Thursday, March 28, 2024 15:45:00

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En 2019, l’introduction du logiciel agronomique et agricole Cane Pro marque, pour Terra, le premier pas vers une agriculture digitalisée. Cette nouvelle approche, destinée à apporter efficacité et autonomie aux équipes de Terragri Ltd, se développe chaque année un peu plus. Frederick Victoire, Cane Pro Administrator chez Terragri Ltd, nous en dit plus.

« Le logiciel Cane Pro sert avant tout à récolter et analyser des données pour nous aider à prendre les meilleures décisions possibles », explique Frederick. Ces données, qui touchent à de nombreux facteurs, comme l’ensoleillement ou encore la pluviométrie, sont récoltées via des stations météorologiques automatiques (SMA) installées par Terra en 2020. « Nous avons établi qu’il nous fallait environ trois ans de données pour être autonomes et plus pointus dans nos estimations, notamment en termes de ressources. Cela nous aide aussi à mieux planifier car le logiciel nous avertit quand irriguer ou quand effectuer des site visits », poursuit-il. L’application mobile Cane Pro permet, quant à elle, de signaler en temps réel et de géolocaliser un problème aperçu dans les champs.

Pour parfaire cette stratégie, Terragri a aussi décidé d’intégrer l’aspect financier au traitement des données en liant son logiciel comptable CEMIS à Cane Pro. « Cela nous permettra d’avoir un cost per field le plus précis possible », dit Frederick. Que cela touche à la main-d’œuvre affectée au champ, à l’irrigation, au taux d’herbicides nécessaire, ou encore à la fertilisation, cette nouvelle approche servira à faire une étude de rentabilité en se basant sur le coût et le rendement de chaque champ de canne. Ce travail, qui se fait encore manuellement, sera entièrement automatisé en 2022. Et pour une autonomie encore plus complète, Terra se dote cette année de deux nouvelles SMA, ce qui permettra à Cane Pro de couvrir toutes les terres irriguées du groupe.

Si le travail de suivi requiert tout de même des ressources humaines pour analyser toutes les données reçues, l’autonomie gagnée grâce au traitement des données par le système est énorme. « Les équipes ont moins d’entrées à faire et le travail effectué par le système nous offre le recul nécessaire pour prendre les meilleures décisions et une visibilité accrue sur nos estimations », dit Frederick. Le but : perdre le moins de temps possible pour gagner en efficacité. « Nous comptons en ce sens aussi peaufiner notre irrigation scheduling et former nos équipes d’irrigation pour savoir quand il est nécessaire de venir aux champs et ainsi éviter les déplacements inutiles », continue-t-il.

Un nouveau mode de fonctionnement qui voit déjà loin !

Chez Terragen, l’année 2022 démarre sous les meilleurs auspices. En effet, la centrale enregistre, au 17 février 2022, 522 jours sans accident avec arrêt. Un exploit puisque l’ancien record s’élevait à 481 jours ! Si ce résultat donne une belle raison d’être fier, c’est avant tout une implication collective et une multitude d’actions journalières qui forment le travail de fond de ce nouveau record toujours en croissance. Décryptage.

« La sécurité a toujours été notre priorité à Terragen », commence Jean-Marc Iweins, Power Plant Manager de la centrale. Si, depuis 2013, les efforts portés sur la sécurité se sont intensifiés avec la mise en place, par exemple, du système QSE, la centrale note tout de même une recrudescence d’accidents en fin 2019-début 2020. « Nous nous sommes demandé ce qu’il nous manquait pour avoir une pleine maîtrise de l’accidentologie. C’est là que nous avons décidé d’insuffler une nouvelle dynamique sécurité à Terragen, approche que nous avons renforcée fin 2020 », poursuit-il. L’objectif : créer une réelle culture d’entreprise autour de la sécurité.

De nombreuses actions sont mises en place avec, par exemple, le quart d’heure sécurité du mercredi lors duquel se réunissent employés et sous-traitants autour d’une discussion animée par Adish Sewlall, QSE Coordinator à la centrale, et un autre intervenant issu d’un des départements de Terragen. D’autres actions viennent renforcer cette position : un système de near-miss reporting proposé dès 2020 pour rapporter les situations dangereuses, une inspection SHE – Safety Health and Environment – chaque mardi avec la participation d’un personnel de chaque département, une visite hebdomadaire de chaque manager sur les chantiers du site pour relever et discuter des actions correctives à mettre en place, une Quick Risk Analysis à chaque étape de chaque intervention, des formations recyclées tous les trois à quatre ans, ou encore le rituel de nettoyage du site chaque vendredi pour une accidentologie plus contrôlée.

« Aujourd’hui, nos performances en sécurité parlent d’elles-mêmes. Rien que pour notre système de near-miss reporting, nous avons enregistré 77 near-miss rapportés par les employés en 2021 contre 5 en 2019 et 49 en 2020 », explique Adish. « Cela démontre qu’il y a une réelle culture de sécurité qui s’est mise en place et qui touche tous les employés et contracteurs qui travaillent sur le site », continue-t-il.

Les équipes ne comptent pas s’arrêter en si bonne voie. L’année 2022 s’annonce en effet pleine de projets. En plus de renforcer sa procédure d’accès aux espaces confinés, la centrale a aussi instauré un système de demande de permis pour pouvoir intervenir dans ces endroits jugés dangereux. « Nous avons prévu d’acheter de nouveaux équipements dédiés à cet effet, comme, par exemple, un détecteur de gaz portatif qui mesure simultanément les gaz explosifs, la présence d’oxygène, le monoxyde de carbone et l’hydrogène sulfuré », dit Adish. C’est aussi toute la procédure de consignation et d’étiquetage que ce dernier veut renforcer pour assurer des interventions sur les équipements sans risque pour les travailleurs avec des régimes de consignation pleinement maîtrisés.

Aujourd’hui, après 522 jours sans accident avec arrêt, la confiance plane sur Terragen. « C’est un système que nous avons adopté et des habitudes que nous avons prises. Nous sommes fiers, mais aussi rassurés de travailler au quotidien dans un tel environnement », confie Jérôme Victoire, mécanicien et soudeur à Terragen. Pour Rosan Dhoomun, aide chimiste à la centrale depuis 21 ans, c’est une belle victoire. « Nous sommes formés en permanence pour assurer la sécurité du site et nous sommes fiers d’avoir atteint un tel record tous ensemble », dit-il.

Malgré cette implication et une prise d’initiative individuelle et collective accrue, il reste cependant encore du travail à faire. « La sécurité n’est jamais acquise ; les bons réflexes sécurité s’entretiennent dans le temps. Il faut une animation en continu pour les renforcer », explique Jean-Marc. « Nous pouvons être fiers du chemin parcouru. Le plus difficile sera de maintenir cette performance dans le temps », conclut-il.

Un défi que Terragen est prêt à relever !

Initiée en mai 2021, l’opération « Arret Bril Kann » est lancée dans le but de diminuer le nombre d’incendies qui ravagent les champs de canne. Presque un an plus tard, les résultats parlent d’eux-mêmes : si, en 2020, la superficie brûlée équivalait à 1 054,88 hectares, elle descend en 2021 à 121,45 hectares. Une réussite sur laquelle reviennent Jean-Marc Jauffret, Agricultural Manager de Terragri Ltd, et Yovani Assirvaden, Chief Security Office de Terragri Ltd.

La campagne « Arret Bril Kann », menée par Blast Communication en collaboration avec Terra, la Mauritius Police Force, la Mauritius Cane Institute Authority et le Mauritius Fire & Rescue Service, naît d’un constat alarmant : en 2020, 127 incendies ont rasé plus d’un millier d’hectares chez Terra. « Ces incendies ont plusieurs répercussions », explique Jean-Marc Jauffret. De nombreux champs déjà fertilisés ou comprenant des jeunes pousses partent en fumée, forçant les équipes de Terra à intervenir pour sauver ce qui peut encore l’être. « Cela nous donne, au final, une estimation faussée de la quantité de canne à récolter pour la campagne car nous nous retrouvons à couper des cannes trop jeunes, et donc pauvres en poids et en sucre », poursuit Jean-Marc.

Les incendies intempestifs ont aussi un impact sur les repousses pour les campagnes suivantes. « Les jeunes tiges ont du mal à démarrer, faute d’irrigation, alors que l’on observe une prolifération de mauvaises herbes, faute de paille », dit Jean-Marc. D’autres aspects de la production sont, eux aussi, touchés : la paille brûlée ne peut être récupérée pour être envoyée à Terragen comme biomasse, y affectant donc la production d’énergie renouvelable. « Au-delà de la production, c’est aussi la sécurité des villages bordant nos champs qui est en jeu », renchérit Yovani.

Une campagne à échelle nationale et une organisation renforcée

Le plan d’action est donc posé et la campagne s’établit en plusieurs volets. Mise en place de panneaux publicitaires à des endroits stratégiques, interventions sur les chaînes de télévision nationale et à la radio, ou encore posts sur les réseaux sociaux : le travail de sensibilisation s’effectue en profondeur. « Nous avons aussi mis l’emphase sur la conscientisation des villageois et des petits planteurs en leur expliquant les dégâts causés par les incendies incontrôlés », souligne Yovani.

D’un point de vue sécurité, c’est une nouvelle organisation qui se met en place. Des patrouilles de police s’effectuent jour et nuit alors qu’une stratégie de ravitaillement en eau s’installe avec les pompiers, qui ne peuvent pas intervenir directement dans les champs. « Nous avons, de notre côté, réorganisé nos équipes de sécurité pour une surveillance constante », explique Yovani. Trois citernes, l’une de 21 000 L et les deux autres de 10 000 L, sont mises à disposition des équipes qui effectuent des permanences sur le site. En plus des patrouilles internes, des agents sont postés jour et nuit sur le view point de Maison Blanche pour superviser les champs et des équipes de garde sont désignées pour intervenir avec des véhicules spéciaux.

« Aret Bril Kann » : un bilan positif

« Notre point fort a été la rapidité d’intervention de nos équipes. L’effort, la communication, la compréhension et la sensibilisation de tout un chacun ont aussi contribué au succès de cette campagne », affirme Yovani.

Avec 933,43 hectares brûlés en moins, Terra ne compte pas se reposer sur ses lauriers. « Nous souhaiterions atteindre une superficie brûlée inférieure en 2022. Nous mettrons les bouchées doubles pour relancer une campagne consciencieuse, établir des contrôles stricts dans nos champs et intervenir rapidement pour limiter les dégâts », conclut Jean-Marc.

Une année 2022 pleine de promesses !

Cela fait près de neuf ans que Kaviraj Ittoo travaille en tant que chimiste et responsable de laboratoire chez Grays. Depuis 2021, il porte aussi la casquette de QSE Team Leader. Si les journées ne se ressemblent jamais, elles sont toutes plus stimulantes les unes que les autres. Découverte de ce métier palpitant avec Kaviraj.

Diplômé en Chemical & Environmental Engineering à l’Université de Maurice, c’est dans les laboratoires que Kaviraj fait parler sa passion. « Le travail en laboratoire se divise en deux axes : Analyse & Contrôle Qualité, et Recherche & Développement. Il y a tellement à faire qu’il y a chaque jour un nouveau défi à relever », explique-t-il.

Pour l’axe Analyse & Contrôle Qualité, c’est chaque nouveau batch d’alcool produit à Grays qui est analysé à la loupe pour assurer une qualité optimale. « Le laboratoire mesure, par exemple, le taux d’alcool de chaque produit parmi d’autres paramètres », explique le chimiste. Et des paramètres, il y en a, en particulier pour le vin, qui fait l’objet d’un suivi encore plus élaboré. Taux de soufre, acidité volatile, acidité totale… La liste est longue !

En parallèle, l’axe Recherche & Développement présente un challenge constant. « D’un côté, nous retravaillons sur les produits existants pour les améliorer en apportant, par exemple, des subtilités à la recette de base », dit Kaviraj. « Nous développons aussi de nouveaux produits selon les demandes des différents départements de Grays », poursuit-il. Dans ce dernier cas de figure, le produit ainsi travaillé passe par de nombreux examens avant d’être mis sur le marché

En plus de cet emploi du temps bien rempli, Kaviraj est aussi, depuis juin 2021, QSE Team Leader. « Je suis principalement responsable de la bonne mise en œuvre des normes ISO 9001, 14001 et 45001 », ajoute le chimiste. Ces normes, qui touchent respectivement au management de la qualité, au management environnemental et au management de la santé et de la sécurité au travail, participent aussi à l’élaboration de produits d’une excellente qualité.

Pour Kaviraj, pour qui la monotonie est un frein, ce travail le motive chaque jour différemment : « Même si le contrôle qualité se fait tous les jours, il y a toujours un nouveau challenge et c’est cela qui me motive chaque jour », explique-t-il. Ce qu’il préfère : trouver le petit twist qui donnera à chaque recette sa personnalité propre. Un métier toujours changeant, mais chaque jour un peu plus stimulant!

Depuis plus de 10 ans, Terra Foundation soutient les plus démunis de la région en leur venant en aide. Malheureusement, l’impact du Covid et les restrictions sanitaires ont ralenti l’immense travail abattu par la fondation. Cela ne l’arrête pourtant pas ! Malgré les obstacles, aider les autres reste le moteur de la fondation, qui saisit toutes les opportunités pour mener à bien sa mission.

« Nous avons de nombreux projets qui nous tiennent à cœur mais nos actions ont malheureusement été limitées par les contraintes sanitaires et nos projets ont été mis en pause », commence Marie-Annick Auguste, CSR Manager chez Terra Foundation. La fête de Noël en est un bon exemple. Tradition annuelle qui réunit chaque année les enfants défavorisés, elle n’a, cette année, pas pu avoir lieu en raison du contexte.

Fêtes de Noël : la solidarité, le maître-mot du groupe Terra

Loin de se décourager, la fondation fait preuve de créativité pour continuer ses actions caritatives : « Malgré l’annulation de la fête de Noël, nous avons voulu, avec nos ONG partenaires, offrir un petit moment de bonheur à ceux dans le besoin. Nous avons donc décidé, en puisant dans notre Covid-19 Emergency Fund et des fonds CSR, d’offrir un panier de Noël à 125 des familles accompagnées par ces ONG », explique Marie-Annick.

C’est donc tout le groupe Terra qui met la main à la pâte : Terragri fait don de pommes de terre et d’oignons alors que Grays propose des produits à prix réduit. La logistique d’Intermart, au Mahogany, prépare les food packs tandis que l’Aventure du Sucre offre son auditorium pour les distribuer aux ONG. Résultat de ce travail d’équipe : la distribution, qui a lieu le 23 décembre, est un succès ! « Les responsables des ONG et les bénéficiaires ont été grandement touchés par ce soutien », constate Marie-Annick.

Un soutien constant apporté aux jeunes les plus vulnérables

En parallèle, Terra Foundation poursuit aussi son soutien aux écoles. Le 22 décembre, c’est au restaurant de l’Aventure du Sucre, Le Fangourin, que se tient une cérémonie pour récompenser les meilleurs élèves de l’école ZEP H. Ramnarain. « Les élèves étaient ravis de pouvoir sortir de chez eux pour un événement où ils étaient mis à l’honneur », confie Marie-Annick. Autant de petites actions, comme la collecte de vêtements effectuée en avril 2021, qui perpétuent la mission première de la fondation : celle de venir en aide aux plus démunis, mais aussi de contribuer à la résilience de leurs ONG partenaires.

En 2022, la fondation se donne aussi comme objectif d’aider les ONG qui voudraient lancer des start-ups. En ligne de mire : un projet de parrainage de femmes entrepreneures qui n’auraient pas les fonds pour démarrer. « Nous avons de nombreux projets en suspens ou en pourparlers. Nous dépendons malheureusement d’une certaine liberté pour pouvoir les mener à bien et espérons de tout cœur un relâchement des restrictions dans les mois à venir », dit Marie-Annick. La fondation a une vocation : intégrer la communauté dans tous les projets de Beau Plan et, restrictions ou pas, elle compte bien y parvenir !

Ayant à cœur le bien-être de ses employés, Novaterra renforce depuis plusieurs années sa culture d’entreprise, notamment avec l’introduction, en 2019, de ses Novateams. L’objectif : créer au sein de l’entreprise une ambiance où l’efficacité professionnelle va de pair avec l’épanouissement personnel. Le point avec Sharonne Jaquette-Miner, HR Manager – Projects and Services chez Terra.

La culture d’entreprise – axée sur l’humain, la bonne performance et une ambiance agréable – représente l’un des points centraux de notre approche à Novaterra », commence Sharonne. L’emphase mise sur cette culture s’articule autour de valeurs communes touchant aux thèmes « Caring, Learning & Result-driven » qui façonnent tous les aspects de la compagnie. « D’un côté, nous établissons, comme la plupart des compagnies, un calendrier d’activités et autres événements (hors Covid) pour l’ensemble des employés. D’un autre, nous renforçons cette prise de position à travers nos SuperNovas qui ont pour tâche de porter cet élan tout au long de l’année », continue-t-elle.

Introduites en 2019 sous la supervision d’un consultant spécialisé, les Novateams ont pour mission de faire vivre les valeurs d’entreprise et de renforcer la cohésion de ses membres, notamment à travers des initiatives indépendantes. Menée par une SuperNova – un membre choisi pour faire le lien entre l’équipe de la direction et les employés –, chaque équipe s’engage donc à établir et participer à une ambiance chaleureuse d’entraide et d’efficacité, où innovation et curiosité sont de mise.

Nous menons de nombreux projets de front et plaçons nos employés au cœur de chacune de nos initiatives. Bien que Novaterra encourage la productivité et les résultats, instaurer une ambiance conviviale est à nos yeux nécessaire pour que chacun se sente écouté », explique Sharonne. Un sondage est aussi effectué pour analyser et mesurer la culture d’entreprise, et s’assurer que la compagnie reste sur la bonne voie.

Le travail ne s’arrête pas là car il touche aussi au recrutement. « Le Covid a provoqué un déclic chez de nombreuses personnes qui cherchent aujourd’hui un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. En tant qu’employeur, nous travaillons dur pour répondre à ces attentes », poursuit-elle. Une fois la perle rare trouvée, c’est tout une stratégie de rétention qui doit aussi se mettre en place pour la garder. « Cela nous pousse aussi à toujours mieux faire, à proposer les meilleures solutions et à engager nos recrues », dit Sharonne.

Si trouver la bonne personne représente en soi un challenge, c’est avant tout de la passion et de la détermination que recherche Novaterra. « La passion est un moteur important, elle nous permet de donner le meilleur de nous-même et de repousser nos limites », affirme-t-elle. « Nos valeurs, qui touchent au bien-être des employés, s’articulent aussi autour de la productivité. Un employé heureux est un employé qui travaille mieux », conclut-elle. Une initiative qui porte ses fruits puisque les projets de la compagnie connaissent, chaque année, plus de succès.

Si cela fait moins d’un an que Ratnesh Rajcoomar a rejoint les équipes de Terra, on pourrait croire qu’il en a fait partie toute sa vie ! Employé comme Operations Manager au Mahogany Shopping Promenade, il s’est essayé à de nombreux domaines avant de trouver celui qui le passionne et dans lequel il voudrait faire une réelle différence. Rencontre

Le parcours de Ratnesh est décidément un trajet fait d’heureux hasards. Alors qu’il termine des études en génie chimique et en ingénierie en énergies renouvelables, c’est à Terragen que le mène son stage de fin d’études. Une expérience enrichissante qui n’est pas de tout repos ! À la sortie de l’université, c’est pourtant une tout autre histoire : Ratnesh se trouve happé par le monde hôtelier, où il commence dans certaines des meilleures adresses de l’île. « L’hôtellerie est un secteur particulièrement humain. On y rencontre tous les jours des personnes différentes, avec des histoires uniques. On ressort grandi de chaque échange », explique-t-il.

Alors qu’une nouvelle opportunité se présente à Terra, Ratnesh n’hésite pas et se présente pour le poste de Operations Manager du Mahogany Shopping Promenade. Rapidement engagé, il y trouve très vite sa place. « Cela a cliqué dès la première entrevue. Pour moi, le destin y est pour quelque chose, comme si mon premier pas dans le monde du travail, qui s’est fait à Terragen, était un signe des choses à venir », confie-t-il. Bien installé au Mahogany, Ratnesh s’occupe aujourd’hui de gérer toutes les opérations, depuis le jardinage et le nettoyage à la maintenance et la sécurité. Son but : faire du Mahogany l’une des expériences shopping les plus qualitatives de l’île.

Ce passionné de travail n’opère pourtant pas seul. « Nous avons une équipe formidable et nous travaillons tous pour atteindre un but commun. Notre belle synergie nous permet de bien faire notre travail », dit-il. Pour lui, l’une des clés de leur réussite réside dans cette entente. « Nous sommes entourés de personnes remarquables, chacune avec des qualités uniques, ce qui nous permet aussi de grandir ensemble et d’apprendre les uns des autres », continue Ratnesh.

Séduit par la culture et les valeurs d’un groupe qu’il estime moderne et dynamique, c’est avec plaisir que Ratnesh se rend tous les jours au travail. « J’aime le partage et le sentiment de faire les choses bien, dans un environnement agréable, où l’on s’épanouit et progresse ensemble chaque jour », dit-il. Passionné de développement durable, c’est une vision verte que Ratnesh partage avec le groupe Terra et qu’il veut mettre en place, autant que faire se peut, dans le Mahogany Shopping Promenade comme dans son espace de travail. « Nous avons tous un choix à faire et, pour nous, c’est le choix vert », souligne-t-il.

Et quand il ne travaille pas, c’est dans la poésie et la méditation qu’il trouve refuge. « Les poèmes et la méditation m’offrent le temps calme qu’il me faut pour me recentrer. Ces pauses sont un moment que je chéris particulièrement », confesse-t-il. Très famille, Ratnesh prend aussi beaucoup de plaisir à partager des moments avec ses proches. Une vie bienremplie où il puise chaque jour la motivation de se surpasser.