Friday, April 19, 2024 15:45:00

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L’île Maurice, premier producteur de sucres spéciaux au monde, tient une place de choix sur le marché international. Différents du sucre roux et du sucre raffiné, ces sucres ont une plus grande teneur en mélasse naturelle et ne contiennent pas d’additifs. Le résultat : un goût sublimé et 100 % naturel. Pionnière en matière de production de sucres spéciaux dans le monde, cela fait 40 ans que Terra Milling innove chaque année un peu plus pour offrir à ses clients des produits d’une qualité incomparable.

Le début des années 1980 marque, chez Terra Milling, le début d’une aventure heureuse, mêlant audace et innovation, qui vient célébrer la longue histoire d’amour entre l’île et la canne à sucre. À la demande d’un client britannique, l’usine se lance alors dans la production de sucres spéciaux et ne cessera de parfaire son savoir-faire. Aujourd’hui, l’usine possède à son actif 14 différents types de sucres spéciaux – ce qui est une première dans le
monde !

Résultat d’un secret bien gardé, la recette des sucres spéciaux mauriciens a su conquérir de nombreux palais, jusqu’à se frayer une place de choix en Europe et aux États-Unis. Appréciée pour la qualité, l’aspect visuel et les arômes de ses sucres spéciaux, Terra Milling, qui est aussi le plus gros producteur de l’île, peut produire, chaque année, quelque 85 000 tonnes destinées uniquement au marché international. Un volume colossal !

Cela fait d’ailleurs quelques années que les sucres spéciaux gagnent en popularité. La raison est simple : un retour vers le naturel et les produits sains. L’augmentation des demandes et l’apparition d’une concurrence féroce n’ébranle pourtant pas l’usine. « Même si nous avons un temps d’avance sur les autres avec notre riche expérience, nous nous remettons sans cesse en question afin de nous améliorer continuellement et de maintenir notre place auprès de nos clients tout en trouvant de nouveaux marchés », explique Stéphane Lavénérable, Quality Assurance Officer chez Terra Milling.

Ce qui démarque l’usine : une qualité imparable, un savoir-faire inégalé et une attention aux plus petits détails. « La production de sucres spéciaux est une filière complexe qui demande une grande précision et une méticulosité particulière », continue Stéphane. Ce travail soigneux requiert donc un cadre bien réglementé ; c’est pour cela que l’usine, qui a été la première à être certifiée BRC Food à Maurice il y a presque 15 ans, suit à la lettre les normes de la British Retail Consortium Global Standards. La recette gagnante pour des sucres spéciaux de qualité dont la popularité ne cesse de grandir !

Installé à la création de Terragen, voilà plus de 20 ans que le système de sécurité incendie protège la centrale. Animée par un souci constant de sécurité, elle décide en 2017, suite aux recommandations de ses assureurs, de donner un coup de neuf à tout le système.

La sécurité au travail est un sujet qui a beaucoup d’importance pour les équipes de Terragen. En plus d’un travail de sensibilisation poussé, la centrale cherche constamment à améliorer ses équipements pour s’assurer une sécurité accrue. C’est dans cette optique que Terragen fait appel en 2017 à Cyrus, bureau d’études français spécialisé en sécurité incendie, pour revoir entièrement son système existant.

Le rapport de Cyrus a permis de dégager quelques recommandations essentielles pour un système incendie plus efficient. Parmi elles, l’achat et l’installation d’une nouvelle pompe incendie de 340 m3 ou encore la construction d’un réservoir de 815 m3 dédié uniquement à la protection incendie. « Il nous a aussi été conseillé de revoir entièrement notre système de tuyauterie et de l’étendre aux endroits où les équipements n’étaient, jusque-là, par couverts », explique Raj Ramluckun, Maintenance Manager chez Terragen.

À la réception du rapport, les équipes s’activent, les appels d’offres sont lancés pour l’achat du matériel et les contracteurs locaux sont sélectionnés pour démarrer les travaux. « Nous avons pu bénéficier de l’expérience de Jean-Marc Iweins, notre directeur. Ce dernier avait assisté à l’amélioration complète du système incendie de la centrale de Bois-Rouge à La Réunion, lors d’un précédent poste. Il était donc rodé à l’exercice et a fait preuve de toute son expertise pour nous permettre de trouver les bons matériaux et fournisseurs », confie Raj.

Ce projet d’envergure posait une seule difficulté : comment améliorer tout le système sans arrêter complètement le circuit actuel ? Pour continuer à assurer la sécurité du site, le projet est donc divisé en deux phases. La première, qui a eu lieu en 2020, s’est concentrée sur l’installation de la nouvelle pompe et la construction du réservoir. La deuxième phase, entamée en 2021, s’est quant à elle axée sur l’amélioration du système incendie. C’est donc au fur et à mesure que la tuyauterie a été remplacée et que le réseau a été étendu pour couvrir les équipements critiques, tels que des transformateurs électriques ou des chemins de câbles.

« Nous avons aussi amélioré le système de protection incendie de notre hangar et de nos convoyeurs bagasse. Nous travaillons actuellement sur l’amélioration du système de protection du hangar à paille pour plus de sécurité », continue Raj. Si ces travaux de longue haleine ont, une fois encore, été ralentis par le confinement en début d’année, les équipes sont très satisfaites de leur évolution. « Nous avons dû réorganiser le travail et gérer les retards de livraison de matériaux. Malgré cela, nous sommes tout de même dans les temps et devrions terminer les travaux avant la fin de l’année », conclut Raj.

Un relooking de deux ans qui permettra d’assurer une sécurité optimale sur le site et le bon
fonctionnement des opérations !

Il y a tout juste six mois, un second confinement était annoncé pour le pays. Loin de se laisser abattre, le groupe Terra y a vu là une opportunité d’introspection, d’innovation et de réinvention. Six mois plus tard, c’est un bilan positif qui se dessine. Retour sur les performances, les projets et les idées qui ont germé durant ce semestre pour renforcer les activités du groupe.

Terragen

Pour une centrale qui place la sécurité de ses employés au coeur de ses priorités, Terragen assure en 2021. Elle ne recense en effet aucun accident de collaborateur – contre un accident en 2020 –, et ne déplore, chez ses contracteurs, qu’un accident minime sans
nécessité d’arrêt. Cette belle performance est bien le signe que l’accent mis sur les campagnes de sensibilisation fonctionne. Et pour encore plus d’efficience, c’est tout son système de sécurité que Terragen est en train d’améliorer pas à pas, avec un système incendie bientôt entièrement revu.

D’un point de vue rendement, la production totale nette vendue est elle aussi meilleure car elle atteint les 271 545 mégawatt-heure contre environ 231 000 à la même période en 2020. Cette année, Terragen innove en matière d’efficacité : avec son nouveau sécheur de bagasse, c’est toute la production qui est impactée. Cet appareil, qui a pour but de diminuer l’humidité présente dans la bagasse, permet une meilleure combustion dans la chaudière. Selon les prévisions de la centrale, ce seront jusqu’à 5 000 tonnes de bagasse qui seront économisées chaque année, ainsi qu’une augmentation de la production de l’ordre de 10 gigawatt-heure.

En 2021, c’est l’engagement vert de Terragen qui se concrétise encore un peu plus. En effet, la centrale a été presque entièrement verte durant la campagne bagasse et paille et n’a utilisé le charbon qu’en cas d’urgence. Pour renforcer son engagement, ce sont aussi 13,5 hectares d’eucalyptus qui ont été plantés cette année et qui seront utilisables dans 3 ans.

Terra Milling

Si la production chez Terra Milling a été quelque peu retardée du fait de pluies tardives, l’usine atteint quand même ses objectifs – qui sont toutefois moins élevés que l’année passée. En parallèle, l’usine poursuit les projets novateurs en optant pour des méthodes d’agriculture plus respectueuses de l’environnement. Ce sont, par exemple, 150 arpents de terre qui seront bientôt dédiés à la culture de canne biologique. Les projets pilotes de culture d’eucalyptus – qui serviront à créer des granulés et copeaux de bois comme biomasse à Terragen – et de macadamia avancent, pour le moment, sans encombre. Enfin, Terra Milling se lance dans la création de nouveaux sucres spéciaux pour parfaire la diversification de l’offre jusqu’ici proposée.

Grays

2021 a été l’année du renouveau pour Grays. Avec un programme de rebranding complet, ses nouvelles boutiques et ses nouveaux concepts viennent renforcer l’expérience client en boutique. L’ouverture d’une boutique 20/Vin à l’esthétique soignée au Mahogany Shopping Promenade et d’un magasin de cosmétiques dédié à Mac, L’Occitane et Erborian permet aussi à Grays de consolider avec style sa présence sur le marché!

Malgré les chamboulements entraînés par la crise sanitaire, ses différents départements ont connu une croissance notable grâce à la fidélité de ses clients. Et pour accueillir 2022 comme il se doit, Grays promet d’étoffer son catalogue avec de nouvelles marques qui sont, pour le moment, tenues secrètes.

Le souffle de modernité déjà enclenché en début d’année chez Grays a déjà fait son chemin. Aujourd’hui, toutes les forces de vente ont été automatisées pour améliorer et simplifier le travail au quotidien, sans oublier la digitalisation complète de la compagnie qui se poursuit et devrait être achevée d’ici 2022.

L’Aventure du Sucre

Pour une entreprise dépendant grandement du tourisme et de l’événementiel, l’Aventure du Sucre a su s’adapter aux contraintes liées au contexte et proposer de nouvelles offres adaptées au marché local. En plus des ateliers de team building et des visites en groupe. réduit du château de la Villebague, le musée a organisé avec Grays des expériences immersives telle que la visite des chais suivie d’une initiation à la dégustation de rhum, puis d’un apéritif et d’un dîner dans le musée.

Et pour les cinéphiles, l’Aventure du Sucre propose depuis septembre le concept « Manz pistas, get sinema » en partenariat avec l’Institut Français de Maurice. L’idée est d’organiser une projection de film gratuite par mois dans le cadre aéré et intime du restaurant Le Fangourin ou au Workshop du Creative Park de Beau Plan. Les places, disponibles sur réservation, se sont écoulées rapidement et la deuxième édition, prévue pour le 8 octobre, fait déjà faire salle comble!

Pour continuer son engagement pour la promotion de la culture, l’Aventure du Sucre s’est aussi associé à la médiathèque de l’Institut Français de Maurice pour accueillir, deux mardis par mois, le van « IFM on the road ». Ainsi, plus besoin d’aller jusqu’à Rose Hill pour avoir. une dose de culture avec l’IFM!

Enfin, pour se préparer à la réouverture du musée et de la boutique le 1er octobre 2021, l’Aventure du Sucre a complètement revu sa signalétique, avec un tout nouveau système de fléchage au sol, pour assurer aux visiteurs distanciation et sécurité.

Novaterra

Les équipes de Novaterra ne diront pas le contraire : l’année 2021 n’a marqué aucun répit pour l’immobilier!

Dans les projets à venir : la commercialisation de la deuxième phase de Mango Village, premier projet résidentiel bâti de la Smart City, démarrera très bientôt, et les deuxième et troisième phases de commercialisation des terrains résidentiels du quartier Les Muguets arriveront aussi sous peu.

Les Coteaux de Belle Vue, le nouveau morcellement signé Terra, a, en quelques mois, été entièrement vendu. D’autres projets résidentiels ont aussi été entamés hors du coeur de Beau Plan : la commercialisation du projet de Montagne Longue a débuté en mars, tandis que les 100 lots du développement de Crève-Coeur ont tous été vendus cette année. Côté business, même son de cloche : le Business Park connaît un remplissage de l’ordre de 80 à 85 %, et les travaux de The Strand, nouvel espace de bureaux sur le lac, ont démarré !

Terra Foundation

Si les budgets du CSR ont été quelque peu réduits cette année, cela n’a en rien freiné l’activité de la fondation. De nombreux projets et de nouvelles idées ont vu le jour avec pour objectifs l’amélioration de la vie des habitants de la région et la création d’emplois. Des cours de théâtre pour les enfants ont, par exemple, été mis en place et un projet de centre sportif à Bois Rouge a été lancé en collaboration avec le District Council et le Village Council de Bois Rouge. Pour faciliter l’accès aux habitants – mais aussi aux services du type ambulances et éboueurs –, le réaménagement de certaines routes menant à Bois Rouge est aussi prévu.

En juillet dernier, Terra organisait un Contact Tracing Officer Training, destiné à faciliter le travail du ministère dans la détection de nouveaux cas de Covid-19 en formant ses employés à tous les scénarios. Ce sont aujourd’hui 19 collaborateurs qui ont obtenu la certification à cette formation. Retour sur une initiative qui a déjà commencé à porter ses fruits.

« Notre objectif premier à travers cette formation était d’apporter un outil supplémentaire à nos équipes afin de limiter la propagation du virus dans l’entreprise et d’anticiper tous les scénarios », commence Isabelle Grenouille, Training Manager chez Terra. Pour cela, 19 collaborateurs de divers postes et issus des différents clusters du groupe ont ainsi été invités à participer à un atelier de 3 heures mené par le médecin du travail Dr Shahil Dawreeawoo.

Les points forts de cette formation sont nombreux, car elle permet d’être proactif et efficace dans l’identification, l’information et l’isolation des cas contacts. Le premier geste à adopter consiste ainsi à « classifier » le type de contact de chaque cas suspect selon une hiérarchie bien établie. Ceux-ci sont séparés en deux groupes selon la durée et les conditions du contact avec la personne positive. Ce que l’on qualifie de close contact sera, par exemple, une personne qui n’aura respecté ni les gestes barrières, ni le port du masque durant une interaction de plus de 15 minutes avec la personne positive. Les casual contacts concernent, quant à eux, les personnes qui auront eu une interaction de moins de 15 minutes avec la personne positive durant laquelle les gestes barrières auront été respectés.

Une fois la catégorie de contact définie, on détermine si chaque cas représente un high risk ou un low risk. Cela passe aussi par l’identification de catégories sous-jacentes – primary, secondary et tertiary – selon que le contact soit direct ou non. Une personne placée dans le tertiary group aura, par exemple, simplement été en contact avec une personne qui, de son côté, aura eu un contact direct avec le cas positif. « C’est un travail effectué en amont de l’intervention du Ministère de la Santé. Cela nous permet de contenir la situation et de réorganiser de manière efficiente notre travail tout en plaçant les personnes concernées, selon l’exercice de contact tracing, en isolation ou encore d’enclencher le “daily temperature and health monitoring”, exercice mené par le RH ou le responsable de département. Cela nous permet aussi de mettre rapidement en place un roaster pour conserver la même efficacité dans nos opérations du quotidien », explique Isabelle.

Pour Azhaar Hossenbacuss, Health & Safety Officer à Terragri, cette formation s’est révélée essentielle pour la bonne gestion de l’entreprise. « Nous avons déjà pu mettre en place ce protocole lorsque l’un de nos fournisseurs externes a été testé positif. Cette formation nous a permis d’être encadrés, proactifs, de réagir plus vite et de savoir qui isoler ou non », dit-il. « Et il faut admettre qu’il est toujours plus rassurant que l’exercice soit conduit par des collègues, des gens que nous connaissons et voyons tous les jours », renchérit Isabelle. Cette initiative, qui vise avant tout la protection des employés, a d’ailleurs rencontré un tel succès que le groupe Terra a même été approché par d’autres entreprises pour délivrer une formation similaire.

Beau Plan poursuit son expansion. Portée par le succès de ses premiers projets résidentiels et par l’affluence du Mahogany Shopping Promenade, la Smart City continue de se modeler selon les besoins de ses usagers et proposera, dans les mois à venir, de nouvelles offres commerciales et résidentielles. Tour d’horizon.

The Strand : de nouveaux bureaux exclusifs en bord de lac

Avec ses vues sur le lac de Beau Plan et les montagnes au loin, The Strand s’annonce comme une adresse business incontournable.
Alors que sa construction est tout juste entamée (pour une livraison prévue fin 2022), cet espace de 10 000 m2 au coeur de la Smart City vise à proposer un cadre de travail dynamique et agréable. Son architecture est élaborée dans le respect du patrimoine industriel de la ville et ses bâtiments compteront 2 à 3 étages et une salle de gym.
Desservi par l’autoroute Terre Rouge-Verdun et à quelques minutes de la capitale, The Strand se situe dans un lieu pratique pour ses locataires. Sa proximité avec le Mahogany Shopping Promenade promet également d’adoucir le quotidien de ses usagers. En d’autres mots, c’est la combinaison parfaite entre une vie active et un point de retraite où il fait bon mener ses affaires!

Le Mahogany Shopping Promenade étoffe son offre

Souhaitant présenter une offre large pour combler toutes les envies, les équipes du Mahogany travaillent d’arrache-pied pour proposer de nouveaux commerces et services dans le centre. Ouvert en juin, le lieu s’est rapidement rempli. Seuls 15 % des espaces commerciaux y sont encore à louer : une réussite!
Parmi les nouveaux arrivants, on compte notamment la célèbre marque de lingerie française Dim, qui débarque en exclusivité sur l’île. Autre nouveauté : l’enseigne mauricienne Swap Cash et ses appareils électroniques reconditionnés. Dans cette boutique, vous pourrez revendre vos produits électroniques, qui seront alors rapatriés dans des centres de reconditionnement agréés à l’étranger, ou acheter des appareils reconditionnés avec une garantie d’un an.
Côté culinaire, les arrivées se succèdent ! Le nouveau restaurant Zakadi a aujourd’hui atteint sa vitesse de croisière avec une carte colorée et sa terrasse à ciel ouvert donnant sur le lac. Pour varier les plaisirs, le foodtruck Mams proposera bientôt des plats thaïlandais aux flâneurs, tandis qu’un restaurant indien devrait prochainement ouvrir ses portes au bout de la galerie, face au lac, pour une parenthèse gourmande délicieusement épicée.

L’offre résidentielle poursuit sur sa lancée

La première phase du projet résidentiel Mango Village ayant rencontré un grand succès commercial, une seconde phase est en cours de préparation. Ainsi, aux appartements et duplex déjà proposés lors de la phase 1 viendront s’ajouter deux penthouses, promesse d’une qualité de vie exclusive au coeur de Beau Plan. Dans la même lignée architecturale que le reste de la Smart City, ce projet résidentiel se situe à quelques pas du Mahogany et donnera également sur le futur parc urbain de la ville. La commercialisation, dont le lancement est prévu pour fin octobre, s’adressera aussi bien aux étrangers qu’aux Mauriciens.
En parallèle, le quartier Les Muguets s’agrandit avec sa seconde phase de commercialisation. Ce sont 62 terrains offrant un accès privilégié aux services de la région (espaces verts, supermarchés, pistes cyclables, etc.) qui sont commercialisés depuis début septembre, accessibles aux étrangers comme aux Mauriciens. Avec un cahier des charges visant à garantir l’harmonie des lieux, c’est la promesse d’un environnement paisible.

Le Creative Park s’agrandit

Dans la même mouvance, les restrictions et la situation sanitaire n’ont pas eu raison du Creative Park, qui connaît aujourd’hui un remplissage de 90 %. Visant plus que jamais à devenir un hub créatif et culturel, il souhaite proposer à tous des expériences inédites,  touchant par exemple à l’artisanat, et des workshops créatifs.
Pour ce faire, le Creative Park se prépare à s’agrandir. De nouveaux bâtiments se tiendront prêts à accueillir des artistes d’ici 2 à 5 ans. En attendant, des artistes et artisans ont commencé à investir les maisons environnantes, tel le studio photo d’Axel Ruhomaully, cristallisant l’objectif de Beau Plan de devenir l’un des centres créatifs les plus importants de l’île.