Wednesday, August 20, 2025 15:45:01

Rs 20.40

Crève-Cœur, avec ses magnifiques montagnes, ses vallées verdoyantes et sa nature foisonnante… Voilà un lieu où il fait bon rêver ! En juin 2025, Novaterra nous dévoile son dernier projet : des lots de terrains agricoles nichés au cœur d’un cadre résolument vert. Karina Paul, Sales Executive chez Novaterra, nous parle de cette nouvelle offre.

 Stratégiquement situé à quelques mètres de l’axe Terre-Rouge – Verdun, Crève-Cœur Domaine Agricole est la dernière nouveauté de Novaterra. Composé de 73 lots d’une superficie de 71 perches à monter, le projet affiche un prix de départ de Rs 2,5 millions. Offrant une rare combinaison entre accessibilité urbaine et tranquillité rurale, cette nouvelle offre constitue une opportunité à fort potentiel.

 « Au fur et à mesure que les zones urbaines s’étendent, ces terrains deviennent stratégiques. Bien situé, un terrain agricole peut prendre de la valeur à long terme, notamment s’il s’inscrit dans une dynamique de développement local », explique Karina. Moins onéreux qu’un terrain résidentiel, commercial ou encore industriel, le terrain agricole se situe en pleine nature et offre des vues sublimes sur le Pieter Both et le Coin de Mire – le cadre idéal pour les amoureux de nature !

« La reconnexion à la nature est en effet une tendance observée à la hausse. Au-delà de l’aspect financier, l’investissement agricole symbolise un retour à l’essentiel : la terre, la production locale et une qualité de vie plus authentique », poursuit-elle. Si ce projet coche les cases d’un investissement sûr et offre un cadre enchanteur, il est aussi idéalement situé à proximité des grands axes, commerces et services de la région. « Investir dans ce projet, c’est acquérir un actif tangible et résilient, dans un emplacement de choix, loin des vicissitudes de la ville ! » conclut-elle.

 Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter nos équipes chez Novaterra !

Si vous pensez qu’être magasinier c’est être confiné entre les murs d’un magasin, vous avez tout faux ! Entre le store, le site, ou encore les échanges avec l’étranger, celui-ci a fort à faire sur tous les fronts ! Sanjay Gunga met en lumière ce métier essentiel de la centrale.

Cela fait 12 ans que Sanjay a rejoint Terragen en tant que magasinier. Réception des marchandises, contrôle de la qualité et de la quantité, enregistrement et rangement… Responsable de toutes les opérations qui se déroulent au store, rien n’entre ou sort du magasin sans qu’il ne le sache ! Le site de la centrale étant important, il comporte, pour le stockage des marchandises, un magasin central, six conteneurs de 40 pieds et quatre remises.

« Dépendant de la demande effectuée, c’est à la réception que nous vérifions auquel de ces endroits les marchandises recherchées sont stockées avant de les livrer », explique Sanjay. Au-delà de ce rôle primordial, Sanjay endosse de nombreuses autres responsabilités. Si l’on se rend compte qu’une pièce est défectueuse, c’est par exemple à lui qu’incombe le devoir de l’envoyer en Europe se faire réparer. « En plus de m’occuper de l’emballage du produit et de son envoi, je reste en contact constant avec le transitaire », dit-il.

De l’écrou à la soupape, il est aussi chargé de l’approvisionnement des équipements. À cela s’ajoute aussi celui des consommables du bureau et de la cuisine. « Nous disposons d’un système qui nous permet de comptabiliser le stock de produits et de savoir quand il faut passer une nouvelle commande », souligne-t-il. Enfin, Sanjay reste aussi en communication avec les différentes équipes pour répondre au plus vite à leurs besoins.

Demande de cotation, recherche de la meilleure affaire, commande, gestion du transit, vérification de la marchandise, stockage, livraison ou inventaire… Sanjay agit vraiment sous tous les fronts ! « Nous gérons plus de 7 000 items répartis en différents endroits, ce qui ne nous laisse pas le temps de nous ennuyer ! Il y a toujours quelque chose de nouveau à faire », dit-il. Ce qu’il préfère dans son travail ? L’atmosphère familiale de Terragen et le merveilleux travail d’équipe qui s’y fait chaque jour. « La beauté de la centrale, c’est que nous travaillons tous ensemble, et à tous les niveaux », conclut-il.

​​Qui a dit qu’on ne cultivait que de la canne à sucre chez Terra ? Pommes de terre, oignons, macadamia… Chaque année, Agriterra s’attelle à la tâche passionnante de la culture vivrière. Le point avec Jimmy Anthony, Area Manager d’Agriterra.

Si l’histoire de Terra – et, par extension, d’Agriterra – est intimement liée à celle de la canne, le groupe ne se cantonne pourtant pas à la culture de celle-ci. En effet, depuis quelques années, Agriterra s’est mise à la culture vivrière. Prônant une agriculture moderne et durable, l’entité consacre chaque année une trentaine d’hectares, habituellement dédiés à la canne, à la plantation d’autres légumes.

Cette initiative répond à deux objectifs fondamentaux d’Agriterra. Le premier, qui renvoie directement à la stratégie de l’entité, est de participer à l’autosuffisance alimentaire du pays. Le deuxième s’aligne quant à lui au désir de promouvoir un mode d’agriculture respectueux du sol. En effet, la rotation des cultures sur des parcelles jusqu’alors réservées à la canne permettrait de lutter contre l’appauvrissement du sol, d’en améliorer la structure et la fertilité.

 Comme chaque année, la parcelle destinée à la culture vivrière est soigneusement choisie selon la qualité du sol et la facilité de son irrigation. En 2025, ce sont sur les terres situées entre Solitude et Balaclava que seront cultivés oignons et pommes de terre. « Nous avons débuté l’ensemencement en juin et visons une récolte à la mi-septembre. Nous prévoyons de récolter 700 tonnes de pommes de terre pour 29 hectares de terres cultivées et 140 tonnes d’oignons pour 4 hectares », explique Jimmy. 

Pour s’assurer de la réussite de ce projet annuel, Agriterra mise sur une agriculture de pointe et presque entièrement mécanisée. Décompactage au bulldozer, épierrage profond avec des équipements à dents comme le chisel, labourage avec des disques, sillonnage et tamisage… Chaque étape de ce processus est cruciale pour optimiser la plantation et le développement des cultures. 

« Nous utilisons des procédés scientifiques, raisonnés et respectueux de l’environnement qui nous permettent d’effectuer des observations ciblées sur l’évolution des cultures tout au long du cycle », ajoute-t-il. L’objectif ? Maximiser le rendement ! Une fois récoltés, les produits frais sont ensuite envoyés en chambre froide, maintenant leur qualité sur plus de six mois.

Une machine bien huilée qui contribue à réduire la dépendance de l’île aux importations !

En avril 2025, Terra signe un partenariat de trois ans avec Odysseo Foundation pour la préservation des milieux marins et côtiers. Rejoint par Rogers et Eclosia, le groupe entend, à travers des donations annuelles, œuvrer à la sensibilisation, mais aussi la réhabilitation de ces zones. Frédérique Perpétu, Sustainability Lead de Terra, nous en dit plus.

 « En tant que Mauriciens, nous sous-estimons souvent à quel point nous dépendons des écosystèmes côtiers et marins », commence Frédérique. Essentiels pour lutter contre l’érosion, pour favoriser la biodiversité marine ou, a fortiori, pour produire de l’oxygène, ces derniers subissent cependant, depuis quelques décennies, une dégradation constante. Outre l’aspect environnemental, cette situation est aussi devenue une urgence économique.

« Nous sommes, en tant qu’habitants d’une île, directement touchés par ce déclin. Un exemple simple : une détérioration de nos récifs provoquera invariablement l’érosion de nos côtes et, avec celle-ci, la disparition de nos poissons, de nos plages… et de nos touristes ! », dit-elle. Pour participer à la lutte contre la destruction des zones côtières et marines, Terra a décidé, en avril 2025, de devenir l’un des partenaires stratégiques d’Odysseo Foundation. « Nous avons, en tant qu’entreprise, une réelle responsabilité à souligner l’importance de la préservation de ces écosystèmes qui nous nourrissent et nous permettent de respirer », ajoute Frédérique.

S’étendant sur trois ans, ce partenariat engage Terra à investir à travers Odysseo Foundation Rs 2 millions chaque année dans de nombreux projets de sensibilisation, de recherche et de conservation des milieux marins et côtiers. « Cette nouvelle démarche a aussi été l’occasion pour nous de conscientiser nos collaborateurs afin qu’ils deviennent nos ambassadeurs », continue-t-elle. Pour ce faire, de nombreuses interventions ont été organisées avec l’ONG Reef Conservation et son incontournable caravane éducative, Bis La Mer.

Découverte de la richesse et de l’importance de nos écosystèmes, exploration de la chaîne alimentaire marine, explication de la restauration corallienne et des pratiques non durables… Autant de sujets passionnants qui seront abordés lors de ces sessions ! Si le coup d’envoi a été donné le 24 juin par Novaterra, L’Aventure du Sucre et le pôle Corporate, les séances se poursuivront le 23 juillet pour Terragen, le 29 juillet pour Grays et d’autres dates à venir pour les autres entités du groupe. Le bonus : chaque collaborateur qui aura complété l’activité se verra offrir un ticket pour l’océanarium Odysseo !

 Un engagement fort face à une urgence environnementale que l’on ne peut plus ignorer !

Du 12 au 14 avril 2025, les gammes phares de Grays se sont envolées pour Paris pour participer au Rhum Fest 2025 qui y a lieu chaque année. Réunissant plus d’une centaine de marques issues des quatre coins du monde, ce festival haut en couleur a fait son retour avec une édition dédiée à la biodiversité et à la richesse du terroir et des savoir-faire locaux.

Tenu au Parc Floral de Paris, le Rhum Fest Paris 2025 a, cette année encore, réunit des milliers de producteurs et experts du secteur, et éblouit les aficionados de rhum et de cachaça. C’est dans une ambiance résolument florale que les participants ont pu tantôt assister à des rencontres stimulantes, tantôt participer à des dégustations uniques. « De nombreuses Masterclasses passionnantes ont aussi eu lieu tout au long du week-end pour permettre à chacun des acteurs de ce secteur de partager ses méthodes et la philosophie derrière ses produits », explique Florence de Coriolis, Assistant Rum Brand Manager de Grays.

Accompagnée de Yannick Noël, Rum Business Unit Manager de Grays, cette dernière a d’ailleurs animé l’une des premières Masterclasses du festival : « For the future. From 1838. Quand tradition et renouveau s’assemblent ». « Nous étions ravis de pouvoir partager notre savoir-faire et notre méthode unique “du champ au verre” avec des personnes aussi passionnées que nous », ajoute-t-elle. En effet, l’entreprise opère véritablement une chaîne d’opérations à 360° : de la culture des cannes à la récolte, de l’extraction de la mélasse et du jus de canne à sa transformation en rhum, Grays possède et contrôle l’intégralité des processus de production !

Outre ses 188 années de savoir-faire, l’entreprise sait aussi évoluer avec son temps. « Notre philosophie, qui plonge ses racines dans un riche héritage, est aussi tourné vers l’avenir », dit Florence. Grays met effectivement un point d’honneur à participer, autant que faire se peut, à la construction d’un avenir durable. Pionnière de l’économie circulaire dans le secteur de la production de rhum, l’entreprise est aussi Silver Champion de l’oiseau à lunettes, un passereau endémique en voie de disparition, et le premier embouteilleur ecoSPIRITS de l’île, utilisant des récipients réutilisables et recyclables – des qualités qui résonnent avec le thème du Rhum Fest Paris 2025 !

Présente avec ses trois gammes incontournables – New Grove, Lazy Dodo et Mauricia –, Grays a aussi pu présenter son New Grove Bio, le seul rhum bio de l’île, mais aussi dévoiler l’un de ses prochains produits dont la sortie est prévue en septembre 2025 : une cuvée spéciale, vieillie depuis 21 ans ! « Fidèle à notre palette aromatique unique, cette nouveauté New Grove a débuté son vieillissement en 2004 dans des fûts de chêne français du Limousin et d’ex-fûts de cognac, ce qui nous donne aujourd’hui un rhum d’une authenticité rare », explique Yannick. De sa culture à son vieillissement, en passant par sa distillation, cette nouvelle cuvée, qui sera en édition limitée, incarne le parfait mariage entre passé et présent, tradition et renouveau.