy, Factory Manager à Terra Milling, nous en dit plus.

La réputation BeVeg n’est plus à faire. Leader en matière de certification vegan, cette dernière touche à de nombreux domaines et marques, allant des denrées alimentaires aux produits de soins personnels, en passant par le textile et la mode, ainsi que les compléments alimentaires. Accréditée ISO/IEC 17065, cette certification possède un programme d’évaluation de la conformité répondant aux critères ISO 17067. La garantie, donc, d’un produit fiable et de qualité supérieure.

« Avec cette nouvelle certification, nous voyons bien que le Mauritius Sugar Syndicate et Terra Milling sont conscients de l’évolution de la demande de nos consommateurs », confie Didier. En effet, les régimes végétariens, végétaliens et même flexitariens connaissent, depuis quelques années, un essor considérable. « Il est plus important que jamais de pouvoir faire confiance aux produits qui ont suivi des étapes rigoureuses avant d’être certifiés de manière officielle », poursuit-il.

« Avec le trademark de BeVeg sur le sucre de Terra, les consommateurs sont assurés que le produit est réellement vegan, s’appuyant sur la crédibilité et l’intégrité d’un audit de tierce partie », ajoute Carissa Kranz, CEO de BeVeg. Car ne devient pas certifié BeVeg qui le veut ! Il faut en effet passer au crible chaque produit pour être sûr qu’il réponde bien aux critères exigés par la certification.

« Ce processus en cinq étapes permet de vérifier que notre sucre ne contient aucun ingrédient, sous-produit ou OGM d’origine animale utilisés dans la fabrication et l’approvisionnement en ingrédients du produit fini », explique Didier. Cette évaluation a aussi servi à s’assurer que le produit venait d’une usine de fabrication auditée pour confirmer que des contrôles appropriés y avaient été mis en place – y compris la prévention de la contamination.

Parallèlement, il s’agissait aussi de confirmer qu’aucun test sur les animaux n’avait été effectué et que le produit était considéré comme fabriqué sans cruauté. Tout un programme ! « Grâce à nos certifications courantes et avec la collaboration du Mauritius Sugar Syndicate, la certification BeVeg est en ligne avec les pratiques de qualité déjà en place chez nous », conclut Didier. Une nouvelle corde à l’arc de Terra Milling pour bien commencer 2023 !

Après deux ans de construction, l’attente est enfin terminée ! La première phase de Mango Village touche à sa fin et les heureux propriétaires ont pu récupérer leurs clés fin octobre.

Pour lancer les ventes de la phase 2, deux jours  d’Open House ont été organisés par

Novaterra en novembre pour offrir aux intéressés un aperçu du style Mango. Julie Merle, Sales Executive, et Léane Merle, Sales & Leasing Executive chez Novaterra, nous en disent plus.

Le 26 octobre, la livraison des 26 premières unités de Mango Village – 18 appartements et 8 duplex – a débuté, à la grande joie des acheteurs comme des promoteurs. « C’est une grande fierté de voir ce projet sortir de terre et de voir la satisfaction de nos clients », dit Julie. Pour marquer le lancement de la phase 2, deux unités témoins ont été mises à la disposition de Novaterra par leurs propriétaires pour deux jours d’Open Day les 18 et 19 novembre.

« Nous avons été agréablement surpris par le nombre de personnes qui sont venues, ainsi que par le retour positif des visites », explique Léane. Ces dernières, qui se faisaient sur réservation, ont compté près de 150 personnes. Finitions, agencement de l’espace, décoration… Les visiteurs ont vite été séduits par le projet ! « Nous comptons déjà 50 % de réservations pour la phase 2 », ajoute Julie.

En effet, le projet a un emplacement stratégique qui plaît aux familles comme aux jeunes retraités.« Ces personnes sont en quête de sécurité, d’un esprit de communauté sans être enfermé dans un morcellement, d’une vie connectée, avec les écoles et commerces à proximité », explique Léane. Des conditions que remplit amplement Mango Village. « Il y a aussi un climat particulier à Beau Plan et nos unités ont été conçues pour qu’il fasse bon y vivre, même en été, dans un paysage urbain avec une petite touche campagnarde », souligne Julie.

Si la présentation du projet et l’enclenchement des ventes pour la phase 2 étaient les objectifs premiers de ces deux journées, elles ont aussi ouvert la voie à d’autres idées. « Rencontrer nos clients a permis de lancer des discussions par rapport à leurs attentes quant à la région de Beau Plan et de nombreux projets pourraient fleurir de ce partage », dit Léane. Une nouvelle qui augure des années créatives et riches en développement !

En novembre, la famille Seven Seas s’agrandit avec l’arrivée de son petit dernier, Mokoko. Fidèle à la philosophie de Grays depuis 1931, c’est l’île Maurice dans toute sa splendeur que vient célébrer cette nouvelle liqueur. Lancée le 16 novembre 2022 à l’île des Deux Cocos, elle laisse présager une fin d’année pour le moins exotique !

Cette fin d’année promet d’être festive ! Pour célébrer ce retour à la normale après deux ans de crise sanitaire, Grays a décidé de lancer un produit plutôt original : une liqueur de coco à base de canne. À l’image de ce « nom gâté » bien local, Mokoko se définit par sa douceur et ses accents marqués de coco, l’un des fruits emblématiques de nos paysages côtiers. Avec seulement 21 % d’alcool, il laisse imaginer des cocktails légers et savoureux aux couleurs de notre île.

« Mokoko donne vie à des décennies de savoir-faire et vient à point nommé après ces deux années car c’est un produit qui invite au partage et au plaisir », explique Alexis Harel, Managing Director de Grays. Bien plus qu’une liqueur, Mokoko vient, selon ce dernier, passer un message important. « Nous avons de quoi être fiers de notre magnifique île. Profitons de cela et vivons l’instant présent ! », poursuit-il.

En effet, au-delà d’une recette à la touche purement mauricienne, Mokoko vient, dans sa présentation, célébrer chaque facette de l’île. Sur sa bouteille d’un blanc opaque se dessinent à l’encre bleue mille symboles et emblèmes mauriciens. Baleine, paille-en-queue, crécerelle ou encore Coin de Mire… Mokoko est un canevas où dialoguent passé et présent dans la plus douce poésie.  « Notre bouteille rend hommage à tout ce que nous aimons de Maurice », explique Eliska Botha, Marketing Manager chez Grays.

Ce produit s’inscrit aussi dans la lignée de valeurs responsables. « Notre bouteille, avec son bouchon en liège, a été conçue pour être réutilisable, par exemple comme carafe originale pour servir de l’eau », ajoute Eliska. Son goût inimitable en fait aussi, comme le confie David Céleste, Brand Ambassador chez Grays et ancien Bartender, la petite touche idéale pour les meilleures pâtisseries. « La liqueur Mokoko ne manque jamais de sublimer toute confection », se confie-t-il.

De quoi terminer l’année en douceur !

Alors que l’année 2022 touche à sa fin, Terra Foundation collectionne les projets feel-good. En effet, ses deux nouvelles initiatives, « Anou Al Penn » et « Anou Al Plante », ont non seulement connu un bel engouement parmi les collaborateurs du groupe, mais ont permis d’améliorer le quotidien de nombreuses personnes. Zoom sur ces projets avec Marie Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation.

Le mois de novembre a été haut en couleur chez Terra Foundation ! Le 11, 46 personnes – dont 24 employés de Terra – se sont réunies pour mener à bien son opération « relooking » de la nouvelle école Autisme Maurice à Calodyne. « L’éducation et la santé sont deux des axes d’intervention de notre fondation. Nous parrainions déjà cette association et avons voulu l’aider à ouvrir une branche dans le nord », explique Marie Annick.

Le projet, qui a vu le jour il y a déjà 9 ans à Notre Dame, n’a jamais cessé de se développer. « Les enfants ont grandi et nous voulions en accueillir d’autres. Nous avions donc besoin d’un local plus grand », poursuit-elle. Vœu exaucé : grâce au don généreux d’une plus grande infrastructure par un bienfaiteur indépendant, la nouvelle école prend ses quartiers à Calodyne ! En partenariat avec une institution de l’île de La Réunion, elle permet aux enfants de devenir plus indépendants et de s’épanouir selon leurs aptitudes via des outils pensés spécialement pour eux.

Pour donner vie à ces locaux, Terra Foundation lance donc un appel aux collaborateurs de Terra à travers son initiative « Anou Al Penn ». Ils sont nombreux à se déplacer pour une journée de relooking intense, mais gratifiante. « Certains se sont attaqués aux salles de classe et aux murs externes tandis que d’autres, plus artistes, se sont penchés sur les logos et autres symboles de l’autisme. Les enfants autistes venus participer ont ensuite apposé leurs empreintes avec de la peinture sur l’un des murs externes », explique Marie-Annick.

Les participants sont unanimes. « Ils se sont tous accordés à dire qu’il était très émouvant de participer à ce projet, de pouvoir rencontrer les bénéficiaires et de les aider concrètement », dit-elle. Une initiative qui fait écho au projet « Anou Al Plante », aussi soutenu par Terra Foundation. En effet, le 25 novembre, 17 collaborateurs se sont réunis pour boiser la région de Beau Plan. L’objectif : augmenter la qualité de vie des résidents et visiteurs tout en développant les qualités de captation de CO2 de la région.

Depuis 2018, Terra a lancé des journées d’intégration à destination de ses nouveaux collaborateurs. Après une pause de deux ans en raison de la crise sanitaire, le groupe relance cette initiative, baptisée TerraTrip, avec un twist ! Retour sur cette journée de découverte et de partage.

Lancé en 2014 à Terra, le concept de journée d’intégration permet aux nouveaux collaborateurs d’avoir une vision d’ensemble des activités du groupe. « Nous nous réunissions dans une salle avec les General Manager des différents clusters pour présenter, à travers des diaporamas, les activités du groupe », explique Christopher Park, Group Human Resources Manager de Terra. Après deux ans de pause, c’est le 7 novembre 2022 que l’initiative, quelque peu changée, fait son retour.

« Au lieu de réunir tout le monde dans une salle, nous avons eu l’idée de faire une sorte de road trip en mini-bus dans chaque entité », continue Christopher. Après un rendez-vous matinal au Fangourin à l’Aventure du Sucre pour comprendre, à travers l’intervention de divers intervenants des ressources humaines, les enjeux du groupe, direction La Cantine de Beau Plan pour un thé avec Nicolas Maigrot, Managing Director du groupe, ainsi que Marie Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation, et Guillaume Noisette, Health & Safety Officer de Terra.

Les collaborateurs ont ensuite commencé leur grande tournée avec un premier arrêt à Grays. « L’idée était aussi que chaque General Manager de chaque entité fasse visiter leur cluster et explique ce qui y est fait », ajoute Christopher. Processus de distillation chez Grays, fabrication du sucre à Terra Milling, production d’électricité à Terragen… Cette aventure leur a permis d’apercevoir chaque recoin du groupe ! « Notre objectif premier était de renforcer le sentiment d’appartenance au groupe car nos activités sont aujourd’hui décentralisées mais nous n’en partageons pas moins une longue histoire et des valeurs communes », explique-t-il.

L’initiative, qui s’est étalée sur une journée, avec une pause déjeuner à la Maison Mauricia et une remise de cadeaux à la fin, a été un succès ! Pour Kelly Lee, Brand Coordinator chez Grays, cette journée d’intégration a non seulement été instructive, mais lui a aussi permis de réaliser l’ampleur du groupe. « Nous avons compris que tout était circulaire dans le groupe : la canne, qui y est l’activité principale, produit du sucre, de l’électricité, et bien d’autres choses ! », dit-elle. « Ce qui s’est dégagé de cette journée, c’est le sentiment de faire partie d’une grande famille », conclut-elle.

Même son de cloche chez Didier Ramsamy, Factory Manager chez Terra Milling depuis le 1er août 2022. « Cela a été très intéressant pour moi de rencontrer les personnes responsables et d’avoir l’occasion de voir notre Managing Director nous accueillir. On voit bien que l’attention et le souci du collaborateur sont au centre de la philosophie de Terra », explique-t-il.

Une journée riche en activités et en émotions !

Situé dans le Victoria Urban Terminal à Port-Louis, Bean to Cup, le nouveau coffee shop signé Grays, vient une nouvelle fois prouver à quel point l’entreprise sait faire preuve d’inventivité. Sheena Geega, Foods BU Manager chez Grays, dévoile ce nouveau chapitre qui a aussi permis de mettre sous les projecteurs l’un des produits phare de la compagnie : le café Jacobs.

Bien qu’il n’ait été lancé qu’au début du mois d’août, on pourrait croire que Bean to Cup a toujours existé au Victoria Urban Terminal tant il est devenu un incontournable de la station. Pour ce coffee shop résolument moderne, c’est en célébrant l’effervescence de la vie active qu’il accompagne au mieux les Mauriciens dans leur vie de tous les jours. « Notre concept est d’encourager le ‘grab and go’, que ce soit en allant au travail ou sur le chemin du retour », explique Sheena. Le choix d’installer le coffee shop dans une station de métro, symbole même du mouvement perpétuel, n’est donc pas anodin.

Particulièrement dynamique, Bean to Cup représente aussi une vitrine de choix pour le café Jacobs, marque de renommée internationale distribuée à Maurice par Grays. « Jacobs is confidence in every cup », plaisante Sheena. Son créateur, Johan Jacobs, n’avait-il pas d’ailleurs dit de son café, élaboré en 1895, qu’il avait « le pouvoir de remuer l’âme et de rendre chaque instant plus grand, meilleur et plus lumineux » ? De quoi démarrer la journée sous les meilleurs auspices !

Au-delà des produits proposés, c’est aussi un service d’une qualité irréprochable que Grays entend fournir. « Notre équipe a été triée sur le volet pour apporter fraîcheur et dynamisme à la franchise », ajoute Sheena. Résultat : le coffee shop connaît, depuis sa récente ouverture, un franc succès ! « Nous avons eu un retour très positif de la part de nos consommateurs, que ce soit sur l’offre de boissons chaudes et froides ou encore sur les pâtisseries proposées », poursuit-elle.

Un bilan encourageant qui ne fait que conforter l’équipe dans son ambition de procurer chaque jour du plaisir et de la douceur à sa clientèle. Le coffee shop ne compte pas s’arrêter là et promet de nombreuses surprises à venir. « Pour répondre au mieux aux envies de nos clients, nous avons par exemple décidé, pour la fin d’année, de créer de nouveaux menus spéciaux ! », confie Sheena. Un challenge stimulant que l’équipe se fait une joie de relever !

Depuis une dizaine d’années, Nilesh Ramsurn aiguise ses talents dans le secteur de la finance. Fraîchement arrivé à Terra Finance fin septembre, il endosse les rôles de Money Laundering Reporting Officer et de Compliance Officer, des postes qui promettent leur lot de challenges !

Baignant depuis jeune dans le monde de la finance, c’est après quelques stages en banque qu’il se lance dans un BSC en économie à Londres, puis un ACCA dans le privé à Maurice. Pour parfaire son savoir, il enchaîne les postes dans différentes sociétés touchant à des secteurs variés : banques, sociétés de leasing, assurances… « J’ai voulu progresser avec ces sociétés et continuer mon développement personnel dans le domaine de la conformité

», confie-t-il.

En quoi consiste le vaste travail de Money Laundering Reporting Officer et de Compliance Officer ? « Le Compliance Officer doit mettre en place un cadre de conformité pour différentes sociétés du groupe pour répondre aux exigences des régulateurs en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et pour la protection des données », explique-t-il. Ceci passe par l’identification et la gestion des risques, la mise en place de formations avec les différentes équipes et la vérification de l’identité des clients, leurs transactions ainsi que la provenance de leur fonds.

C’est aussi veiller au grain pour que les sociétés du groupe opèrent dans la légalité. « Une évaluation des contrôles en place pour mitiger les risques de non conformité doit régulièrement être soumise au conseil d’administration avec des recommandations telles que des actions correctives », ajoute-t-il. À cela s’ajoute son rôle de Money Laundering Reporting Officer qui requiert que toute transaction douteuse lui soit dirigée pour une analyse indépendante, et rapportée aux autorités si nécessaire.

Pour Nilesh, l’un des challenges les plus intéressants dans ce secteur est d’accompagner le progrès de ces sociétés avec des concepts novateurs. Terra représente donc une opportunité rêvée. « Terra a un potentiel de croissance fort et a su prendre des initiatives de développement intéressantes ces dernières années », poursuit-il. Pour ce passionné de finance, il n’en fallait pas plus ! Si l’environnement du groupe – notamment avec la Smart City qui se dessine – l’a fortement attiré, c’est surtout le relationnel qui le motive. « Dans mon travail, on en apprend tous les jours et je prends beaucoup de plaisir à échanger avec mes collègues ou autres pour voir comment améliorer certains aspects du secteur », dit-il.

Quand il n’est pas occupé au bureau, Nilesh se livre à une autre de ses grandes passions : le foot. S’il adore regarder des matchs en famille et avec ses amis, il aime par-dessus tout partager quelques heures sur le terrain avec ses proches. « J’apprécie particulièrement l’aspect social du foot : il me permet de voir mes proches, mais aussi de décompresser après le travail », conclut-il. De quoi conclure la semaine en beauté !

Depuis sa création, Terra Foundation a pour vocation d’engager et d’intégrer les communautés de la région. L’une de ses dernières initiatives : une formation de technicienne de maison lancée en collaboration avec Caritas Solitude de mai à juillet 2022. Retour sur cette démarche avec Marie Annick Auguste, CSR Manager chez Terra Foundation, et Sharonne Jaquette-Miner, HR Manager – Projects & Services à Terra.

Lancée en mai 2022, la formation de technicienne de maison a réuni 15 participantes pour une durée de 10 semaines. « Le but était de former les personnes sans emploi de la région pour des postes à pourvoir prochainement dans les développements de la Smart City de Beau Plan », explique Marie Annick. Nettoyage, blanchissage, repassage, alphabétisation, travail sur l’estime de soi, gestion du budget, puériculture, soins aux personnes âgées, premiers secours, éducation civique… Un programme bien chargé qui couvrait de nombreux sujets !

« Les participantes ont tellement apprécié les cours qu’elles ne voulaient plus partir ! », plaisante Marie Annick. Plus qu’un certificat de technicienne de maison, c’est tout un travail personnel qu’elles ont pu faire grâce à cette formation. « Dans leurs témoignages, les participantes ont d’ailleurs souligné à quel point celle-ci leur avait permis de retrouver leur estime de soi à travers l’écoute et l’accompagnement octroyé, mais aussi les amitiés tissées », poursuit-elle.

Au-delà de son aspect purement humain, l’initiative rencontre un franc succès puisque certaines participantes ont déjà été contactées par le département de ressources humaines de Terra et d’autres institutions alors que d’autres ont déjà été recrutées. « C’est, pour nous, une belle opportunité de pouvoir engager une personne compétente et formée par Terra Foundation », explique Sharonne. « Valoriser l’humain, choisir la rigueur et le professionnalisme en mettant l’accent sur l’égalité des chances sont des aspects qui correspondent vraiment à notre philosophie », continue-t-elle

Une démarche qui ne s’arrête pas là puisque Terra Foundation compte de nombreuses formations à son actif, toujours avec ce désir de contribuer à la résilience des bénéficiaires de ses ONG partenaires.

Une initiative qui promet de porter ses fruits, notamment avec l’avènement de la Smart City de Beau Plan !