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Les 3 et 4 octobre 2025 se tiendra à Beau Plan le Job Fair#17 x Anba Pie, un salon de l’emploi organisé en partenariat avec CareerHub – un événement qui marque la première collaboration du groupe Terra pour un tel forum. C’est dans les locaux intemporels de L’Aventure du Sucre qu’aura lieu ce job fair, qui promet d’être une belle plateforme de rencontre et d’échange.

L’Aventure du Sucre s’animera, le 3 et 4 octobre, au son des paroles échangées entre curieux et demandeurs d’emploi, et entreprises recrutant. « Cette 17e édition est un événement ouvert à tous les professionnels, de tous les niveaux, qui souhaitent découvrir de nouvelles opportunités et rencontrer directement les entreprises qui recrutent, dont Terra », explique Sharonne Jaquette-Miner, Head of People and Culture chez Novaterra. Le groupe n’aura en effet pas moins d’une cinquantaine de postes à pourvoir !

Parmi les entités présentes, Agriterra, L’Aventure du Sucre, Grays, Novaterra ou encore Terragen, et Terra Finance Ltd pourront offrir aux intéressés un premier aperçu de la vie dans les différents clusters du groupe. « Le pôle cannier propose aujourd’hui une grande diversité de métiers et de perspectives. Au-delà de l’exercice de recrutement, ce sera également l’occasion de mettre en lumière la dynamique d’Agriterra et de partager la manière dont nous vivons notre culture d’entreprise : “Culture in Motion” ! », partage Sandesh Mohabir, HR Manager d’Agriterra. Pour ce dernier, l’objectif sera ainsi de consolider la marque employeur de l’entité, tout en misant sur la rencontre humaine.

Tout comme pour Sandesh, cet événement représente, pour Athina Audibert, HR Manager de Grays, l’opportunité de comprendre la culture d’entreprise qui anime Grays : celle d’un esprit d’équipe, d’une passion de créer et d’une envie de se surpasser, tous ensemble. « L’expérience employé nous tient vraiment à cœur, de la phase de recrutement à l’onboarding personnalisé, et tout au long de la carrière. C’est tout un écosystème avec, au centre, les valeurs qui nous sont chères et que nous vivons au quotidien », dit-elle.

« Plus qu’un événement, ce job fair est l’occasion de rencontrer des talents, de partager nos passions et de montrer que chaque métier, du jardinier au comptable, a son importance. Chez Novaterra, nous nous impliquons car nous croyons que chaque personne peut apporter sa pierre à l’édifice et contribuer à un projet plus grand que soi », renchérit Sharonne. Un sentiment qui s’exprime d’ailleurs dans la philosophie de Terra.

Au plaisir de vous y retrouver !

À l’occasion de World Clean Up Day qui a eu lieu le 20 septembre 2025, Terra a lancé une nouvelle initiative pour lutter contre la pollution. Via un partenariat avec PIM Ltd, Mahogany Shopping Promenade et Green Impact, le groupe invite les entreprises et particuliers à déposer leurs plastiques volumineux. À vos poubelles, citoyens !

Les chiffres du ministère de l’Environnement donnent froid dans le dos : si la population mauricienne génère environ 75 000 tonnes de déchets plastiques chaque année, seuls 4 % seraient recyclés – soit quelque 3 000 tonnes ! Pour participer à la lutte contre la pollution plastique, le groupe Terra, via sa nouvelle identité Terra Act, a décidé de lancer une collecte de plastiques encombrants à Beau Plan.

Du 20 septembre au 11 octobre, les visiteurs et résidents de la région pourront, chaque samedi de 9 h à midi, déposer leurs déchets plastiques dans un emplacement spécialement dédié à la collecte sur le overflow parking du Mahogany Shopping Promenade. Deux jours de collecte ont été organisés les 27 et 28 septembre dans les régions de Pamplemousses et de Bois Rouge. Des collaborateurs et ONG de la région ont ainsi sillonné les rues à la rencontre des habitants pendant deux jours pour les sensibiliser et les encourager à ramener leurs plastiques encombrants dans les différents points de collecte.

«  C’était une expérience enrichissante de laquelle a découlé une véritable collaboration ! Bravo et un grand merci à tous ceux qui ont participé à cette campagne ! », dit Frédérique Perpétu, Sustainability and Reporting Lead de Terra. Une collecte a évidemment aussi été organisée dans les entités du groupe le 26 septembre. « À plusieurs, nous sommes plus forts, et la collaboration entre les différents acteurs est essentielle pour ce type d’initiative », poursuit-elle.

En plus de sensibiliser la population sur l’importance de la lutte contre la pollution plastique et l’urgence d’adopter le tri et le recyclage, cette démarche permettra aussi de donner une seconde vie aux déchets ainsi récoltés. Grâce à l’expertise de PIM Recycling and Surfrider, ceux-ci seront transformés en divers objets, comme des caisses, des poubelles, des tables, des bancs ou encore des pots de fleurs, dont certains trouveront d’ailleurs leur place dans différents endroits de la région. « Il faut absolument encourager ces entreprises qui œuvrent pour une économie circulaire et plus responsable », martèle-t-elle.

Venez nombreux participer à la magie du recyclage !

Fraîchement sorti de l’école, c’est en 1993 que Benoit d’Avesnes rejoint l’équipe de Mount au niveau de la section California. Engagé comme assistant, il touche alors à toutes les activités liées à l’agriculture. Aujourd’hui Operations Officer chez Agriterra, il nous parle de son parcours et de son métier.

Depuis sa plus tendre enfance, Benoit baigne dans l’agriculture. « Mon père était chef de section à Alteo. Nous habitions la propriété et j’aimais beaucoup cela », confie-t-il. À la sortie de l’école, il reçoit une proposition de travail en tant qu’assistant chez Terra – une offre qu’il ne peut pas refuser ! À l’époque où le Mount était encore divisé en sections, il commence dans la section California, avant d’y ajouter celle de Rosalie.

« Je m’occupais de l’utilisation des herbicides aux champs, de la coupe, du nettoyage… », poursuit Benoit. Quand, en 2010, les sections n’en deviennent qu’une, il est principalement chargé de la fertilisation et de l’utilisation d’herbicides. Dix ans plus tard, il est transféré à la section de la Nouvelle Industrie, comprenant différentes sous-sections et formant partie d’Agriterra. Aujourd’hui, il a toujours autant à faire !

« Je m’occupe de surveiller toutes les opérations qui existent au niveau des champs », dit-il. Lors de la coupe, il supervise par exemple le classement de celle-ci ou encore le tonnage, tandis que durant l’entrecoupe, il dirige les travaux de nettoyage et de plantation manuelle. Fin septembre, quand commence la période de fertilisation et d’herbicides, il est aussi aux champs pour contrôler que tout se fait dans les normes.

Si la moitié de la journée se passe sur le terrain, l’autre a lieu au bureau, où se fait le travail administratif : saisie des données, organisation des missions pour le lendemain, préparation des rapports… Une alternance qu’il apprécie particulièrement ! Ce qu’il aime par-dessus tout : les défis régulièrement posés par le déroulement des opérations, et auxquels il faut trouver une solution ! « J’ai aussi aimé voir, au fil de ma carrière, l’évolution de ce secteur et cela m’a plu d’y participer. Nous sommes, en 30 ans, passés d’une agriculture 100 % manuelle à une agriculture à 90 % mécanique », note-t-il.

Plein d’énergie et toujours de bonne humeur, Benoit est également, en dehors du travail, un grand amateur de sport, qu’il pratique régulièrement à la gym avec ses collègues. Plus qu’une manière de prendre soin de sa santé, il s’agit aussi, pour lui, d’une belle occasion de renforcer les liens et de profiter d’instants conviviaux dans un cadre différent du travail.

Et les années à venir lui réservent certainement encore de belles surprises et de moments agréables en dehors du cadre professionnel !

Le 14 juillet 2025, un BiobiN® était inauguré à Beau Plan. Située près de Grays Distilling, cette poubelle de 12 m3 vient révolutionner la gestion des déchets organiques dans la ville tout en rappelant aux collaborateurs du groupe l’importance de l’économie circulaire, une philosophie prônée par Terra et efficacement mise en œuvre à travers de nombreuses initiatives.

Avec la mise en place de BiobiN®, Terra ajoute une nouvelle démarche circulaire à un bagage déjà bien rempli ! Le principe est simple. « Il s’agit d’un système de compostage aérobie et hermétique conçu pour recevoir et transformer les déchets organiques de manière efficace et sécurisée », explique Frédérique Perpétu, Sustainability & Reporting Lead de Terra. Grâce à un ingénieux système d’aération forcée, le processus est inodore, n’attire aucun nuisible et est particulièrement rapide.

En quelques mois, le compost produit par la décomposition des matières organiques se transforme en humus, riche en nutriments et essentiel pour la biodiversité. Destiné principalement aux collaborateurs des restaurants Le Fangourin et La Cantine de Beau Plan, ainsi que les cantines de Novaterra et Grays, ce nouveau concept promet aussi un impact significatif sur l’environnement : réduction de l’espace utilisé à Mare Chicose pour de tels déchets, diminution des gaz à effet de serre émis par le transport et le méthane généré par la décomposition dans les décharges, baisse de la pollution dans les nappes phréatiques…

Pour s’assurer du bon fonctionnement de ce BiobiN®, douze personnes issues des entités concernées ont suivi une formation pour différencier les déchets qui sont compostables de ceux qui ne le sont pas. Deux mois plus tard, cette initiative a-t-elle eu un impact ? « Depuis le début de cette démarche, ce sont déjà 2,2 tonnes de déchets organiques récoltés et 12 collaborateurs impliqués ! », annonce Frédérique. Un chiffre particulièrement appréciable !

« Le BiobiN® de Terra est l’un de nos sites – sur 35 – qui fonctionne le mieux, grâce à l’enthousiasme et à l’implication des collaborateurs et opérateurs. Merci au groupe pour sa confiance et bravo à toutes les équipes pour ces résultats plus que satisfaisants ! », confie Julien Rambert, directeur de BiobiN (Mauritius) Ltd. Une fois le compost prêt, direction les espaces verts de Beau Plan pour y être utilisé comme fertilisant ou comme conditionneur de sol !

Il nous tarde de voir les résultats de cette belle initiative !

Chaque année, conformément aux recommandations de la Financial Intelligence Unit (FIU), Nilesh Ramsurn, Money Laundering Reporting Officer et Compliance Officer de Terra Finance organise, pour les collaborateurs de Novaterra, des formations autour de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Cette année ne fait pas exception !

Les 23 et 26 septembre 2025 ont eu lieu deux sessions spécialement dédiées au sujet de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Concernant tous les collaborateurs de l’entité, cette formation annuelle est toutefois obligatoire pour les personnes qui sont en contact direct avec la clientèle. « L’objectif est de venir conscientiser nos collaborateurs sur ces activités, mais aussi de les former pour qu’ils puissent identifier les indicateurs d’activités liées à ces sujets et connaître la marche à suivre dans ce cas », explique Nilesh.

Plus qu’une simple session d’information, le programme de cette formation, qui se veut interactive, est riche et dynamique. « Nous revoyons par exemple les lois déjà mises en place pour combattre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, mais nous couvrons aussi les dernières évolutions de ces lois et étudions aussi des cas récents issus de la presse locale ou internationale », ajoute-t-il.

En couvrant des outils bien connus de sollicitation directe à la clientèle, comme les procédures KYC ou le Customer Due Diligence, c’est surtout l’importance d’un contrôle des transactions constant durant toute la relation entre l’entité et les clients qui est soulignée. « C’est un aspect absolument essentiel de la relation client et qui touche à toute notre clientèle, qu’il s’agisse d’un locataire du Mahogany Shopping Promenade ou de The Strand, ou d’un potentiel acquéreur de bien », précise Nilesh.

Mêlant théorie et pratique, cette formation s’intéresse ainsi à la responsabilité de chacun des collaborateurs dans cette relation et à la compréhension des démarches déjà mises en place au sein de l’entité, tout en leur donnant les moyens de détecter une activité suspicieuse et d’agir en conséquence. « Il ne s’agit pas simplement de comprendre ce qui est attendu de nous dans une telle situation : il faut aussi comprendre notre rôle dans la protection de l’entreprise – mais aussi des employés – pour éviter qu’elle ne soit utilisée pour faire du blanchiment d’argent », souligne-t-il.

Si les sessions des deux dernières années ont rassemblé quelque 27 collaborateurs, Nilesh vise, pour cette année, plus haut. « Mon but serait, sur le long terme, d’étendre cette formation à d’autres départements et de réunir une quarantaine de collaborateurs », dit-il. Misant sur la promotion d’une véritable culture de conformité financière, il espère ainsi, à travers ces formations annuelles, ancrer solidement ces connaissances chez ses collaborateurs.

Si le modèle d’entreprise de Terra favorise la durabilité à travers de nombreuses initiatives, il se composait néanmoins, jusqu’à aujourd’hui, d’actions isolées et propres aux différentes entités du groupe. Pour rassembler ces démarches, Terra lance, en 2025, une nouvelle identité haute en couleur et liée à son engagement envers la durabilité et la résilience : Terra Act.

Cela fait des années que le développement durable est au cœur des opérations de Terra. Réduction du verre, des emballages et des émissions de CO2 avec les contenants ecoSPIRITS chez Grays, adoption d’une architecture durable chez Novaterra, production d’énergie verte chez Terragen, agriculture de précision chez Agriterra, initiatives sociales portées par Terra Foundation…

« Le sujet du développement durable n’a été, jusque-là, seulement pris au niveau des entités et de leurs activités. Nous avons, à travers Terra Act, voulu centraliser ces initiatives dans une stratégie commune, pour pouvoir non seulement communiquer sur elles de façon cohérente et percutante, mais aussi pour mesurer leur impact réel », explique Emeric Vigier de Latour, Senior Manager – Communication & Marketing de Novaterra. Une démarche dont l’efficacité pourra aussi être évaluée lors du prochain audit des rapports de durabilité dans les années à venir !

« Il était important pour nous de réduire l’écart entre les différents clusters, et de nous assurer que nous avançons tous dans la même direction », renchérit Frédérique Perpétu, Sustainability & Reporting Lead de Terra. D’où l’importance, selon cette dernière, de créer une identité propre au développement durable pour créer de la cohésion et renforcer l’engagement des entités du groupe sur ce sujet. « L’engagement de nos collègues est en effet essentiel pour une culture de développement durable réussie », ajoute-t-elle.

Organisée autour de 10 piliers liés aux Objectifs de développement durable, cette nouvelle identité mettra en avant des marqueurs visuels et des couleurs propres à chacun de ces piliers. Ces derniers sont développés autour des initiatives du groupe et sont évolutifs, d’autres piliers pourront être rajoutés dépendant des futures stratégies et actions du groupe.    « Le recours à des doodles permet aussi de démocratiser ces actions et de faciliter leur intégration par le grand public », dit Emeric.

Éducation, eau, énergie, emploi décent, innovation, consommation et production, vie marine, biodiversité, partenariats mondiaux, villes et communautés résilientes, sûres et durables… « Terra Act viendra englober toutes les actions déjà prises par le groupe sous une même bannière que chaque entité devra utiliser pour sa communication », souligne Frédérique.

Une belle démarche qui verra le jour lors du Terra Act Sustainability Summit le 4 novembre 2025 !

Si le groupe Terra est connu pour ses actions innovantes en faveur de la durabilité, il poursuit cet engagement avec deux nouveautés majeures : une analyse de double matéralité et l’avènement d’une plateforme carbone. Frédérique Perpétu, Sustainability & Reporting Lead chez Terra, nous en dit plus.

Une analyse circulaire et stratégique

Une analyse de double matérialité touche à deux dimensions. La première, la matérialité financière, concerne les impacts des enjeux de durabilité – environnementaux, sociétaux et de gouvernance (ESG) – sur la performance financière de l’entreprise, tandis que la seconde, la matérialité d’impact, s’intéresse à l’impact des activités de l’entreprise sur l’environnement ou la société. « En plus de comprendre notre impact, cet exercice nous permet de déterminer les risques externes à l’entreprise liés au développement durable, leur priorité, l’échelle de leur incidence, et le poids financier qu’ils pourraient engendrer », explique Frédérique.

Si des impacts négatifs sont identifiés, la prochaine étape consiste à venir définir des actions pour y remédier. Comment s’organise cet exercice chez Terra ? « Avec l’aide de Dynamia, un cabinet de consultants en développement durable, nous avons d’abord organisé, les 2 et 4 juillet, deux sessions d’information avec toutes les entités du groupe », poursuit-elle. Ce premier bain dans le domaine de la double matérialité s’est accompagné, les 24 et 25 juillet, de sessions spécifiques au secteur d’activité de chaque entité pour expliquer le déroulement de l’exercice.

« Toutes nos parties prenantes seront mobilisées pour cela : un questionnaire sera, par exemple, envoyé aux intervenants externes pour définir ce qu’ils pensent qui est matériel ou pas à Terra », dit Frédérique. Véritable projet stratégique, cet exercice rendra ainsi possible la construction d’une feuille de route complète. Il permettra également au groupe d’être en conformité avec le standard de reporting qu’est le Global Reporting Initiative (GRI). Les 2 et 3 octobre se tiendront, sous la houlette de Dynamia, les dernières séances dédiées à cette analyse.

« Chaque cluster viendra, lors de cette session de validation, présenter les résultats obtenus », ajoute-t-elle. Par la suite, chaque entité sera invitée à présenter sa feuille de route lors du Terra Act Sustainability Summit qui se tiendra le 4 novembre 2025. « Chaque cluster devra exposer les actions à court et moyen terme qu’il mettra en place pour minimiser ces impacts et risques », souligne-t-elle.

Meaningful : la nouvelle plateforme décarbonation de Terra

Grâce au bilan carbone effectué en 2024 pour l’année financière de 2023 avec l’aide du bureau d’études Carbone Ingénierie, il a été possible d’évaluer les pôles d’émission les plus importants de chaque cluster, permettant ainsi de cibler les actions à mettre en place pour réduire ces émissions. Puisqu’un bilan carbone est très fastidieux et compliqué à mettre en place, Terra a eu une idée plutôt innovante.

« Nous avons demandé à Carbone Ingénierie de créer une plateforme digitale qui se nourrirait des données déjà existantes dans le groupe et qui serait alimentée chaque trimestre par de nouvelles données, remplies manuellement ou automatiquement », confie Frédérique. Selon cette dernière, cet exercice continu permettra d’avoir des données fiables et fréquentes sur les émissions du groupe et de mettre en place des actions correctives rapidement et de façon agile.

« Grâce à cet outil digital, Terra pourra construire son action climatique dans un esprit de performance, en accordant moins de temps au calcul et aux rapports, et plus de temps à l’action ! », spécifie Benjamin Vegar, dirigeant de Carbone Ingénierie. Entièrement faite sur mesure, cette plateforme rendra non seulement possible l’injection des données carbone antérieures, mais aussi l’automatisation des gros volumes de données critiques, une datavisualisation personnalisée et même l’intégration des plans d’action en cours.

« Il s’agit d’une des premières plateformes de ce type développées dans l’océan Indien. Dynamique, elle nous proposera elle-même des solutions et nous permettra de savoir si nous allons dans la bonne direction », explique Frédérique. Pour s’assurer du bon déroulement de cette innovation, chaque entité aura un référent attitré, qui devra suivre le projet de A à Z.

Des initiatives concrètes et inspirantes !

Le 13 août 2025, Terra Foundation célébrait ses 15 ans en bonne compagnie. ONG, bénéficiaires et collaborateurs de Terra se sont ainsi retrouvés au Creative Park de Beau Plan pour une journée festive et, surtout, très émouvante. Retour sur cet événement.

15 ans déjà que Terra Foundation œuvre à l’inclusion et à l’autonomisation pour venir en aide aux personnes vulnérables de la région ! Pour fêter ce bel anniversaire, la fondation a, lors d’un NGO Day spécialement organisé, réuni les parties prenantes de cette démarche. Caritas, Safire, Autisme Maurice, Ti Diams, Lizie dans la main… « Seize associations ont répondu présentes pour venir nous présenter leurs activités, accomplissements et projets, et notamment ceux parrainés par la fondation », dit Marie Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation. 

Les collaborateurs de Terra ont ainsi pu s’inscrire et venir en groupe pour découvrir le travail des différentes ONG à travers des stands installés à cet effet – et, dans certains cas, adhérer à une cause en particulier ! De nombreux bénéficiaires, ayant obtenu le soutien des ONG et de la fondation pour lancer leur entreprise, ont aussi pu faire découvrir leurs produits aux collaborateurs – une autre façon de favoriser l’économie circulaire !

« En plus de comprendre les services et les success stories de ces associations, les collaborateurs ont également pu voir ce que notre soutien a permis de réaliser. C’était un moment chaleureux, qui leur a permis de se retrouver et d’écouter ces belles histoires. C’est dans ces échanges simples et vrais que l’on mesure la valeur d’un engagement sur le long terme », poursuit-elle.

Pour les associations, ce rendez-vous a aussi été un moment fort. « Le NGO Day organisé par Terra Foundation nous a permis de rencontrer d’autres ONG partageant nos valeurs, d’échanger savoir-faire et expériences, et de créer des liens avec des employés du groupe prêts à s’engager concrètement », dit Christiane Pasnin, directrice de Caritas Solitude – Lakaz Lespwar. 

« Cette plateforme nous a donné l’occasion de rencontrer et d’échanger avec d’autres ONG tout en bénéficiant d’une plus grande visibilité pour mieux faire connaître notre cause », renchérit Darshini Ramjee, responsable de la branche nord d’Autisme Maurice – dont l’ouverture a d’ailleurs été possible grâce au soutien de Terra Foundation.

Une journée forte en émotions et en partage !

Si l’initiative de partir explorer les entités de Terra a déjà été mise en place pour les nouvelles recrues, à travers le fameux TerraTrip, d’autres sorties découverte, accessibles à tous les collaborateurs de Corporate, Terra Finance, Terragen, Novaterra et L’Aventure du Sucre, ont été organisées durant les mois de juillet et août. Destination… Grays !

S’il existe déjà un TerraTrip, pourquoi cette démarche ? « Nous avons lancé le TerraTrip pour les nouvelles recrues en 2022. Nous nous sommes depuis rendus compte que certains collaborateurs, travaillant chez Terra depuis des années, n’ont jamais visité les autres entités », explique Astride Luxe, Employee Experience Officer de Novaterra. Une fois l’idée lancée, celle-ci se rend compte que la demande est pourtant là.

Épaulée de Sharonne Jaquette-Miner, Head of People & Culture de Novaterra, Astride organise donc une première sortie à Grays. Chaque vendredi, un groupe pouvant accueillir jusqu’à 20 personnes s’est ainsi rendu, du 4 juillet au 22 août, à la découverte de l’entreprise. À 10 h, rendez-vous à la distillerie pour se familiariser, sous la houlette de Didier de Villecourt, Production Manager, ou de Frederic Tehji Beguinot, Operation Manager, avec les équipements et les procédés utilisés dans la fabrication d’alcool.

Ensuite, direction la cave où, accompagnés alternativement par Florence de Coriolis, Assistant Rum Brand Manager, Yogendra Jogeedoo, Cellar Operation Coordinator, et David Céleste, Rum & Brand Ambassador, les collaborateurs ont pu comprendre les procédés de vieillissement du rhum dans des fûts spéciaux, dont certains servent au chai depuis 1990, avant de terminer la matinée par une dégustation de rhum. L’inscription, qui s’est faite en ligne, a connu un beau succès. « Les participants ont beaucoup aimé cette initiative car beaucoup d’entre eux ne connaissaient ni la distillerie, ni les processus de fabrication de rhum », ajoute Astride.

Pour Yves Ménagé, Leasing Manager de Novaterra et collaborateur chez Terra depuis plus de 20 ans, cette visite a d’abord été l’occasion de se frotter à quelque chose de nouveau. « Je fais partie d’une industrie de services et cette sortie m’a permis de découvrir un monde totalement différent, celui de la fabrication de produit », explique-t-il. Se garant toujours à proximité de la distillerie, lever le voile sur les activités de l’entité s’est révélé fascinant.

Même son de cloche chez Laila Neuhausser, ingénieure biomasse à Terragen depuis 2019. Ravie d’avoir pu visualiser les techniques de fabrication mises en place, elle a aussi apprécié faire de nouvelles rencontres. Plus qu’une simple découverte, cette sortie représente, selon elle, avant tout une initiative rassembleuse. « Le fait de connaître les dessous des entités du groupe nous permet de nous sentir plus unis et nous rapproche les uns des autres », dit-elle. Une démarche qui, elle l’espère, s’ancrera durablement dans le calendrier du groupe !

Ce n’est pas seulement les « anciens » qui ont pu bénéficier de cette démarche ! Jhoty Booneyad, Legal Coordinator chez Terra Corporate depuis juin 2025, était aussi de la partie ! Ayant déjà participé au dernier TerraTrip, cette visite lui a permis de découvrir une facette de Grays qu’elle ne connaissait pas encore. « Nous avions abordé le côté retail lors du TerraTrip. La visite de la distillerie et du chai m’a permis de mettre en lumière le riche héritage de Grays, qui utilise des méthodes de fabrication ancestrales, ainsi que les valeurs et la passion qui animent l’entreprise », dit-elle. Ce qu’elle a préféré ? La dégustation de rhum ! « C’était un moment très fort car nous avons pu goûter les produits fabriqués par Grays et ainsi vivre l’histoire que l’on nous avait racontée lors de la visite », ajoute-t-elle.

At Terra, sustainability is embedded in our way of working. Through Terra Act, we unite our people, projects, and partnerships to create a lasting positive impact for society, the environment, and our stakeholders.

Our business model is a benchmark for the circular economy in sugar production, where byproducts from one activity become resources for another. This closed-loop approach boosts efficiency, reduces waste, and strengthens our environmental performance.

To ensure coherence across the Group, we have created a shared sustainability identity (Terra Act) built around 10 key themes aligned with the UN Sustainable Development Goals, from education and biodiversity to energy, water, and responsible production and consumption. Each business cluster defines its own priorities and initiatives within this framework, supported by a decentralised governance model and sustainability committees

A new Group Sustainability Department was established in January 2025 to define and strengthen the Group’s sustainability strategy, ensure alignment across all entities, and promote a shared vision. Beyond strategy, the department also serves as a support platform, guiding and facilitating the various sustainability projects and initiatives implemented throughout the Group.

Responsible Production & Consumption

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With Terra Act, we aim to make sustainability a driver of innovation, resilience, and longterm growth, ensuring every employee is empowered to be an active part of the change.